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 [Scénario] Chapitre 1: Père, fil et Nalamis [Grande Île de Lenn Baikal][Conseil léanoz]

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Le Cerf Blanc
Le Cerf Blanc

Sage


Parchemin d'identité
Race: Lëanoz*
Age du personnage: ??
Haut-faits/Connaissances:

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MessageSujet: [Scénario] Chapitre 1: Père, fil et Nalamis [Grande Île de Lenn Baikal][Conseil léanoz]   [Scénario] Chapitre 1: Père, fil et Nalamis [Grande Île de Lenn Baikal][Conseil léanoz] EmptyVen 30 Juil - 14:32

8 Autÿn

L'île de Lenn Baikal... Ancien habitat des Lëanoz, presque déserte hormis la capital depuis la dernière guerre Lëanoz, Peuple rongé par la Diaspora, lutant difficilement contre la disparition de leur espèce... Le plus vieux d'entre eux, Ar Dourenn Aotrou, Meridec, appelé dans le sud "Clun". Gardien de l'eau, détenteur des eaux sacrées. Ce dernier sortit de la mer, sur une plage de sable blanc, ses habits étaient Sec, sous la forme d'un vieillard, il avança, s'appuyant sur son bâton vers un sentier de dalle de granite gravées de runes tel que des nœuds de trinités, des triskell... Lorsque le Lëanoz posa le pied sur la première dalle, les runes s'allumèrent d'une lumière verdâtre comme pour montrer le chemin. Ce singulier chemin traversa des forêts, des rivière, une partie du Lenn, des villages en ruines, des carrières de granite, pour arriver dans une immense cité, construite dans une anse dont l'eau presque verte était baigné d'un doux soleil et assaisonnée de cris de mouettes. Croisant des Lëanoz dans toute les rues, où les étalages de marchandise ou se troquaient les produits, répandait des odeurs alléchantes, ceux ci le saluait avec respect en Lëanoz du sud ou bien du nord "Deizmat", "Salud", "Oriada"... Sur une place, un corps d'immense ruines trônait, le conseiller y entra et se trouvait, au milieu d'un immense jardin, une table de bois et quatres trône, dont trois était rempli par des Lëanoz d'apparence vieille en Soutane blanches, lumineuse et brodé d'une couleur différente pour chaque individu, Meriadec en portait une brodé de vert. Il pris place à la place la plus au nord ouest, exposée vers la mer. Un Lëanoz brodé de bleu pris la parole:

-Nous t'attendions, Meriadec... Cela faisait longtemps que nous nous étions pas retrouvé tout les quatre, Idrilÿn, Meriadec, Aaron et Nominoë, le conseil Lëanoz.

Idrilÿn continua, seul femme du conseil:

-L'heure est grave mes amis, les humains ont déclaré la guerre aux Nalamis...

-(Aaron) Cela ne nous regarde pas, qu'il règlent leurs problème tout seul

-(Nominoë) Ce serait peut être l'occasion de prendre notre revanche sur les Nalamis!

-(Meriadec) Il faut que tu te sortes cette idée de ta tête, les Nalamis n'ont rien à voire avec les Kurids...

-(Nominoë) Ce sont leurs descendants!

-(Idrilÿn) Il n'est pas l'heure de nous disputer mais de décider quoi faire!

-(Meriadec) Tu as raison...

-(Aaron) Dourenn Aotrou, que pense tu de l'humain, toi qui vit sur ses terres?

-(Meriadec) Isaac à embrassé la folie, mais il possède une grande puissance, phénoménale...

-(Nominoë) Aussi grande que la notre?

-(Meriadec) Ne sois pas idiot, non, bien sur que non, nous ne serions pas vivants sinon. Mais il pourrait l'atteindre, je ne pense tout de même pas qu'il soit assez fou pour toute la déployer. Même nous n'avons jamais osé...

-(Idrilÿn) La modestie est la première règle de la magie, il faut en utiliser le minimum...

-(Meriadec) Pour ce qui est des Nalamis, il sont très respectueux de l'ordre naturel, cependant, ils ont les savoir technologique et beaucoup on un caractère animal, bestial, l'un ne vaut pas mieux que l'autre, leur chef est un barbare loup, nourrissant une rivalité mortel avec les humains.

-(Aaron) Pour ce qui est des autres races?

-(Meriadec) elles se sont calmées, les elfes et les dragons jouent un role de police, mais ils seront trop peu nombreux pour contenir la guerre, et beaucoup d'entre eux se range dans les rangs Nalamis et même parfois humains... Les Fynfrigs sont très proche caractérielle-ment des Nalamis, un peu barbares, partageant une rivalité avec les humains... Et toi, Aaron, que penses tu des Anges?

-(Aaron) Difficile à dire, ils sont très peu, confiné dans la famille royal, mais une chose est sur, il prendrons la part des humains, s'ils doivent choisir...

-(Idrilÿn) Et... Nous, que ferons nous? Devons nous faire quelque chose, avons nous notre rôle à jouer?

-(Aaron) Petra(quoi)? Nalamis bien sur!

-(Nominoë) Sodig(Sot)! Les humains sont le meilleur parti, prenons notre revanche sur les terres, reprenons notre place!

-(Idrilÿn) Si cela est! Ne prenons aucun parti, compagnons!

-(Meriadec) SILENCE! tout le monde se calme sous la voix magique de Meriadec, il faut attendre, soyons près, mais notre rôle et de contenir la guerre avant qu'elle ne déborde, mais elle est nécessaire, les nalamis et les humains ont accumulé beaucoup trop de haine l'un envers l'autre, mais les seuls perdants seront leur chef!

-(Nominoë) Vous avez perdu l'esprit mes frères? il va de soit que nous devons anéantir les Nalamis! Faisons parler les Joyaux!

-(Idrilÿn) Soit.

Chacun sortit un cristal de couleur et de forme différente, chacun était un polygone de Platon, Meriadec sortit un Isocaèdre vert, Nominoë un tetraèdre bleu, Idrilÿn un Octaèdre rouge et Aaron un Cube jaune, des lueurs semblaient nager à l'intérieur, et des voix parlèrent chacune leur tour:

-(Tetraèdre) Le sud Est rejoindra les humains.

-(Isocaèdre) Le nord Ouest suivra son gouverneur.

-(Octaèdre) Le nord Est suivra le sud Est si les autres font de même.

-(Cube) Le Sud Ouest restera neutre.

Les lueurs qui nageait dans les solides furent aspiré au centre de la table où un Dodécaèdre violet tronait. Les conseillers restèrent silencieux un moment, songeurs, puis ils parlèrent:
L'île de Lenn Baikal... Ancien habitat des Lëanoz, presque déserte hormis la capital depuis la dernière guerre Lëanoz, Peuple rongé par la Diaspora, lutant dificilement contre la disparition de leur éspèce... Le plus vieux d'entre eux, Ar Dourenn Aotrou, Meridec, appelé dans le sud "Clun". Gardien de l'eau, détenteur des eaux sacrées. Ce dernier sortit de la mer, sur une plage de sable blanc, ses habits étient Sec, sous la forme d'un viellard, il avança, s'appuyant sur son bâton vers un sentier de dalle de granite gravées de runes tel que des noeuds de trinités, des triskell... Lorsque le Lëanoz posa le pied sur la première dalle, les runes s'allumèrent d'une lumière verdatre comme pour montrer le chemin. Ce singulier chemin traversa des forêts, des rivière, une partie du Lenn, des villages en ruines, des carières de granite, pour arriver dans une immense cité, construite dans une anse dont l'eau presque verte était baigné d'un doux soleil et assaisonée de cris de mouettes. Croisant des Lëanoz dans toute les rues, où les étalages de marchandise ou se troquaient les produits, répandait des odeurs alechantes, ceux ci le saluait avec respect en Lëanoz du sud ou bien du nord "Deizmat", "Salud", "Oriada"... Sur une place, un corps d'immense ruines tronait, le conseiller y entra et se trouvait, au milieu d'un immense jardin, une table de bois et quatres trône, dont trois était rempli par des Lëanoz d'apparence vieille en Soutane blanches, lumineuse et brodé d'une couleur différente pour chaque individu, Meriadec en portait une brodé de vert. Il pris place à la place la plus au nord ouest, exposée vers la mer. Un Lëanoz brodé de bleu pris la parole:

-Nous t'atendions, Meriadec... Cela faisait longtemps que nous nous étions pas retourvé tout les quatre, Idrilÿn, Meriadec, Aaron et Nominoë, le conseil Lëanoz.

Idrilÿn continua, seul femme du conseil:

-L'heure est grave mes amis, les humains ont déclaré la guerre aux Nalamis...

-(Aaron) Cela ne nous regarde pas, qu'il règlent leurs problème tout seul

-(Nominoë) Ce serait peut être l'occasion de prendre notre revanche sur les Nalamis!

-(Meriadec) Il faut que tu te sortes cette idée de ta tête, les Nalamis n'ont rien à voire avec les Kurids...

-(Nominoë) Ce sont leurs déscendants!

-(Idrilÿn) Il n'est pas l'heure de nous disputer mais de décider quoi faire!

-(Meriadec) Tu as raison...

-(Aaron) Dourenn Aotrou, que pense tu de l'humain, toi qui vit sur ses terres?

-(Meriadec) Isaac à embrassé la folie, mais il possède une grande puissance, phénoménale...

-(Nominoë) Aussi grande que la notre?

-(Meriadec) Ne sois pas idiot, non, bien sur que non, nous ne serions pas vivants sinon. Mais il pourrait l'atteindre, je ne pense tout de même pas qu'il soit assez fou pour toute la déployer. Même nous n'avons jamais osé...

-(Idrilÿn) La modestie est la première règle de la magie, il faut en utiliser le minimum...

-(Meriadec) Pour ce qui est des Nalamis, il sont très respectueux de l'ordre naturel, cepandant, ils ont les savoir technologique et beaucoup on un caractère animal, bestial, l'un ne vaut pas mieux que l'autre, leur chef est un barbar loup, nourissant une rivalité mortel avec les humains.

-(Aaron) Pour ce qui est des autres races?

-(Meriadec) elles se sont calmées, les elfes et les dragons jouent un role de police, mais ils seront trop peu nombreux pour contenir la guerre, et beaucoup d'entre eux se range dans les rangs Nalamis et même parfois humains... Les Fynfrigs sont très proche caractériellement des Nalamis, un peu barbares, partageant une rivalité avec les humains... Et toi, Aaron, que pense tu des Anges?

-(Aaron) Difficile à dire, ils sont très peu, confiné dans la famille royal, mais une chose est sur, il prendrons la part des humains, s'ils doivent choisir...

-(Idrilÿn) Et... Nous, que ferons nous? Devons nous faire quelque chose, avons nous notre rôle à jouer?

-(Aaron) Petra(quoi)? Nalamis bien sur!

-(Nominoë) Sodig(Sot)! Les humains sont le meilleur parti, prenons notre revanche sur les terres, reprenons notre place!

-(Idrilÿn) Si cela est! Ne prenons aucun parti, compagnons!

-(Meriadec) SILENCE! tout le monde se calme sous la voix magique de Meriadec, il faut attendre, soyons près, mais notre rôle et de contenir la guerre avant qu'elle ne déborde, mais elle est nécessaire, les nalamis et les humains ont accumulé beaucoup trop de haine l'un envers l'autre, mais les seuls perdants seront leur chef!

-(Nominoë) Vous avez perdu l'esprit mes frères? il va de soit que nous devons anéantir les Nalamis! Faisons parler les Joyaux!

-(Idrilÿn) Soit.

Chacun sortit un cristal de couleur et de forme différente, chacun était un polygone de platon, Meriadec sortit un Isocaèdre vert, Nominoë un tétraèdre bleu, Idrilÿn un Octaèdre rouge et Aaron un Cube jaune, des lueurs semblaient nager à l'interieur, et des voix parlèrent chacune leur tour:

-(Tetraèdre) Le sud Est rejoindra les humains.

-(Isocaèdre) Le nord Ouest suivra son gouverneur.

-(Octaèdre) Le nord Est suivra le sud Est si les autres font de même.

-(Cube) Le Sud Ouest restera neutre.

Les lueurs qui nageait dans les solides furent aspiré au centre de la table où un Dodécaèdre violet tronait. Les conseillers restèrent silencieux un moment, songeurs, puis ils parlèrent:

-(Nominoë) J'irais au coté d'Isaac.

-(Idrilÿn) Je resterait sur Lenn Baikal.

-(Meriadec) Je te confie mon peuple alors, Idrilÿn. Il poussa à l'aide de son bâton l'Isocaèdre jusqu'à la femme.

-(Aaron) Mon peuple à parlé, je l'écouterais. Mais compte sur moi pour te mettre des bâton dans les roues mon vielle ami.

-(Nominoë) Je ne vous considère plus comme mes amis.

-(Aaron) Depuis quand es tu devenu fou, Nominoë?!!

Cette dernière phrase énerva le Gardien du Feu, il se leva et tandis la paume vers Aaron qui fut projeté assez loin dans l'immense jardin. Idrilÿn bondit sur la table, et, invoquant le vent, commença à faire envoler Nominoë, elle fut arrêtée par une énorme motte de terre qui la percuta, Meriadec la sauva de l'écrasement en désagrégeant l'attaque avec de l'eau.

-(Aaron) Vous ne m'avez même pas suivit, je me demande aussi si vous êtes mes amis, frère!

Mais le jardin devint soudain un immense brasier tourbillonnant, un véritable fourneau infernal, la douleur pris Meriadec qui lança un bouclier d'eau pour se protéger, il ne put constater avant, que le brasier avait bruler non seulement le jadrin mais aussi une bonne partie de la ville, lorsque les flammes s'estompèrent, Nominoë n'était plus là, Idrilÿn rompi son sort de protection par le vent. Tout était brulé, des cendres voltigeaient dans le ciel, Aaron était gravement blessé, il avait été le centre de l'attaque, et n'avait pas eu le temps de se protéger, sa peau noircie partait en morceau, il gémissait. C'était une de ces brulures magique qui ne guérissaient que par le temps. Meriadec confia à sa sœur adoptive le grand brulé, il s'en sortirait peut être, même si Aaron était le plus faible et vulnérable d'entre eux. L'attaque qu'ils venaient de subir était d'une puissance phénoménal, le Kikoalt Ah'Maarl en rougissait encore, Nominoë n'était pas un mage à la base, d'où avait il tiré cette puissance? Le seigneur liquide retrouva sa vieille demeure. Le lendemain, à l'aube, habillé d'habit de marin, coiffé d'un fichu et d'un tricorne, il prenait déjà la mer vers le port de Ra'sibe. Que les jeunes peuples se tiennent près, bientôt, les bombardes et les cornemuses du Lenn Baikal sonneront!
-Nous t'atendions, Meriadec... Cela faisait longtemps que nous nous étions pas retourvé tout les quatre, Idrilÿn, Meriadec, Aaron et Nominoë, le conseil Lëanoz.

Idrilÿn continua, seul femme du conseil:

-L'heure est grave mes amis, les humains ont déclaré la guerre aux Nalamis...

-(Aaron) Cela ne nous regarde pas, qu'il règlent leurs problème tout seul

-(Nominoë) Ce serait peut être l'occasion de prendre notre revanche sur les Nalamis!

-(Meriadec) Il faut que tu te sortes cette idée de ta tête, les Nalamis n'ont rien à voire avec les Kurids...

-(Nominoë) Ce sont leurs déscendants!

-(Idrilÿn) Il n'est pas l'heure de nous disputer mais de décider quoi faire!

-(Meriadec) Tu as raison...

-(Aaron) Dourenn Aotrou, que pense tu de l'humain, toi qui vit sur ses terres?

-(Meriadec) Isaac à embrassé la folie, mais il possède une grande puissance, phénoménale...

-(Nominoë) Aussi grande que la notre?

-(Meriadec) Ne sois pas idiot, non, bien sur que non, nous ne serions pas vivants sinon. Mais il pourrait l'atteindre, je ne pense tout de même pas qu'il soit assez fou pour toute la déployer. Même nous n'avons jamais osé...

-(Idrilÿn) La modestie est la première règle de la magie, il faut en utiliser le minimum...

-(Meriadec) Pour ce qui est des Nalamis, il sont très respectueux de l'ordre naturel, cepandant, ils ont les savoir technologique et beaucoup on un caractère animal, bestial, l'un ne vaut pas mieux que l'autre, leur chef est un barbar loup, nourissant une rivalité mortel avec les humains.

-(Aaron) Pour ce qui est des autres races?

-(Meriadec) elles se sont calmées, les elfes et les dragons jouent un role de police, mais ils seront trop peu nombreux pour contenir la guerre, et beaucoup d'entre eux se range dans les rangs Nalamis et même parfois humains... Les Fynfrigs sont très proche caractériellement des Nalamis, un peu barbares, partageant une rivalité avec les humains... Et toi, Aaron, que pense tu des Anges?

-(Aaron) Difficile à dire, ils sont très peu, confiné dans la famille royal, mais une chose est sur, il prendrons la part des humains, s'ils doivent choisir...

-(Idrilÿn) Et... Nous, que ferons nous? Devons nous faire quelque chose, avons nous notre rôle à jouer?

-(Aaron) Petra(quoi)? Nalamis bien sur!

-(Nominoë) Sodig(Sot)! Les humains sont le meilleur parti, prenons notre revanche sur les terres, reprenons notre place!

-(Idrilÿn) Si cela est! Ne prenons aucun parti, compagnons!

-(Meriadec) SILENCE! tout le monde se calme sous la voix magique de Meriadec, il faut attendre, soyons près, mais notre rôle et de contenir la guerre avant qu'elle ne déborde, mais elle est nécéssaire, les nalamis et les humains ont accumulé beaucoup trop de haine l'un envers l'autre, mais les seuls perdants seront leur chef!

-(Nominoë) Vous avez perdu l'esprit mes frères? il va de soit que nous devons anéantir les Nalamis! Faisons parler les Joyaux!

-(Idrilÿn) Soit.

Chacun sortit un cristal de couleur et de forme différente, chacun était un polygone de platon, Meriadec sortit un Isocaèdre vert, Nominoë un tetraèdre bleu, Idrilÿn un Octaèdre rouge et Aaron un Cube jaune, des lueurs semblaient nager à l'interieur, et des voix parlèrent chacune leur tour:

-(Tetraèdre) Le sud Est rejoindra les humains.

-(Isocaèdre) Le nord Ouest suivra son gouverneur.

-(Octaèdre) Le nord Est suivra le sud Est si les autres font de même.

-(Cube) Le Sud Ouest restera neutre.

Les lueurs qui nageait dans les solides furent aspiré au centre de la table où un Dodécaèdre violet tronait. Les conseillers restèrent silencieux un moment, songeurs, puis ils parlèrent:

-(Nominoë) J'irais au coté d'Isaac.

-(Idrilÿn) Je resterait sur Lenn Baikal.

-(Meriadec) Je te confie mon peuple alors, Idrilÿn. Il poussa à l'aide de son bâton l'Isocaèdre jusqu'à la femme.

-(Aaron) Mon peuple à parlé, je l'écouterais. Mais compte sur moi pour te mettre des bâton dans les roues mon vielle ami.

-(Nominoë) Je ne vous considère plus comme mes amis.

-(Aaron) Depuis quand es tu devenu fou, Nominoë?!!

Cette dernière phrase enerva le Gardien du Feu, il se leva et tandis la paume vers Aaron qui fut projeté assez loin dans l'immense jardin. Idrilÿn bondit sur la table, et, invoquant le vent, commença à faire envoler Nominoë, elle fut arrêtée par une éomre motte de terre qui la percuta, Meriadec la sauva de l'écrasement en désagrégant l'attaque avec de l'eau.

-(Aaron) Vous ne m'avez même pas suivit, je me demande aussi si vous êtes mes amis, frère!

Mais le jardin devint soudain un immense brasier tourbillonant, un véritable fourneau infernal, la douleur pris Meriadec qui lana un bouclier d'eau pour se protégé, il ne put constater que le brasier avait bruler non seulement le jadrin mais aussi une bonne partie de la ville, lorsque les flammes s'estompèrent, Nominoë n'était plus là, Idrilÿn rompi son sort de protection par le vent. Tout était brulé, des cendres voltigeaient dans le ciel, Aaron était gravement blessé, il avait été le centre de l'attaque, et n'avait pas eu le temps de se protéger, sa peau noircie partait en morceau, il gémissait. C'était une de ces brulures magique qui ne gérissaient que par le temps. Meriadec confia à sa soeur adoptive le grand brulé, il s'en sortirait peu être, même si Aaron était le plus faible et vlnérable d'entre eux. L'attaque qu'ils venaient de subir était d'une puissance phénomenal, le Kikoalt Ah'Maarl en rougissait encore, Nominoë n'était pas un mage à la base, d'où avait il tiré cette puissance? Le seigneur liquide retrouva sa vieille demeure. Le lendemain, à l'aube, habillé d'habit de marin, coiffé d'un fichu et d'un tricorne, il prenait déjà la mer vers le port de BroGlas, son domaine en Aldarion. Que les jeunes peuples se tiennent près, bientot, les bombardes et les cornemuses du Lenn Baikal sonneront!
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