~ Alors que le soleil était haut plus au dans le ciel, la jeune semie arriva au abord de la forêt verdoyante et particulièrement dense. Le soleil dardait de ces premiers rayons et laissait place à une Aube pleine de fraîcheur et de douces lumières... La semie se retourna lentement avant de jeter un dernier regard au Mont dyff, la montagne où reposait une personne qui lui était chère et où elle aimait planer entre les plateaux rocheux et observer les dragons qui donnaient une atmosphère remplie de magie, de puissance et fascination. Elle aimait venir se meler à leurs querelles aériennes et parfois suivre le vent qu'ils laissaient derière eux. Elle laissait là se qui lui était désormait très précieux, et qui lui a fait developper une determination et des sensations bien étrange. Ce mont du vent où ne soufflait que des vents favorable et où l'altitude empêchant presque les humains d'y grimper, empêchait également les odeurs de l'humanité pourrie ainsi que le vent des batailles qui empeste le sang et le fer d'y monter... Pourrait elle un jour se retourner ? Et bien, elle répondit à la positive en detournant son regard du Mont Dyff et planter un premier pas au millieu des fougères souples et humides avant de commencer à avancer... Poussée par la determination, quelque chose lui disait d'avancer mais au fond, de lourde larme de douleur la torturait, torturait son âme parce qu'elle ne voulait pas partir, elle voulait rester, prier pour "lui", méditer en sautant d'une falaise, plongée son corps en flamme dans un torrent glacé, sentir le vent et le soleil une dernière fois au crépuscule.. Entendre sa voix une dernière fois, l'écouter parler, juste une dernière fois, l'entendre se plaindre, le complimenter, le remercier, le sentir, le voir et finir par s'envoler et partir pour de bon.

~ Accompagnée par un jeune guépard plein de fougue qui galopait au rythm des pas de sa maîtresse ainsi que par deux cheveaux arnachés et suivant la jeune personne sans être tenus, elle avançait en suivant un doux zéphire matinal qui rendait sa respiration haletante et ces cheveux plein d'ondulations. Des descentes lumineuses parcouraient la forêt et éclairaient ces pas, le ruisseau voisin glissait de son eau clair au fil du courant, les oiseaux débutaient leurs mélodies aviaires et le renard-écureuil sur son épaule humait l'air des ce grands yeux verts. Sa destination était toute tracée. Elle désirait partir en ville en quête de mission diverse à accomplir et vendra ces capacitées de messagère à qui le réclamera.

~ Le soleil commençait à monter dans le ciel et la faim se fesait sentir. La semie établie donc un camps improvisé afin de faire abrever les cheveaux et de manger quelque chose. Elle envoya son guépard en chasse et commença à faire bouillire de l'eau clair dans une jate en fonte. Elle y plaça des feuilles rouge et orange avant de laisser infuser, et pendant que les chveaux broutaient brullament, le renard-écureil était partie chercher quelques baies et fruits diverses. Ces maigres minutes ne seront pas de refut pour un voyage qui dur dejà depuis la nuit dernière, elle avait volée près du sol accompagnée de ces compagnons pendant Une journée et une nuit entière étant donner que le desert est aride, il fallait le traverser au plus vite. Le guépard revint. Un lièvre et un fesan dans la geule qu'il deposa doucement au pied de sa maîtresse avant de repartir à la chasse mais désormait pour lui, un gibier de plus grosse taille et plus charnu. Le renard-écureuil réaparut, plusieurs fois, déposant à chaque fois un fruit près de sa maîtresse. Et celui ci fit de même que le guépard mais pour lui, il ne mangera que des fruits et des insectes.
Elle écrasa les fruits sur une écorse d'arbre, fit cuire rapidement la viande lorsque celle ci fut fini d'être travaillée et elle commença alors à manger en buvant dans le même temps son infusion de feuille, source de magnésium.

~ Elle se remit rapidement après en route mais décida tout de même de s'arrêter au alentour de midi pour dormir et repartir ainsi au crépuscule même si la forêt n'en ai pas moin dangereuse... Ils avancèrent mais cette fois plus vite, elle sur son cheval au galop pendant que l'autre suivait le rythm, le renard-écureuil dans la capuche et et le gépard qui prenait quelques mètre d'avance en cas de dangers trop vifs auquel il pourrait prévenir sa maîtresse en attaquant. L'air se donnait d'être plus frais et plus leger, se qui favorisa la chevauchée.. Le vent qui était favorable de nouveau transportait la cime des arbres, l'odeur du pollen, les bruits d'animaux et encore plus profond, des voix elfiques, celles d'hommes, des bruit de fer, d'armes brûlantes, de pain chaud, de cri d'enfant et de douces mélodies. Il lui arrive parfois de rêver de tout ça. De l'âge de la lumière, du fer et même de lui ... Mais elle se demande pourquoi, ce qu'il se passe des fois, quand le vent de la mer se lève et entre dans les sous bois, on peut entendre les récits des rois accompagnés par des chants et de douces voix. C'est le vent de la mer qui doucement les transporte, les histoires, les contes de l'ancienne époque. C'est comme une musique qui resterait pure et limpide, comme l'eau qui ruissèle dans ces veines, d'un courant chaud et rassurant, du sang.