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 Dans le coeur de Belle-voix... [13 Autÿn, privé Fubuki]

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Lahira
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Barde


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MessageSujet: Dans le coeur de Belle-voix... [13 Autÿn, privé Fubuki]   Dans le coeur de Belle-voix... [13 Autÿn, privé Fubuki] EmptyLun 23 Aoû - 18:50

(HRP: La première musique et chant est sur l’air de « In the hall of the mountain king » de Grieg. Le chant suivant correspond à une petite transformation de l’histoire de d'Acis et Galathée, une pièce d’opéra que j’ai énormément apprécié. Le Ra’sibe, que j’ai inventé (l’alcool uniquement), a comme nom le nom de la ville dont il est issu. Plus précisément, cette eau-de-vie est du même goût que l’Armagnac et de la même conception. Je n’ai pas pu m’en empêcher ! XD)

Belle-Voix était vide de monde. On n’avait pas fait de ménage dans la plupart des pièces depuis fort longtemps. Les vases étaient poussiéreux, les tapisseries couvertes d’une couche grisâtre où l’on voyait à peine les couleurs d’origines des tissus, des meubles âgés dévorés par les termites… Les couloirs, au sol dallés de plaque noire et blanche, étaient richement dotés de statues d’hommes et de femmes en pierre dans diverse position plus que désagréable mais belle à regarder, montrant une émotion particulière comme le rire ou la tristesse. Généralement nues, les statues portaient pour la plupart des masques fixes d’animaux, d’oiseau, ou des formes géométriques sculptées de signe arabesque. La splendeur passé de l’opéra, il n’en restait que de vagues témoins silencieux : Des piliers doré aux dessins étrange, les plafonds peints de magnifiques scènes de la vie, de la naissance à la mort, des rideaux rouges usés, des centaines de places attendant de nouveau public sur le sol ou bien en hauteur et un piano noir sur la scène en bois, où une étrange mélodie en sortait, calme. Tout était habituel, même la voix qui raisonnait dans la salle, tout ce qu’il y avait de plus normal. Des gargouilles hideuses à l’air sinistre gardaient un œil sur les visiteurs absent, assis sur les balustrades pour l’éternité, immobile. La salle dont nous parlons est en demi-cercle. On pouvait aisément deviner que, par la taille de la salle, il devait y avoir plusieurs étages accessibles via l’extérieur.
Le piano faisait vibrer les tympans de sa joueuse tandis que les mains gracieuses de l’humaine enfonçaient les touches avec délicatesse et rapidité. Elle joua différente notes, calme, puis de plus en plus rapidement, jusqu’au moment où sa voix prit part à tant de merveille à l’oreille. Alors, la salle entière semblait revivre de ses anciennes émotions. Des ombres se glissaient entre les places, puis disparaissait. D’autre reparaissait alors, une nouvelle fois. Mais n’étais-ce pas l’ombre de cette femme où les bougies montraient forme ? Bien qu’écartée et dans l’obscurité, on pouvait distinguer que cette femme qui jouait avait un physique mince, mais possédant des formes très avantageuse. Elle avait une allure très impressionnante, suante et énergique.
Alors, on entendit quelque pas dans l’ombre. La femme s’était arrêté et avait quitté sa chaise pour se mettre face aux places, debout, à côté des bougies qui bordaient la scène en plein milieu. On pouvait alors contempler ses vêtements noirs, brodées de blanc, son visage si radieux, extasié, malgré qu’il n’y ait aucun bruit, personne pour acclamer cette musicienne et chanteuse si talentueuse. Etais-ce juste la folie ou bien le souvenir ancien d’un spectacle ?


-Merci beaucoup, chers amis de la Seigneurie et de la royauté d’être venues, commença-t-elle. Vous avez attendu une pièce digne de se nom, et vous ressortez se soir de se spectacle si éprouvant satisfait ! Ma joie n’en est que plus grande depuis que j’ai appris que mon ami fidèle, le cher descendant du roi Isaac, qui est beaucoup à mon cœur, est présent à cette pièce dite« La pauvre et le prince. » Je tenais à vous dire que cela à été une expérience incroyable pour moi et je l’espère, pour vous. Mon corps en a encore des frissons de tant de bonheur, tant d’acclamation! Sachez que ma voix à été, depuis mes huit ans, mon seul moyen de vivre ma vie, et !mon plus grand plaisir n’est autre que d’apportez le bonheur autour de moi à travers elle.

Soudain, la femme entendit des bruits de pas. Elle comprit que quelqu’un était dans la salle. Etonnée, elle ne le montra pas. Cela faisait une éternité que personne n’était venu la voir ici! Qu’importe si la personne avait des bonnes ou mauvaises intentions, mais elle chanterait pour elle. Elle s’exclama alors pour dire qu’elle tenait encore une fois à chanter, sans musique. Sa voix raisonna dans la salle une nouvelle fois. Mais comparé à l’ancien, le chant était calme et doux. Sa chanson parlait d’un berger qui vivait heureux avec sa femme. Malheureusement, une créature gigantesque, à la forme humaine mais à la seule différence imaginable qu’il ne possédait qu’un œil au milieu du front, le tua pour le dévorer. Se passage était une des plus terribles, la créature hurlant rage et meurtre! Alors, la femme du berger pleura son époux et demanda aux dieux de ne plus faire qu’un avec son mari, dont le sang avait coulé sur le sol. Les dieux entendirent son appel et firent de son corps le creux d’une rivière et du sang de son époux l’eau qui coule en son sein. C’était une légende qui parlait de la création de la rivière enchanté qui coule dans Aldarion. Elle imitait à la perfection la voix de l’homme, à sa manière, celle de sa femme et de la créature. Une fois terminée, après quelques heures de chant, elle parla à la personne qu’elle savait présente et tourna son visage la où elle avait entendu le dernier bruit de pas, les yeux fermés.

-Est-ce que cette chanson vous a plus, madame ou bien monsieur ? Demanda-t-elle. Je l’espère en tout cas. Je connaissais les paroles de mes anciens collaborateurs par cœur. Personne n’était venu ici depuis bien de longues années. Approchez, n’ayez pas peur de moi bien sûr, je ne vous ferai aucun mal, je n’en ai heureusement aucun moyen ! Excusez moi si je suis un peu nostalgique, la vie est ainsi quand on est plus qu’un fantôme d’un âge passé.

La femme sourit puis continua.

-Mon prénom et mon nom sont Lahira Ortie. Je serais heureuse de faire connaissance avec vous. Je ne suis pas sorti de cet opéra depuis bien des années, alors un peu de nouveauté intellectuel et de compagnie ne me ferait pas de mal. La solitude, je connais si bien ! Les seules personnes qui me côtoient encore sont mes quelques serviteurs qui sont absent pour l’instant et même ainsi, ils ne me parlent pas beaucoup à l’aveugle que je suis. J’en profite pour chanter et jouer, voyez-vous, comme tout les soirs quand je commence à sentir un peu d’air frais dans cette salle dont on me dit qu’elle fut magnifique, il y a longtemps.

Son visage prit une teinte plus triste, mais elle garda son sourire. Au même instant, elle ouvrit les yeux où l’on pouvait voir une forme grisâtre translucide à la place de la pupille et de l’iris. Son défaut physique mise à nue, la regarder d’un autre œil était bien plus facile. Ses yeux faisaient ressentir frayeur et à la fois compassion, car ils étaient atrocement vides d’expressions. Comment la vie avait elle put lui donner un tel handicap ? Cependant, rien ne perturbait son sourire jovial et rassurant. Sans laisser le temps à la personne de parler, elle dit:

-Maintenant, il est temps pour vous de vous présenter, cher inconnu ! J’espère vous avoir éclairé sur quelques points précis et révélateurs. Qui êtes-vous donc ? Un humain comme il m’arrive d’en rencontrer ? Un Fynfrig avec son corps d’oiseau et ses magnifiques ailes ? Un Nalami au corps d’animal et à la voix d’une puissante bête ? Je voudrais le savoir ! Entendre votre voix me ferait plaisir et vous connaître aussi. Peut être même voudrez-vous prendre du thé ou bien du café, un chocolat aussi ou pourquoi pas un excellent cru de mon choix dans mes appartements privés ? J’ai un très bon vin dit d’entre-de-mer. Ou peut être encore voulez-vous quelque chose de bien plus fort ! J’ai du Ra’sibe, l’eau-de-vie si délicieuse que je vous ferai goûter avec joie. Je vous conterai si vous le souhaitez, l’histoire de cette boisson. C’est aussi très intéressant à asperger cet alcool sur un aliment pour la cuisine, succulent… ! Je pourrais même vous offrir la bouteille, malgré qu’il s’agisse de l’alcool le plus cher de ses terres et que je n’ai que deux autres bouteilles dans ma cave. En revenant à la nourriture, peut-être avez-vous faim, je ne peux malheureusement que vous proposer un maigre repas, du moins pour l’instant. Mes serviteurs ne devraient pas tarder à revenir pour préparer le souper, je mange très tard et beaucoup aussi ! Au menu, en entrée, une salade de gésier d’oie avec une tranche de foie gras et son pain croustillant, avec une assiette de charcuterie, suivi d’une pièce de magret de canard avec une sauce au poivre. Comme garniture des haricots verts et des pommes de terre sautées. J’ai oubliée le poisson, du saumon mariné. En dessert, nombre de fruits comme des oranges, des abricots, des pommes et des pêches, ainsi que provenant d’autre pays, de l’ananas, de la banane ainsi que des litchis. Il y a alors, si vous avez encore faim, de large proposition de différents gâteaux et pâtisseries sucré de tous les types, provenant de bien nombre de région et de pays. J’adore les crêpes ! Bien sûr, si vous souhaitez autre chose, je me ferai une joie de vous le donner… Un bon bain peut être prendrez-vous ? Voulez-vous des vêtements propres? En lin, en soie ? Je vous invite même à vous reposer une nuit ici! Je tiens à ce que la personne que vous êtes soit mon invitée de la soirée et que donc, vous soyez prise à la même envergure qu’un Seigneur ! Vous êtes le bienvenu, ou la, dans mon opéra Belle-voix ! Puissiez-vous vous sentir aussi bien que si vous étiez dans votre chez vous !

Lahira avait toujours était quelqu’un de chaleureux, d’âme tranquille et qui aimait beaucoup parler. Elle souhaitait vraiment satisfaire ce nouvel arrivant. Elle avait besoin de ça pour vivre, pour se sentir bien et qu’importe comment on la voyait après. Ce n’était pas la solitude qui lui faisait dire ça, mais elle avait toujours été ainsi. Quand elle avait été plus jeune, elle invitait les jeunes enfants ainsi que leurs parents, des membres du peuple pour parler avec eux longuement et tenter d’améliorer leur vie de différente manière. Beaucoup se sont imaginés qu’aujourd’hui elle n’est plus en vie, car voila bien des années qu’elle s’est enfermée dans son opéra et n’en sortait plus. Cependant, elle arrive encore à avoir des nouvelles d’eux, car bien qu’elle ne bouge pas, ses serviteurs sont ses oreilles et ils vont et viennent du marché et du château pour raconter ce qu’ils ont entendu.
Sa souffrance fait qu’elle ne peut pas oublier le dernier soir où elle rencontra le fils du roi Isaac. C’était en ses lieux, dans cette salle. Dans sa tristesse, elle ne réussit plus à sortir de cet endroit ni à parler à personne à l’extérieur. Ses parents, pensait elle, devait s’être dit qu’elle était décédée et que personne ne leur avait dit pour ne pas les attrister. Ils lui manquaient beaucoup.
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MessageSujet: Re: Dans le coeur de Belle-voix... [13 Autÿn, privé Fubuki]   Dans le coeur de Belle-voix... [13 Autÿn, privé Fubuki] EmptyLun 23 Aoû - 20:43

Douce et froide nuit, comme je l'aime, la lune si froide et si belle se pavanant dans les cieux d'un noir intenses, faisant la belle pour séduire les étoiles qui l'entouraient. Une nuit comme je les aime, je marchais d'un pas de félin, dans la rue déserte et dépouvu d'âme, peut-être étais-je entouré d'espris se demandant pourquois, ils ne pouvaient trouver le repos qui leur étaient dû. Moi, je savais pourquoi j'étais ici, je voulais vivre dans cette atmosphère dépourvu de chaleur et de joie. Ces mots sonneraient merveilleusement bien pour d'autre mais pour moi, ils sont une tortures horrible, je déteste tout ce qui est positif, je ne veux que le noir, une vie emplit de ténèbres comme je l'ai toujours eu. Je m'y suis habitué depuis que j'ai vu le jour, la vie est un long combat difficile que je veux mener rien que pour voir le sang couler, pour voir la tristesse de ceux qui m'entoure, je ne connais et n'aime que cela. Et je compte bien continuer ainsi, moi même, à mes instant perdu, je propage mort et sang sur mon passage, mais ce qui me plait le plus c'est ma vie de voleuse, même si je préviens mes victimes de mon vol et que celle-ci appel des gardes pour empêcher cela, j'en ris car je parviens toujours à mes fins. Personne ne peux m'empêcher de voler l'objet qui a retenu mon intention.

Mes pas s'arêttèrent devant un grand bâtiment presque en ruine, aucune âme qui vivent, peut-être avaient-ils des objets de valeurs que je puisse prendre. Je me dirigeai vers l'une des fenêtre, l'ouvrit et entra, l'atmosphère de cette endroit était spéciale froideur et chaleur semblaient combattre qui gagnera ? Nul ne le sais et je me moque bien de qui le remportera. Soudain dans l'air une mélodie s'éleva douce et triste, le son d'un instrument, un piano me semble-t-il, puis une voix. elle m'attirait, je ne le voulais pas mais mes membres semblaient bouger tout seul, je m'approchai vers ce qui semblait une salle de spectacle grande, vide. Il n'y avait personne sauf une femme se tenait là, assise devant son piano à jouer et à chanter. En entendant son chant, je voulu rire, car il parlait d'amour. Quel mot stupide, personne n'a besoin de cela pour vivre, non personne et moi je m'en sors très bien sans cela. Je quittais l'endroit sombre où j'étais pour me diriger vers la scène ma panthère me suivait de prêt ne voulant me quitter à aucun moment, elle semblait tout autant que moi attirait par ce chant et cette mélodie, au sentiments si confus pour moi. Puis tout s'arrêta, cette femme s'était levé se mettant au milieu de la scène.

-Merci beaucoup, chers amis de la Seigneurie et de la royauté d’être venues, commença-t-elle. Vous avez attendu une pièce digne de se nom, et vous ressortez se soir de se spectacle si éprouvant satisfait ! Ma joie n’en est que plus grande depuis que j’ai appris que mon ami fidèle, le cher descendant du roi Isaac, qui est beaucoup à mon cœur, est présent à cette pièce dite« La pauvre et le prince. » Je tenais à vous dire que cela à été une expérience incroyable pour moi et je l’espère, pour vous. Mon corps en a encore des frissons de tant de bonheur, tant d’acclamation! Sachez que ma voix à été, depuis mes huit ans, mon seul moyen de vivre ma vie, et !mon plus grand plaisir n’est autre que d’apportez le bonheur autour de moi à travers elle.

Elle est folle ou quoi ? Il n'y a personne devant elle, pourtant elle croit que des gens applaudissent pourtant c'est le calme plat. Est-ce la nostaligie du temps où elle faisait ces représentation qui la rende aussi folle ? Elle reprit la parole, cette fois, elle s'adressai à moi, elle avait sentit ma présence malgré le fait que je voulais rendre mes pas furtifs.

-Est-ce que cette chanson vous a plus, madame ou bien monsieur ? Demanda-t-elle. Je l’espère en tout cas. Je connaissais les paroles de mes anciens collaborateurs par cœur. Personne n’était venu ici depuis bien de longues années. Approchez, n’ayez pas peur de moi bien sûr, je ne vous ferai aucun mal, je n’en ai heureusement aucun moyen ! Excusez moi si je suis un peu nostalgique, la vie est ainsi quand on est plus qu’un fantôme d’un âge passé.

Voilà bien ma chance, je me retrouve avec une femme qui aime s'entendre parler, elle pourrait pas se taire ? Mais je pourrai bien la réduire au silence mais cela me rapporterai quoi, rien du tout, j'ai pas été payé pour la tuer, j'étais simplement venu ici pour voler. Mais je m'approchai tout de même pour voir à quoi elle ressemblait. Elle était belle, je devais me l'avouer, belle et froide, comme.... comme la lune ? Est-ce que cette femme était la forme humaine de cette astre ?

-Mon prénom et mon nom sont Lahira Ortie. Je serais heureuse de faire connaissance avec vous. Je ne suis pas sorti de cet opéra depuis bien des années, alors un peu de nouveauté intellectuel et de compagnie ne me ferait pas de mal. La solitude, je connais si bien ! Les seules personnes qui me côtoient encore sont mes quelques serviteurs qui sont absent pour l’instant et même ainsi, ils ne me parlent pas beaucoup à l’aveugle que je suis. J’en profite pour chanter et jouer, voyez-vous, comme tout les soirs quand je commence à sentir un peu d’air frais dans cette salle dont on me dit qu’elle fut magnifique, il y a longtemps.

Lahira Ortie ? Voilà un nom étrange, il donne à celui qui l'entend de la chaleur et de la bonté, tout ce que je déteste. Pourquoi je ne veux pas partir ? Pourquoi mes membres refusent de bouger ? Je devrais rester là et voir ce qu'il y a à voler, la manière dont elle parle me fait penser au language des nobles. Peut-être a-t-elle des objets de valeurs ? Rien ne coûte d'y jeter un coup d'oeil.

-Maintenant, il est temps pour vous de vous présenter, cher inconnu ! J’espère vous avoir éclairé sur quelques points précis et révélateurs. Qui êtes-vous donc ? Un humain comme il m’arrive d’en rencontrer ? Un Fynfrig avec son corps d’oiseau et ses magnifiques ailes ? Un Nalami au corps d’animal et à la voix d’une puissante bête ? Je voudrais le savoir ! Entendre votre voix me ferait plaisir et vous connaître aussi. Peut être même voudrez-vous prendre du thé ou bien du café, un chocolat aussi ou pourquoi pas un excellent cru de mon choix dans mes appartements privés ? J’ai un très bon vin dit d’entre-de-mer. Ou peut être encore voulez-vous quelque chose de bien plus fort ! J’ai du Ra’sibe, l’eau-de-vie si délicieuse que je vous ferai goûter avec joie. Je vous conterai si vous le souhaitez, l’histoire de cette boisson. C’est aussi très intéressant à asperger cet alcool sur un aliment pour la cuisine, succulent… ! Je pourrais même vous offrir la bouteille, malgré qu’il s’agisse de l’alcool le plus cher de ses terres et que je n’ai que deux autres bouteilles dans ma cave. En revenant à la nourriture, peut-être avez-vous faim, je ne peux malheureusement que vous proposer un maigre repas, du moins pour l’instant. Mes serviteurs ne devraient pas tarder à revenir pour préparer le souper, je mange très tard et beaucoup aussi ! Au menu, en entrée, une salade de gésier d’oie avec une tranche de foie gras et son pain croustillant, avec une assiette de charcuterie, suivi d’une pièce de magret de canard avec une sauce au poivre. Comme garniture des haricots verts et des pommes de terre sautées. J’ai oubliée le poisson, du saumon mariné. En dessert, nombre de fruits comme des oranges, des abricots, des pommes et des pêches, ainsi que provenant d’autre pays, de l’ananas, de la banane ainsi que des litchis. Il y a alors, si vous avez encore faim, de large proposition de différents gâteaux et pâtisseries sucré de tous les types, provenant de bien nombre de région et de pays. J’adore les crêpes ! Bien sûr, si vous souhaitez autre chose, je me ferai une joie de vous le donner… Un bon bain peut être prendrez-vous ? Voulez-vous des vêtements propres? En lin, en soie ? Je vous invite même à vous reposer une nuit ici! Je tiens à ce que la personne que vous êtes soit mon invitée de la soirée et que donc, vous soyez prise à la même envergure qu’un Seigneur ! Vous êtes le bienvenu, ou la, dans mon opéra Belle-voix ! Puissiez-vous vous sentir aussi bien que si vous étiez dans votre chez vous !
Je croisais mes bras sur la poitrine, rien qu'en parole, elle m'avait exténué, elle ne parlait plus beaucoup, alors elle se rattrape avec moi. Mais n'avait-elle pas peur de la personne face à elle ? Quand elle ouvrit les yeux, je percevais une forme grisâtre à la place de ces pupille, j'avais de la chance, une aveugle, elle ne connaîtra jamais mon visage. Un bon point pour cette rencontre. Maintenant qu'elle avait fini son monologue, je pris d'une voix froide.

- Sâche que je ne présente jamais, considère-moi simplement comme une ombre qui va et qui vient à sa convenance. Appel-moi l'Ombre Ecarlate, simple humaine considère-toi chanceuse de croiser mon chemin car tu ne finira pas au bout de mes lames. En tout cas pour ce soir.

Puis je repris d'un ton froid et dénué de sentiment.

- Pour répondre à ta question, je n'aime les chansons qui parlent d'amour, je préfère nettement ceux qui parle de sang et de mort.
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MessageSujet: Re: Dans le coeur de Belle-voix... [13 Autÿn, privé Fubuki]   Dans le coeur de Belle-voix... [13 Autÿn, privé Fubuki] EmptyLun 23 Aoû - 21:45

Une voix glaciale raisonna aux oreilles de Lahira, féminine. Une voix remplie de noirceur d’âme, mêlée à de la colère et de la rage. Que de force de conviction!

- Sâche que je ne présente jamais, considère-moi simplement comme une ombre qui va et qui vient à sa convenance. Appel-moi l'Ombre Ecarlate, simple humaine considère-toi chanceuse de croiser mon chemin car tu ne finira pas au bout de mes lames. En tout cas pour ce soir.

La voix se tu un instant, puis recommencer à sonner.

- Pour répondre à ta question, je n'aime les chansons qui parlent d'amour, je préfère nettement ceux qui parle de sang et de mort.

Contre toute attente, Lahira se mit à rire de sa puissante voix, un rire qui ne correspondait aucunement à la situation, rassurant et même sympathique. Elle reprit son souffle puis descendit de la scène à pas lent. Elle connaissait parfaitement le nombre de pas à faire à partir de là où elle se trouvait pour arriver au petit escalier qui rejoignait les places. Tout en marchand, elle se mit à fredonner une petite chanson. Juste sur le sol se trouvait une serviette blanche. Elle tâtonna par terre pour le trouver et chose faite s’épongea le visage avec ainsi que le haut de la poitrine et jeta la serviette par terre.

-Vous avez un très joli timbre de voix, jeune tueuse. Dit-elle sans méchanceté en souriant amicalement, regardant dans le vide. Vous auriez put faire une très bonne chanteuse, ça, je vous le dis!

Elle se souciait peu de sa propre vie depuis fort longtemps. Toute envie de vaincre la vie s’était depuis longtemps envolé et Lahira n’attendait que le jour de sa mort. Mais elle savait cependant que se ne serait pas aujourd’hui. Elle continua à fredonner puis dit :

-Je sens une profonde colère en vous, jeunette ! Votre propre voix trahit vos émotions. Je peux deviner que si vous êtes aussi froide avec la femme que je suis, c’est que vous avez vécu quelque chose de bien difficile…Vous savez, je comprends ces choses là. La voix donne tout le sens à la personne et seul quelque personnes peuvent comprendre se langage. Je peux deviner que des choses traumatisantes vous sont arrivés, qui vous ont blessées par le passé et vous êtes devenues ce que vous êtes, une femme froide, mais non désagréable. J’ai appris avec le temps d’accepter les gens comme ils sont et de les apprécier à leur juste valeur. C’est pourquoi votre carapace de violence ne me touche pas plus que cela…Et quel dommage que l’amour ne vous touche pas. Je suis cependant convaincu que si vous êtes resté, c’est que vous vouliez l’écouter. Les sentiments touchent même l’âme la plus noir, car elles rappellent des désirs qui sont pour la plupart enfouie dans l’âme. Je saurai vous convaincre, je vous le promets. Maintenant si vous le permettez, j’aimerai que vous m’aidiez à m’amener dans la salle à manger. Je vous expliquerai en détail alors ce que chaque objet représente dans cet opéra. Souhaitez-vous donc finalement boire du Ra’sibe et manger se soir avec moi ? Une personne comme vous ne peux pas refuser mon invitation et je pense que vous passerez moins pour une tueuse si je vous invite à prendre quelques affaires plutôt que de me prendre véritablement un objet. Après tout, quoi de plus facile de voler quelqu’un si lui-même est consentant, hm ? Allez, venez avec moi... Aussi, comment se nomme votre animal ? A mon avis, ça doit être quelqu’un qui vous aime beaucoup, preuve que l’on peut vous apprécier. Vous n’êtes pas si mauvaise en fin de compte, un animal n’obéis jamais à un maître qui ne le respecte pas, sinon tôt ou tard il le tue, tel se fameux conte de Salegrio Amunda où le chien d’un homme, ne pouvant plus supporter le joug de son maître, le tua.

Lahira avait entendu la bête en même temps que l’arrivé de cette femme. Etrangement, elle n’avait toujours pas grondé. Lahira finit par dire :

Dernière chose, je vous appellerai petite fleur, je trouve ça plus jolie qu’ombre. Votre voix n’a aucune consonance avec se mot. Elle est bien trop aigue. Allez, venez jeunesse !
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MessageSujet: Re: Dans le coeur de Belle-voix... [13 Autÿn, privé Fubuki]   Dans le coeur de Belle-voix... [13 Autÿn, privé Fubuki] EmptyLun 23 Aoû - 22:17

Je fus surprise d'entendre son rire s'élever, il n'y avait aucune peur, aucune colère dans ce dernier, c'était comme si je lui avais raconté une blague. C'est une femme bien étrange, une humaine comme on en voit peu et lorsque je me suis présenté à elle, sous mon nom d'assassin cela ne lui a fait aucun effet. Etait-elle prête à goûter à l'étreinte de la mort pour agir ainsi devant l'une de ses méssagères ? Soit elle était courageuse, soit elle était complètement folle ? La deuxième solution me paraissait la plus plausible étant donné qu'au cour de ma longue vie, jamais un être n'a agis ainsi face à moi.

-Vous avez un très joli timbre de voix, jeune tueuse. Dit-elle sans méchanceté en souriant amicalement, regardant dans le vide. Vous auriez put faire une très bonne chanteuse, ça, je vous le dis!

Chanteuse ? Cette fois, je me mis à rire de tout mon saoûle, un rire cristallin différent de ma voix froide et emplit de noir. Quelle bonne blague, moi, chanteuse, quelle plaisir pourrai-ton prendre à chanter devant des gens ? Je préfère nettement les voler ou les tuer, c'est plus jouissif que le chant. Décidemment, cette femme était l'humaine la plus drôle que j'ai croisé tout au long de ma vie et elle méritait que je m'intéresse à elle mais je préfère m'amuser un peu avant.

-Je sens une profonde colère en vous, jeunette ! Votre propre voix trahit vos émotions. Je peux deviner que si vous êtes aussi froide avec la femme que je suis, c’est que vous avez vécu quelque chose de bien difficile…Vous savez, je comprends ces choses là. La voix donne tout le sens à la personne et seul quelque personnes peuvent comprendre se langage. Je peux deviner que des choses traumatisantes vous sont arrivés, qui vous ont blessées par le passé et vous êtes devenues ce que vous êtes, une femme froide, mais non désagréable. J’ai appris avec le temps d’accepter les gens comme ils sont et de les apprécier à leur juste valeur. C’est pourquoi votre carapace de violence ne me touche pas plus que cela…Et quel dommage que l’amour ne vous touche pas. Je suis cependant convaincu que si vous êtes resté, c’est que vous vouliez l’écouter. Les sentiments touchent même l’âme la plus noir, car elles rappellent des désirs qui sont pour la plupart enfouie dans l’âme. Je saurai vous convaincre, je vous le promets. Maintenant si vous le permettez, j’aimerai que vous m’aidiez à m’amener dans la salle à manger. Je vous expliquerai en détail alors ce que chaque objet représente dans cet opéra. Souhaitez-vous donc finalement boire du Ra’sibe et manger se soir avec moi ? Une personne comme vous ne peux pas refuser mon invitation et je pense que vous passerez moins pour une tueuse si je vous invite à prendre quelques affaires plutôt que de me prendre véritablement un objet. Après tout, quoi de plus facile de voler quelqu’un si lui-même est consentant, hm ? Allez, venez avec moi... Aussi, comment se nomme votre animal ? A mon avis, ça doit être quelqu’un qui vous aime beaucoup, preuve que l’on peut vous apprécier. Vous n’êtes pas si mauvaise en fin de compte, un animal n’obéis jamais à un maître qui ne le respecte pas, sinon tôt ou tard il le tue, tel se fameux conte de Salegrio Amunda où le chien d’un homme, ne pouvant plus supporter le joug de son maître, le tua.

Mon rire s'arrêta net, comment pouvait-elle conclure rien qu'avec ma voix ce qui a pu m'arriver par le passé ? Je n'aimais pas être dévoilé ainsi, cela me mettait en colère. D'un geste rapide, je pris l'un de mes tantos, courut vers Lahira et le lui mis sous la gorge. Mon souffle se faisait plus brute, on pouvait y sentir toute la colère qui émanait de moi, qu'importe celle qui se trouvait devant moi. J'interdisai qu'on lise en moi ainsi pour ensuite dire haut et fort ce qu'il a ressentit.

- Encore un mot stupide humain et je t'égorge sur le champ, si tu ne veux pas que ton jolie corps se teinte de rouge, ne prononce jamais de mon passé ou de ce que tu crois ressentir à travers ma vois. Est-ce bien clair !

Mes mots avait fusé tel des poignards, s'il y avait une seule chose que je haïssai pas dessus tout c'était mon passé et que l'on lise en moi comme dans un livre ouvert. Cette femme n'était pas aussi fragile qu'elle en avait l'air car ces mots étaient puissant et pouvait bien désarmer celui ou celle qui lui faisait face. Une fois qu'elle avait bien compris, je rangeais mo arme dans son étui et refis quelque pas en direction de ma panthère qui n'avait pas bougé d'un poil.

- Je ne suis pas une bonne âme pour t'aider à circuler dans ces couloirs, tu n'a qu'à te trouver une canne.

J'allais repartir, j'en avais assez d'être en sa présence mais sa voix me stoppa.

- Dernière chose, je vous appellerai petite fleur, je trouve ça plus jolie qu’ombre. Votre voix n’a aucune consonance avec se mot. Elle est bien trop aigue. Allez, venez jeunesse !

- Petite fleur, décidemment tu veux mourir ce soir pour avoir parlé de trop. Je n'apprécie guère ce genre de chose, les fleur on besoin de la lumière pour s'épanouire moi je préfère les ténèbres. Et puis j'ai ma réputation à tenir, voler un objet qu'une personne veut bien me donner n'est pas vraiment du vol.

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MessageSujet: Re: Dans le coeur de Belle-voix... [13 Autÿn, privé Fubuki]   Dans le coeur de Belle-voix... [13 Autÿn, privé Fubuki] EmptyLun 23 Aoû - 23:03

Vraiment, cette jeune fille était impressionnante ! Magnifique, splendide, tels étaient les termes que pouvaient employer Lahira à se moment là. Quelle force de caractère, quelle personnalité complexe ! Que d’excitation pour Lahira qui voyait enfin le moyen de se faire une nouvelle personne de confiance. Cette femme cachait bien des choses, et Lahira voulait l’apaiser. Elle ne pouvait pas accepter qu’une personne ne soit pas heureuse au fond. Poussé par sa soif d’aider, à n’importe qu’elle prix, elle continua.

-Vous êtes toujours une petite fille, vous savez. Dit-elle, sa voix se faisant de plus en plus amusé. Vous aimez jouer avec les nerfs des personnes pour qu’ils éprouvent de la peur. Mais j’ai tout perdue, jeune fille, je n’ai plus rien à perdre, même pas cette opéra ! Croyez-vous vraiment qu’avec une lame, que pour ton propre envie, j’aurai peur ? Mais je n’ai plus de peur. Mais si vous le souhaitez, je peux jouer la comédie comme je l’ai fais pendant bien des années… Mais je doute que cela vous plaise dans cette circonstance. Je peux deviner que vous avez une certaine incompréhension, une envie irréductible de comprendre qui suis-je donc, de comprendre pourquoi je suis ainsi. Tout cela est bien long… Et je peux tout vous raconter, et vous expliquer qui suis-je donc, moi, Lahira Ortie, la Cantatrice, qui fut célèbre pendant bien des années, chantant pour les Seigneurs, le peuple et pour se pauvre prince que fut le fils du roi Isaac, cet homme si bon et si juste… J’ai aidé le peuple quand il allait mal, autant humain que autre, discutant avec eux pour les aider dans leur vie. J’ai aidé à construire nombre de foyer pour des orphelins et qui aujourd’hui sont des adultes responsable et très intelligent. Malheureusement, à la mort du prince, je me suis…affaiblie. J’ai perdu mes contactes de l’extérieur et est préféré moisir tel de la nourriture gâché plutôt que de vivre pleinement ma vie. Je n’ai jamais utilisé la manière forte, elle est l’arme des faibles et des couardes. Ainsi, je veux à tout prix évité qu’une jeune femme, qui mériterait davantage qu’une vie violente et tourmenter, sombre dans ses problèmes lugubres comme moi. Personne ne mérite pareil vie. Je pourrais vous en dire plus, bien entendu…

Un grommellement se fit entendre. Lahira tourna la tête vers l’animal de celle qu’elle baptisa Petite fleur. Lahira s’accroupit et ferma les yeux. De ses lèvres jaillissaient une chanson apaisante. L’animal renifla l’air puis s’approcha de la Cantatrice, comme si il était hypnotisé tel un serpent par un charmeur. Sentant sa respiration toute proche, Lahira plaça sa main sur le cou, en dessous de la tête, et caressa le poitrail. Alors que poser la main sur la tête d’un animal était un signe de possession, le poser sur le poitrail était le signe que l’on était ami. L’animal, content, se frotta alors avec force sur Lahira qui s’effondra sur le sol, surprise. L'animal se jeta sur elle et se mit à la mordiller gentiment, mais plus fort que ne l'aurait demandé la Cantatrice. Bien qu'elle avait mal, un rire sortit de sa bouche.

-Eh bien ! Incroyable! J’ignore qu’elle est cet animal mais il a de la puissance à revendre. Il m’a l’air bien soigné et vigoureux, preuve que l’on s’occupe bien de lui. J’aime les personnes qui s’occupent bien des personnes qui leur sont proche. Vous êtes quelqu’un de plus gentille que vous ne l’imaginez, Petite fleur…

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MessageSujet: Re: Dans le coeur de Belle-voix... [13 Autÿn, privé Fubuki]   Dans le coeur de Belle-voix... [13 Autÿn, privé Fubuki] EmptyLun 23 Aoû - 23:22

-Vous êtes toujours une petite fille, vous savez. Dit-elle, sa voix se faisant de plus en plus amusé. Vous aimez jouer avec les nerfs des personnes pour qu’ils éprouvent de la peur. Mais j’ai tout perdue, jeune fille, je n’ai plus rien à perdre, même pas cette opéra ! Croyez-vous vraiment qu’avec une lame, que pour ton propre envie, j’aurai peur ? Mais je n’ai plus de peur. Mais si vous le souhaitez, je peux jouer la comédie comme je l’ai fais pendant bien des années… Mais je doute que cela vous plaise dans cette circonstance. Je peux deviner que vous avez une certaine incompréhension, une envie irréductible de comprendre qui suis-je donc, de comprendre pourquoi je suis ainsi. Tout cela est bien long… Et je peux tout vous raconter, et vous expliquer qui suis-je donc, moi, Lahira Ortie, la Cantatrice, qui fut célèbre pendant bien des années, chantant pour les Seigneurs, le peuple et pour se pauvre prince que fut le fils du roi Isaac, cet homme si bon et si juste… J’ai aidé le peuple quand il allait mal, autant humain que autre, discutant avec eux pour les aider dans leur vie. J’ai aidé à construire nombre de foyer pour des orphelins et qui aujourd’hui sont des adultes responsable et très intelligent. Malheureusement, à la mort du prince, je me suis…affaiblie. J’ai perdu mes contactes de l’extérieur et est préféré moisir tel de la nourriture gâché plutôt que de vivre pleinement ma vie. Je n’ai jamais utilisé la manière forte, elle est l’arme des faibles et des couardes. Ainsi, je veux à tout prix évité qu’une jeune femme, qui mériterait davantage qu’une vie violente et tourmenter, sombre dans ses problèmes lugubres comme moi. Personne ne mérite pareil vie. Je pourrais vous en dire plus, bien entendu…

Je ne voulais plus rien entendre d'elle, je ne voulais pas qu'on devine le désespoir quà était mon enfance, je ne veux pas de la compassion ni de pitié et encore moins d'aide de qui que se soit, je veux que l'on me hait et qu'on est peur de moi mais cette femme ne ressentait aucune peur à mon égard. Comment cela pouvait être possible ? Toute ma vie, j'ai propagé la peur de part mes assassinats sanglants et je me suis moqué de ceux que je volais, mais aujourd'hui face à cette femme, je commençai à devenir faible, elle me mettais face àcelle que j'étais réellement, celle que j'ai banni dans mon enfance, celle qui a été brisé, celle que l'on a frappé, celle qui a été trahit. Malgré cela, malgré tout ces sentiments qui prenaient le dessus en moi, je décidai de ne faire rien paraître, aveugle elle l'était mais ces sens accrut lui permettait de voir bien plus que les autres. Tout comme moi, mes gênes de panthère me permettait de voir et d'entendre plus qu'un humain normal.

Shiro grommela à mes côtés, il se méfiait de cette femme qui avançait de plus en plus de moi pourtant ce qu'il fit après m'étonna grandement, il se laissa caresser par cette femme, je le regardai d'un oeil critique prendre du plaisir aux caresses de cette femme puis je dit à l'attention de ma panthère.

-Eh bien ! Incroyable! J’ignore qu’elle est cet animal mais il a de la puissance à revendre. Il m’a l’air bien soigné et vigoureux, preuve que l’on s’occupe bien de lui. J’aime les personnes qui s’occupent bien des personnes qui leur sont proche. Vous êtes quelqu’un de plus gentille que vous ne l’imaginez, Petite fleur…

- Shiro, tu n'es qu'un traître. Toi une panthère méfiante, tu te laisse hypnotisé par le chant de cette femme en même pas deux seconde.

Je le vis se crisper puis il me regarda, il revint vers moi et frotta sa tête contre ma jambe, comme s'il s'excusait de son comportement, il était le seul avec qui je montrai de la gentillesse. Pas une fausse mais une sincère et véritable gentillesse, je lui grattais derrière l'oreil et l'entendit ronronnais, il savait très bien que je ne pouvait lui en vouloir plus longtemps, je me permis de faire un sourire, de toute façon cette femme ne verrai pas ce que je fais.

- Arrête de m'appeler Petite fleur ! C'est agaçant !
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MessageSujet: Re: Dans le coeur de Belle-voix... [13 Autÿn, privé Fubuki]   Dans le coeur de Belle-voix... [13 Autÿn, privé Fubuki] EmptyMar 24 Aoû - 10:24

Lahira, avec son sourire léger, entendit Petite fleur gronder sur l’animal. Elle sentit la puissante bête s’en allez puis ronronner. Elle comprit vite que quelque chose lui plaisait mais elle ignorait de qu’elle manière. Elle ne put pas retenir un bref soupir de soulagement quand elle se releva, car n’empêche, il était lourd. Petite fleur lui demanda alors d’arrêter de l’appeler ainsi. Ce à quoi, d’une voix amical, elle répondit :

-Ah ! La jalousie excessive… Preuve de tout un amour profond… Cela me plait de plus en plus, vous apprenez vite, Petite fleur… ! L’amour est si passionnant, si beau… Je vois qu’en faite vous le connaissez très bien! Je me sens revivre comme à mes vingt ans, c’est agréable!

Soudain, un cri se fit entendre. La voix d’un homme hurlait le nom de la Cantatrice, paniqué. Un homme surgit de la scène, dans un costume de maître d’hôtel noir et blanc. Il avait une cinquantaine d’année, avec des cheveux blonds commençant à cendrer, des traits ridés et des yeux bleus. Son nez était légèrement arrondi, moyen en taille mais un petit peu large. Il portait dans ses mains une lanterne avec lui, lui irradiant le visage. On pouvait voir une balafre lui traversant le visage, ancienne mais profonde. C’était un homme plutôt maigre, mais qui donnait une profonde sensation d’amusemant, car rien n’était mauvais dans ces traits. Il voyait l’animal et Petite fleur, de loin, et avait horriblement peur pour sa patronne. Lahira éclata d’un rire bien plus fort encore, qui fit reculer la panthère.

-Détendez-vous-, Noils, mon homme à tout faire ! Dit la Cantatrice une fois calmée. Ce n’est que ma cousine éloignée qui vient me rendre visite. C’est une excellente dompteuse d’animaux, et connaissant mon plaisir pour les armes comme les épées, elle m’a fait touché une lame, vous savez que j’adore cette matière… ! Elle descend d’une famille de marchand, mais elle a préférée faire sa vie dans un cirque itinérant et elle vient me rendre visite…

L’incompréhension totale se lisait sur le visage de Noils. Il toussa.

-Mais…Vous n’avez jamais accepté que personne ne vienne dans votre opéra depuis…Dix ans ?

-Les temps changent, Noils. J’ai décidé que le jour était enfin arrivé, le grand jour comme je l’ai dis une fois…

L’homme à tout faire ouvrit grand les yeux, béa. Puis il sourit, comprenant ce que voulait dire sa patronne.

-Très bien, mademoiselle Ortie…

-Noils, une dernière chose… Pouvez-vous mettre un autre couvert ? Je tiens que ma chère cousine soit occupée avec soin. Dès que mes enfants auront terminé le souper, prévenez-moi, mais qu’on sorte l’argenterie et la porcelaine ! Elle mérite autant de considération que j’en avais pour le prince! Sortez les meilleurs vins, donnez lui quelque de mes vêtements les plus beaux. Qu’on lui prépare un bon bain parfumé à la cerise et un délicieux cocktail de fruit! Noils, bonne chance mon ami...

Noils semblait heureux. Il n’avait pas revu sa maîtresse ainsi depuis des années. Quelque chose l’avait changé, et il ne doutait pas que cette inconnue y était pour quelque chose. L’homme à tout faire partie. Lahira tendit son bras pour que Petite fleur l’attrape.

-Le dîner sera bientôt prêt. Je vous le demande, venez avec moi et accompagnez une aveugle… Je suis sûr qu’un bon repas vous ferais du bien, à vous et à votre animal…
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MessageSujet: Re: Dans le coeur de Belle-voix... [13 Autÿn, privé Fubuki]   Dans le coeur de Belle-voix... [13 Autÿn, privé Fubuki] EmptyMar 24 Aoû - 10:55

J'entendis une voix d'homme retentire dans la grande pièce instinctivement, je portai mes pains sur les poummeaux de mes armes, au cas où s'il tenterait quoi que se soit d'imprudent à mon égard. J'étais prête à attaquer lorsque la voix de Lahira retentit.

-Détendez-vous-, Noils, mon homme à tout faire ! Dit la Cantatrice une fois calmée. Ce n’est que ma cousine éloignée qui vient me rendre visite. C’est une excellente dompteuse d’animaux, et connaissant mon plaisir pour les armes comme les épées, elle m’a fait touché une lame, vous savez que j’adore cette matière… ! Elle descend d’une famille de marchand, mais elle a préférée faire sa vie dans un cirque itinérant et elle vient me rendre visite…

Cousine éloignée ? Dompteuse ? Cirque itinérant ? Cette femme avait beaucoup d'imagination pour cacher la véritable venu dans cette opéra abandonné, pourquoi faisait-elle cela ? Elle aurait pu lui dire que j'étais une voleuse, mais elle n'a rien fait de tout cela, elle voulait gagner à être en ma compagnie. Je regardai l'échange entre ces deux personne, je donnais des petits coups d'oeils à Shiro qui semblait aussi surpris que moi par le comportement de cette femme. Des vêtements ? Mais les miens me convienne parfaitement et vu la façon dont cette femme s'habillait, elle ne devait porter que des robes, pas du tout mon style. Un bain ? Pourquoi pas, et je vais pas dire non à de la bonne nourriture et à de l'alcool.

Une fois l'homme repartit, Lahira se tourna à nouveau vers moi avec son sourire habituel sur ses lèvres.

-Le dîner sera bientôt prêt. Je vous le demande, venez avec moi et accompagnez une aveugle… Je suis sûr qu’un bon repas vous ferais du bien, à vous et à votre animal…

Je soupirai d'ennui, elle ne voulait pas me lâcher, ça commençait à me taper sur les nerf mais cette femme m'intriguait et je voulais savoir pourquoi elle avait autant bonne âme envers une personne qui ne vit que par le vol et l'assassinat.

- Je ne peux vous cacher que je déteste votre personnalité, sourire sans raison à tout bout de champ m'éxaspère néanmoins vous piquait ma curiosétié humaine.

Je m'approchai d'elle mettant mes mains dans mes poches et lui donnant un petit coup de coude sur sa hanche, façon bien à moi de lui dire. "Tiens voilà mon bras".

- Par contre je ne vais pas refuser de la nourriture et de l'alcool mais oubliez les vêtements les miens sont propres et me convienne parfaitement !

Je parlais de façon vraiment très froide à son égard, je ne pouvais m'empêcher de penser qu'elle ressemblait à ma mère, avant qu'elle ne perde la tête à cause de mon imbécile de géniteur. Par la suite, je l'ai détestai, elle m'aidait et me détestait à la fois, dès qu'elle avait fini de me battre, elle s'excusait à tout bout de champ. Lorsqu'elle se tua, je n'ai éprouvait que pur bonheur, car la neige si blanche avait prit une teinte rouges des plus belles.
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MessageSujet: Re: Dans le coeur de Belle-voix... [13 Autÿn, privé Fubuki]   Dans le coeur de Belle-voix... [13 Autÿn, privé Fubuki] EmptyMar 24 Aoû - 11:44

Lahira souria, elle réfléchit et répondu.

-La chose que vous ne comprenez pas, Petite fleur, c’est que je ne souris pas pour rien. Vous pensez me connaître déjà ? Drôle d’idée… Vous apprendrez bien vite que certaine personnes ont des moyens de cacher leur véritable être qu’ils sont avec facilité… Vous n’êtes pas la seule à être capable de ça, mais avec moi, vous ne pourrez pas vous mettre dans l’ombre, je l’avoue. J’aperçois une petite lumière blanche dans votre âme et je tiens à la faire jaillir de votre esprit. Et merci d’accepter mon invitation…

La Cantatrice prit le bras de petite fleur et commença à lui indiquer par où il fallait passer. Ainsi, elles sortirent de la salle et traversèrent les longs couloirs sombres tapissés et avec des meubles qui pouvaient rendre fou de bonheur un antiquaire. Au fur et à mesure qu’elles avançaient, Lahira expliquait les sentiments de chaques statues. Ainsi, ils traversèrent tristesse, étonnement, bonheur, colérique, incompris, pensif et mal-être. Cependant, une statue n’était pas comme les autres, représentant un homme de grande taille légèrement barbue. Lahira ne dit rien à se passage et préféra se taire, son sourire en fut terni un instant. Elles montèrent de longs escaliers en colimaçon, en marbre, pour arriver finalement devant une grande porte en chêne dessiné d’un masque à la fois content et triste.

-Je vous laisse ici, dit Lahira. Mes appartements se trouve à droite. Derrière la porte devant nous se trouve la salle à manger, avec de la porcelaine sur les étagères. A gauche, la salle de bain. Je pense que mes serviteurs ont préparé votre bain. Une fois que vous aurez terminé, allez dans la salle à manger et prenez place… Que votre âme se repose.

La cantatrice alla dans ses appartements. Elle traversa quelque pièce, connaissant le chemin par cœur, et s’allongea sur le lit aux draps rouges pour tenter de se reposer un peu. Elle ne commençait plus à être toute à fait jeune et quelque chose la fatiguait…Elle ferma les yeux, prenant le temps de se reposer calmement…
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MessageSujet: Re: Dans le coeur de Belle-voix... [13 Autÿn, privé Fubuki]   Dans le coeur de Belle-voix... [13 Autÿn, privé Fubuki] EmptyMar 24 Aoû - 12:03

-La chose que vous ne comprenez pas, Petite fleur, c’est que je ne souris pas pour rien. Vous pensez me connaître déjà ? Drôle d’idée… Vous apprendrez bien vite que certaine personnes ont des moyens de cacher leur véritable être qu’ils sont avec facilité… Vous n’êtes pas la seule à être capable de ça, mais avec moi, vous ne pourrez pas vous mettre dans l’ombre, je l’avoue. J’aperçois une petite lumière blanche dans votre âme et je tiens à la faire jaillir de votre esprit. Et merci d’accepter mon invitation…

Une petite lumière blanche ? Quelle bonne blague, je n'ai ni ténèbres et ni lumière, je suis de gris, neutre et vide de toute compassion ou d'amour, j'e préfère ma liberté et ma solitude mais je ne pouvais m'empêcher d'être intrigué par cette femme qui voulait à tout prit me rendre le sourire. Je n'ai plus souris depuis bien longtemps en tout cas avec un humain, Semi ou autre sauf peut-être avec Shiro, il est le seul avec qui je peux sourire. On traversa une multitude de couloirs, elle m'explique au passage les différentes statues avec beaucoup de détail sauf une, je compris de suite avec la tistesse qui passa sur son visage que cette statue devait représenter quelqu'un de particulier pour elle même si l'envie me dit d'en parler rien que pour voir encore plus de tristesse sur son visage, je me retenu tout de même. Lorsque je découvris la pièce qui serait ma chambre pour une nuit, j'ouvris grands mes yeux, il y avait des objets de grandes valeurs partout, j'étais au paradis, j'y manquerai pas de prendre quelque chose avant de partir.


-Je vous laisse ici, dit Lahira. Mes appartements se trouve à droite. Derrière la porte devant nous se trouve la salle à manger, avec de la porcelaine sur les étagères. A gauche, la salle de bain. Je pense que mes serviteurs ont préparé votre bain. Une fois que vous aurez terminé, allez dans la salle à manger et prenez place… Que votre âme se repose.

Après qu'elle soit partit, je vis sur le lit une robe de soie bleu avec un léger décolleté. Hors de question que je porte ça, c'est inhumain, comment les femmes peuvent-elle porter ce genre de vêtement ? Il n'y a aucune liberté de mouvements. Je me dirigeai vers la grande salle de bain, j'entrepris d'enlever mes vêtements et entra dans l'eau bien chaude, il y avait de la mousse, un parfum de jasmin en ressortait, je de l'avouer c'était très agréable. Shiro était couché sur le grand tapis de la chambre, moi je prenais mon temps dans ce bon bain, j'avais pour habitude de me laver dans les rivières, ça changeait un peu du quotidien.

Une fois ce moment de relaxation finit, je me séchai et me rhabillai puis me dirigea vers la salle à manger, c'était une pièce vaste, une longue table trônait au milieu de la pièce entourait de plusieurs chaises. Je m'assis sur l'une d'elle et vit du coin de l'oeil l'homme à tout faire de Lahira qui ne cessait de me sourire, je levais les yeux au ciel. Puis le bruit de la porte venait de s'ouvrir à nouveau.

- D'après les règles de bienséance, l'hôtesse ne devrait-elle pas se trouver dans la pièce avant l'invité ? dis-je d'une vois taquine.
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MessageSujet: Re: Dans le coeur de Belle-voix... [13 Autÿn, privé Fubuki]   Dans le coeur de Belle-voix... [13 Autÿn, privé Fubuki] EmptyMar 24 Aoû - 12:26

Noils était présent dans la salle à manger lorsque Petite fleur arriva. Lorsqu’elle lui parla que l’hôtesse devait être présente avant l’invité d’une voix taquine, il resta impassible. Il avait compris que ce n’était pas une cousine, mais étant considéré comme invité, il allait s’en occupé.

-Mademoiselle Ortie a comme qui dirait des problèmes physiques. Elle n’a pas dut vous l’expliquer peut être, mais depuis qu’elle reste enfermée ici, elle s’est beaucoup affaiblie, autant psychologiquement que physiquement. Quand le froid arrivait, elle refusait de se réchauffer et préférait dormir par terre devant la statue de l’ancien prince des hommes. Ne soyez pas trop moqueuse avec elle, ce n’est pas une femme qui mérite vraiment ce genre de chose, elle a suffisamment souffert et souffre beaucoup trop. Vous savez, elle ne parle plus à personne, même plus à ses parents parce qu’elle a honte de son état actuel. Mais je vous dire, mademoiselle ou bien madame, que c’est bien la première fois qu’elle sympathise depuis bien des années. Quelque chose a changé, je pense. Je doute que se soit réciproque, mais vous lui faite plaisir, je le sens. Je pense que vous arrivez à lui faire renaître cette flamme qui jadis brillait en elle. C’est une femme extraordinaire. J’ai eu une vie difficile moi aussi. Ma femme me trompait et j’ai sombré dans la débauche de l’alcool. Si elle n’avait pas été là, voila quinze ans que je serais mort. Elle a se don, d’aider les gens. Aujourd’hui, j’ai changé de femme celon ses conseils et j’ai deux merveilleux enfants dont l’un deviendra prêtre et l’autre forgeron dans le meilleur apprentissage de tout Ra’sibe grâce à ses dons d’argent. Mais ne pensez pas qu’elle a beaucoup d’argent, elle n’achète que de la nourriture, seulement, et ne s’occupe de rien d’autre que de ça et de sa voix.

Noils s’approcha de la table nappé et montra les différentes bouteilles de vin, ainsi que du Ra’sibe.

-Prenez donc le temps de déguster chaque alcool dans un verre, à petite dose, apprécier leur saveur. Qu’elle vin voulez-vous donc… ? Un vin peut être doux, comme du vin blanc ? Ou un vin plus sucré peut être ?
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MessageSujet: Re: Dans le coeur de Belle-voix... [13 Autÿn, privé Fubuki]   Dans le coeur de Belle-voix... [13 Autÿn, privé Fubuki] EmptyMar 24 Aoû - 12:47

-Mademoiselle Ortie a comme qui dirait des problèmes physiques. Elle n’a pas dut vous l’expliquer peut être, mais depuis qu’elle reste enfermée ici, elle s’est beaucoup affaiblie, autant psychologiquement que physiquement. Quand le froid arrivait, elle refusait de se réchauffer et préférait dormir par terre devant la statue de l’ancien prince des hommes. Ne soyez pas trop moqueuse avec elle, ce n’est pas une femme qui mérite vraiment ce genre de chose, elle a suffisamment souffert et souffre beaucoup trop. Vous savez, elle ne parle plus à personne, même plus à ses parents parce qu’elle a honte de son état actuel. Mais je vous dire, mademoiselle ou bien madame, que c’est bien la première fois qu’elle sympathise depuis bien des années. Quelque chose a changé, je pense. Je doute que se soit réciproque, mais vous lui faite plaisir, je le sens. Je pense que vous arrivez à lui faire renaître cette flamme qui jadis brillait en elle. C’est une femme extraordinaire. J’ai eu une vie difficile moi aussi. Ma femme me trompait et j’ai sombré dans la débauche de l’alcool. Si elle n’avait pas été là, voila quinze ans que je serais mort. Elle a se don, d’aider les gens. Aujourd’hui, j’ai changé de femme celon ses conseils et j’ai deux merveilleux enfants dont l’un deviendra prêtre et l’autre forgeron dans le meilleur apprentissage de tout Ra’sibe grâce à ses dons d’argent. Mais ne pensez pas qu’elle a beaucoup d’argent, elle n’achète que de la nourriture, seulement, et ne s’occupe de rien d’autre que de ça et de sa voix.

Les personnes bien se font toujours avoir c'est ce que je pensais, autrefois ma mère était une femme qui aimait venir en aide aux autres et s'occuper au mieux de sa famille mais elle a été trahit et à sombré dans la folie et plus je grandissais plus elle voyait que je ressemblait à mon père, elle se mit à me battre et à s'éxcuser dès qu'elle avait finit, le jour de son suicide fut le jour de ma délivrance. Pour moi, même la personne la plus gentille peut se transformer en un vrai monstre. C'est pour ça que je suis ainsi et que je déteste ceux qui sont emplit de compassion et de gentillesse.

- Ta femme te trompait ? Mon pauvre ami, moi, c'est mon père qui trompait ma mère....

Mais qu'est-ce que je dis moi ! Voilà que je fais la causette et que je commence à me dévoiler à cet homme à tout faire. Si je restais trop longtemps, j'allais finir par complètement me dévoiler à eux. Et avoir de la compassion alors que je suis une assassin, ce n'est pas bon pour les affaires. J'ai une réputation à tenir et je compte bien la garder. Je ferais mieux de changer de discussion.

- Donne moi ce que tu as de plus fort comme alcool, j'en ai besoin !

Je vis dans ses yeux une lueur de tristesse à mon égard, il me servis l'alcool le plus fort dans un petit verre que je bu d'un trait puis lui en redemanda un autre en lui précisant de ne pas avoir peur de remplir un bon verre.

- La statue de cette homme, je suppose qu'elle devait l'aimer passionnément, je me doute bien de ta réponse, l'amour est inutile et je suis bien contente de ne pas connaître cela.

Ma voix restait froide malgré tout, je trouvais cela stupide de se rendre malade pour un être qui n'était sûrement plus de ce monde. Mieux valait continuer à vivre comme on le fait chaque jours, cela ne sert à rient de rester dans le passé. En tout cas, c'est comme ça que moi j'avance dans ma vie, je préfère vers deux pas en avant et ne plus regarder derrière moi.

- Sit u veux un conseil l'ami, dis à ta patronne de cesser de vivre dans le passé et de vivre au présent et qu'elle commence à regarder son avenir. A se terrer ici, il meurt chaque jour. Faut la bouster un peu !
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MessageSujet: Re: Dans le coeur de Belle-voix... [13 Autÿn, privé Fubuki]   Dans le coeur de Belle-voix... [13 Autÿn, privé Fubuki] EmptyMar 24 Aoû - 13:08

Noils tira un petit sourire forcé.

- Malheureusement, c'est le présent qui lui fait peur aujourd'hui, mademoiselle. Vous ne pourrez jamais comprendre ce que c’est que de se dire qu’on pourrait la prendre pour une mort-vivante, elle qui connu la célébrité. Elle est malade et physiquement de plus. Vous lui parlerez de ça avec elle, je suis du même avis que vous. Mais ne mentionnez surtout pas le prince tant qu’elle n’en a pas parlé. J’ignore votre passé, mademoiselle, mais je doute que cela puisse réellement empêchée mademoiselle Ortie à arriver à ses fins.

Au même instant, la porte de la salle à manger s’ouvrit. La cantatrice apparue. Mais cette fois, elle avait perdue toute sa splendeur. Ses cheveux étaient ébouriffés, sa peau devenu aussi pâle qu’un cadavre et suante, le souffle saccadé. Noils s’approcha calmement de Lahira et l’amena sur une chaise pour qu’elle se repose. La cantatrice se crispait de douleur, à la manière de spasme. S’en était effrayant tant on pouvait imaginer la douleur qu’elle se contenait d’hurler. Elle s’agrippait à la table, arrachant le tissu de ses ongles. Quelques minutes s’écoulèrent ainsi, jusqu’au moment où la crise passa. Alors enfin, la cantatrice se permit de parler :

-Amenez-moi sept verres de Ra’sibe, Noils, je suis altérée, j’ai besoin de me détendre…

Noils prit un verre sur la table ainsi que six autres sur les étagères et servit Lahira. Cette dernière se jeta sur les verres en buvant chaque verre d’un trait. Elle savait que ça ne lui ferait rien, elle était habituée à boire beaucoup d’alcool. Chose faite, elle sembla peut à peut reprendre des couleurs.

-Excusez-moi pour mon retard, Petite fleur. J’ai mes petits soucis….

Pendant se temps là, les serveurs arrivaient et déposait la salade de gésier d’oie devant le nez de Petite fleur ainsi que devant la Cantatrice. Quelle assiette! Elle aurait suffit pour tout une compagnie!
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MessageSujet: Re: Dans le coeur de Belle-voix... [13 Autÿn, privé Fubuki]   Dans le coeur de Belle-voix... [13 Autÿn, privé Fubuki] EmptyMar 24 Aoû - 14:00

Je n'eu pas le temps de lui répondre que Lahira pénétra dans la salle à manger, elle ressemblait à un cadavre, encore plus pâle qu'elle ne l'était avant et ses cheveux n'avaient plus aucune tenue. Elle faisait peur à voir mais bon je ne dis rien et je la laissai parler avec son homme à tout faire qui lui servie sept verres pour les remplir de Ra'Sibe, une chose qu'elles avaient en communs était le goût pour l'alcool. Noils vint me servit un autre verre bien remplit de l'alcool le plus fort.

-Excusez-moi pour mon retard, Petite fleur. J’ai mes petits soucis….

- Je vois ça, tu fais peur à voir. Bon c'est pas tout mais quand est-ce que l'on mange !

A peine j'ai dis ça que l'on vint nous servir, je regardais l'entrée avec appétit, on n'a même préparé quelque chose pour Shiro mais ce dernier grogne lorsqu'un des serviteurs voulu déposer son assiette, je tendis ma main pour prendre l'assiette et la déposa à terre, Shiro sauta directement sur l'assiette en se régalant de son repas. Je regardai néanmoins le décor de la salle, tout était vieux cela donnait un côté très sombre à la pièce et j'aimais ça.

- J'aime beaucoup la décoration, ça donne un côté très noir à la pièce. Félicitation au décorateur.

J'avais pas grand chose à dire, je ne savais pas de quoi vraiment parler avec elle, je n'avais jamais été dans ce genre de situation auparavant, je préféré nettement dîner seule accompagné de Shiro ainsi que de la nuit et de ma solitude.

- Alors ? Comment vas-tu t'y prendre pour faire naître cette soi disant lumière blanche que tu vois en moi humaine !

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MessageSujet: Re: Dans le coeur de Belle-voix... [13 Autÿn, privé Fubuki]   Dans le coeur de Belle-voix... [13 Autÿn, privé Fubuki] EmptyMar 24 Aoû - 14:21

Lahira écoutait attentivement Petite fleur, bien qu’elle ne le montre pas. Elle mangeait comme un ogre, ne prenant pas le temps de mâcher, juste d’avaler. C’était ce qu’il se passait à chaque crise, elle avait besoin de force. Elle laissa Petite fleur attendre la réponse pour qu’elle finisse son entrée. Plusieurs feuilled de salade tombèrent par terre. Une fois terminée, elle s’adossa plus confortablement sur le dossier de sa chaise ancienne en bois et demanda un verre. Noils la servit puis retourna dans son coin. La cantatrice tatonna doucement la table pour trouver le verre et l’attrapa. Elle but une nouvelle gorgée, cette fois plus calme que les précédentes. Elle avait récupéré un peu d’énergie. Elle finit par déposer le verre sur la table, demanda la suite puis commença sur un ton mielleux, comme elle savait tant bien faire.

-Et bien…J’ai mon idée, Petite fleur. Mais je ne vous dirai rien. Ces choses là ne se disent pas. Elles se font… Et je vais commencer.

Elle fit une pose et rebu une gorgée de vin puis continua, le verre en l’air dans ses mains.

-Qu’on soit humain, Fynfrig, Nalami, Elfe ou bien dragon, nous avons tous une petite part de soie contraire à nos propres convictions. Et chez vous elle apparait clairement qu’elle se bat pour sortir, parce qu’elle est votre vrai vous. Vous vous êtes crées une personnalité bien plus facile à examiner que je ne le pourrai l’imaginer. Votre métamorphose est lisible comme un livre. Alors voici ce que j’aimerai savoir… Qu’avez-vous vécu ? Vous n’êtes pas obligé de me répondre, mais sachez que je n’ai jamais fais du mal aux personnes que j’apprécie, je n’aime pas ça. Vos secrets seront précieusement gardés. Que pourrais-je faire ? Qu’importe que vous soyez la meurtrière la plus terrible, cela ne m’intéresse pas. Ce que je veux comprendre, c’est de qu’elle manière dois-je vous faire avancer…vers l’amour et le respect de la vie ?
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MessageSujet: Re: Dans le coeur de Belle-voix... [13 Autÿn, privé Fubuki]   Dans le coeur de Belle-voix... [13 Autÿn, privé Fubuki] EmptyMar 24 Aoû - 21:20

-Et bien…J’ai mon idée, Petite fleur. Mais je ne vous dirai rien. Ces choses là ne se disent pas. Elles se font… Et je vais commencer.

Petite fluer, ce surnom commençait réellement à m'énerver mais qu'importe que ce que je lui dirait, elle continuerai à m'appeler ainsi. Alors, je décidais de me taire et d'attendre la suite, de ce qu'elle allait me dire.

-Qu’on soit humain, Fynfrig, Nalami, Elfe ou bien dragon, nous avons tous une petite part de soie contraire à nos propres convictions. Et chez vous elle apparait clairement qu’elle se bat pour sortir, parce qu’elle est votre vrai vous. Vous vous êtes crées une personnalité bien plus facile à examiner que je ne le pourrai l’imaginer. Votre métamorphose est lisible comme un livre. Alors voici ce que j’aimerai savoir… Qu’avez-vous vécu ? Vous n’êtes pas obligé de me répondre, mais sachez que je n’ai jamais fais du mal aux personnes que j’apprécie, je n’aime pas ça. Vos secrets seront précieusement gardés. Que pourrais-je faire ? Qu’importe que vous soyez la meurtrière la plus terrible, cela ne m’intéresse pas. Ce que je veux comprendre, c’est de qu’elle manière dois-je vous faire avancer…vers l’amour et le respect de la vie ?


- Comme je te l'ai dis auparavant, si tu veux vivre ne me pose pas de question sur mon passé.


Je disais d'une voix froide et calme, je détestai parler de moi mais il est vrai qu'elle avait raison sur une chose, je cachais celle que j'étais réellement, mais je ne voulais en aucun cas faire ressortir cette personnalité que je haïssais plus que tout au monde. La gentille petite fille docile et heureuse, c'était fini depuis fort longtemps, aujourd'hui elle a laissé place à une jeune femme froide, sans compassion, ni amour et j'en étais bien heureuse, grâce à ce caractère plus personne ne me marchait sur les pieds et n'osaient le faire surtout.

- C'est à mon tour maintenant. Il me semble que tu es enfermée ici depuis bien longtemps, à vivre dans ton passé qui te tue à petit feu, au lieu d'aider les autres pense à toi pour une fois. Et cesse de vivre dans le passée et regarde ton avenir, même s'il te fait peur, tu dois l'affronter sinon tu n'es pas en mesure de me donner des leçons.

J'espère avoir touché un point sensible, Noils fit un mouvement mais je l'arrêtais d'un seul regard, froid certes mais qui cachait autre chose, s'il voulait revoir la femme d'avant et le bonheur chez son amie, elle devait faire éclater ces sentiments, sa colère et sa tristesse ensuite elle pourrait avancer et me donner des leçons mais pour l'instant j'étais très impatiente de constater sa réaction.
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MessageSujet: Re: Dans le coeur de Belle-voix... [13 Autÿn, privé Fubuki]   Dans le coeur de Belle-voix... [13 Autÿn, privé Fubuki] EmptyMer 25 Aoû - 13:39

Lahira resta impassible, telle une statue de pierre. Etait-elle touché ou bien n’en avait elle cure ? Peut-être un peu des deux. La Cantatrice était quelqu’un qui se fichait éperdument de ce que l’on pouvait penser d’elle, mais quelque chose lui était trouble, comment petite fleur savait qu’elle était se genre d’être qui, vivant dans le passé, est incapable de s’en sortir au présent. Sa tête se tourna lentement vers son homme à tout faire pour avoir quelques explications. Ce dernier soupira…

-Je n’aurai dus rien lui dire, maîtresse… Dit-il.

Lahira sourit. Elle n’était pas du tout gênée.

-Je vous connais, Noils. Vous n’avez pas dis le plus important, j’en suis convaincu, mon ami. Veuillez-nous laissez seul, s’il vous plaît, dite à mes enfants d’attendre un peu pour la suite du repas…

- Très bien, mademoiselle Ortie…

Noils quitta la salle à manger, fermant lentement la porte. Lahira gardait son sourire éternel et reprit une gorgée de vin. Elle déposa le verre délicatement sur la table, prête à parler d’elle-même, bien que cela ne fût pas vraiment son sujet de discussion favori.

-Je pourrai accepter des conseils venant d’une femme telle que vous, mais malheureusement vous êtes bien plus mal placé que moi, sinon, vous ne seriez pas ainsi…

Elle prit son assiette sale et le déposa juste à côté de ses couverts, à sa gauche. Elle toussa puis repris.

-J’étais amoureuse d’un homme qui jamais ne le su. Pourquoi ? Parce que la honte de ma propre vision est dure à assumer. Comment pourrais-je savoir si l’on ne se moque pas de moi, en disant que je suis belle ou bien que j’ai du charisme ? Mais malheureusement, tueuse, je peux deviner que vous ne connaissez pas cela, vous, caché dans l’ombre t’elle une couarde, et je ne dis pas ça méchamment. Moi, l’obscurité, je le connais bien mieux que vous, et cela depuis ma naissance. Marché dans l’ombre au sens propre du terme, c’est ma vie. J’aime tellement cela qu’il faut croire que, si les dieux existent, ils aiment me l’offrir à longueur de temps !

Elle ria de tout son comble et continua, c’est à se moment là qu’elle choisit d’appuyer plus fermement sur le passé de son invité et changea directement de sujet.

-Il y a tant de chose qui nous rapproche et vous ne le comprenez même pas. Vous avez vécu des choses difficiles qui vous ont touchées profondément et moi aussi. Vous vous protégez derrière une barrière de violence stupide mais pas forcément idiot, car ce fut votre seul moyen de sortir de vos problèmes. Mais vous n’avez fais que vous en faire plus. Il y a cependant une différence particulière entre vous, Petite fleur, et moi. Moi, comparé à vous, j’ai l’esprit clair. Malade, mais clair.
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MessageSujet: Re: Dans le coeur de Belle-voix... [13 Autÿn, privé Fubuki]   Dans le coeur de Belle-voix... [13 Autÿn, privé Fubuki] EmptyMer 25 Aoû - 14:01

-J’étais amoureuse d’un homme qui jamais ne le su. Pourquoi ? Parce que la honte de ma propre vision est dure à assumer. Comment pourrais-je savoir si l’on ne se moque pas de moi, en disant que je suis belle ou bien que j’ai du charisme ? Mais malheureusement, tueuse, je peux deviner que vous ne connaissez pas cela, vous, caché dans l’ombre t’elle une couarde, et je ne dis pas ça méchamment. Moi, l’obscurité, je le connais bien mieux que vous, et cela depuis ma naissance. Marché dans l’ombre au sens propre du terme, c’est ma vie. J’aime tellement cela qu’il faut croire que, si les dieux existent, ils aiment me l’offrir à longueur de temps !

Couarde moi ? Elle se trompe du tout au tout, j'aime cette vie d'anonymat, j'aime la violence plus que n'importe qui en ce monde. Je ne connais que cela et cela me va parfaitement bien. Je voulais rire mais je me retenais tant bien que mal, ces paroles me rentraient d'une oreille et me ressortait de l'autre.

-Il y a tant de chose qui nous rapproche et vous ne le comprenez même pas. Vous avez vécu des choses difficiles qui vous ont touchées profondément et moi aussi. Vous vous protégez derrière une barrière de violence stupide mais pas forcément idiot, car ce fut votre seul moyen de sortir de vos problèmes. Mais vous n’avez fais que vous en faire plus. Il y a cependant une différence particulière entre vous, Petite fleur, et moi. Moi, comparé à vous, j’ai l’esprit clair. Malade, mais clair.

Alors là c'était trop, je me mis à rire comme jamais auparavant, mon rire cristallin emplissait la salle à manger, je me tenais le ventre tellement j'avais mal à force de rigoler ainsi. Mon passée, j'avais appris à vivre avec tout comme le présent d'ailleurs. J'arrêtai mon hilarité tant bien que mal et décida de lui raconter ma petite vie.


- Soit, vous avez gagné humaine. Mais ce que j'ai à vous dire restera entre vous et moi, si jamais cela sort de cette pièce, je saurai où vous trouver et je vous tuerai sans pitié.


Je me raclai la gorge, prit une gorgé de Ra'Sibe et me remit à parler.

- Mon vrai nom est Fubuki, je suis une semi, née d'un humain et une Nalamis panthère. Mon père n'était qu'un pauvre salaud qui trompé ma mère, un jour, mon père nous abandonna moi et ma mère. Je grandis en me faisant battre par elle puis un jour ce fut ma délivrance ma mère se donna la mort un jour où la neige avait tapis de blanc notre terre, le blanc avait laissé place au rouge. Je fus heureuse et non triste car depuis bien longtemps, je haïssai ma mère pour sa faiblesse et mon père n'est devenu rien d'autre que mon géniteur. La mort de ma mère fut une délivrance pour moi, rien de plus.

Je m'arrêtai me servit un autre bon verre de Ra'Sibe et trinqua.

- A la douce délivrance de la mort !
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MessageSujet: Re: Dans le coeur de Belle-voix... [13 Autÿn, privé Fubuki]   Dans le coeur de Belle-voix... [13 Autÿn, privé Fubuki] EmptyJeu 26 Aoû - 20:57

Lahira écouta donc la tueuse, prenant le temps d’assimiler chaque mot, les comprendre, deviner leur sens. Petite fleure ainsi se nommait Fubuki, un nom qui ne lui signifiait absolument rien, un nom, cependant, à la conssonance très belle, mais qui ne correspondait pas à l’image de la voix de cette femme. Elle expliqua alors que son père n’était, pour être poli, qu’une pourriture, qu’il abandonna sa mère et que cette dernière se mit à la frapper. Une fois qu’elle eut terminer, les traits de la comtesse était particulièrement sombre, quelque chose qui n’allait pas avec sa beauté et qui la rendait pourtant étrangement désagréable. Elle ordonna en hurlant, à ses serviteurs, d’un ton simple mais piquant, qu’on apporte l’assiette de charcuterie. Ainsi, quelques instants plus tards, ils arrivèrent avec du jambon fumé, du pathé de lièvre et de sanglier, ainsi que du saucisson à l’ail et un nouveau vin qui accompagnait le tout, un vin au goût légèrement sucré. Ils enlevèrent les bouteilles de vin ainsi que le Ra’sibe et, le plus courageux des serviteurs, réussit à donner sans trop de problème quatre poulets à la panthère de Fubuki. Lahira, sans dire un mot, leva sa main pour faire le signe qu’ils pouvaient partir. Elle examina, avec sa fourchette, où se trouvait chaque aliment puis décida de s’attaquer au jambon. Elle coupa une petite partie après avoir pensé au centimètre près la taille de la tranche puis le mit dans sa bouche. Elle macha lentement, avala puis décida que le temps de parler était enfin convenu après avoir fait attendre son invitée.

-Votre famille n’avait pas l’air de s’entendre très bien, ma chère Fuduki Petite fleur… Dit-elle d’une voix calme, l’air pensive. Vous savez, je pense que votre mère vous aimais, peut être pas votre père, mais malheureusement, quand on va mal, comme vous et moi, nous ne prenons pas compte de nos actes et nous pouvons nous venger sur des choses ou bien des personnes qui n’ont malheureusement rien à voir avec notre histoire. Ce fut le cas de votre mère et vous aussi.

Elle reprit une bouchée de jambon et attendit la réaction de Fubuki.
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MessageSujet: Re: Dans le coeur de Belle-voix... [13 Autÿn, privé Fubuki]   Dans le coeur de Belle-voix... [13 Autÿn, privé Fubuki] EmptyVen 27 Aoû - 20:43

-Votre famille n’avait pas l’air de s’entendre très bien, ma chère Fuduki Petite fleur… Dit-elle d’une voix calme, l’air pensive. Vous savez, je pense que votre mère vous aimais, peut être pas votre père, mais malheureusement, quand on va mal, comme vous et moi, nous ne prenons pas compte de nos actes et nous pouvons nous venger sur des choses ou bien des personnes qui n’ont malheureusement rien à voir avec notre histoire. Ce fut le cas de votre mère et vous aussi.

- Ce que je fais de ma vie n'a rien avoir avec le passée.

Qu'importe ce que cette femme pouvait bien me dire, ma vie me satisfaisait amplement, je me sentais bien lorsque je volais et lorsque je tuais. Mon passée est bien loin derrière moi, j'avance comme je le désire, dans les ombres ou dans la lumière, je suis neutre. Ma vie est de gris car je l'ai décidé ainsi. Elle avait beau essayer de m'aider mais je ne l'écouterai pas. Je suis ce que je suis.

Elle essayait de mettre d'autre couleurs dans ma vie mais le rouge sang, le noir des ombres et le gris me suffisait amplement et cela me rendait bien heureuse enfin d'une certaine manière mais le fait qu'elle me dise à haute voix que ma mère m'aimait et non mon père me poignarda le coeur. Car en faite, je n'ai jamais su les réel sentiment de celui-ci, je ne savais pas s'il faisait semblant de m'aimer, il m'a toujours montré son côté papa poule et doux mais lorsqu'il partit dans les bras de cette humaine, il ne s'est même pas retourné pour me dire au revoir ou dire qu'il m'aimait. Pour moi, les hommes ne servaient à rien, je m'amusais simplement avec eux, j'en faisais ce que je voulais.

- Je n'ai pas besoin d'une thérapie, vous vouliez savoir mon passé c'est chose faite maintenant arrêtez d'essayer de me redonner de cette lumière qui m'est inutile.
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MessageSujet: Re: Dans le coeur de Belle-voix... [13 Autÿn, privé Fubuki]   Dans le coeur de Belle-voix... [13 Autÿn, privé Fubuki] EmptyDim 5 Sep - 16:27

La réponse de Fubuki était toujours d’une profondeur sans fond. La réalité était bien plus claire aux yeux de Lahira, Fubuki était une pauvre âme endoctrinée par ses propres choix. Elle n’avait jamais eu affaire à quelqu’un, pendant de bien longues années, à l’obliger psychologiquement à faire grand-chose autre que le meurtre de sang-froid et le vol. De sorte, elle ne pouvait comprendre l’aide que voulait lui apporter la Cantatrice. Un petit sourire étira les lèvres de Lahira à ses pensées. Elle devait entré plus en profondeur encore dans la vie de cette personne pour pouvoir lui apporter un soutien et lui montrer que le mal n’est pas un besoin ni une obligation. La Cantatrice se leva. Elle s’approcha d’une large fenêtre et l’ouvrit. Les rideaux se levèrent légèrement, ressemblant à des petites vagues, un courant d’air frais passa sur le visage de la Cantatrice et de Fubuki, soulevant légèrement la longue chevelure de Lahira.

-Vous êtes une imbécile heureuse qui n’a pas compris que le sens de la vie n’est pas de tuer mais de protéger. Prenez les Elfes qui gardent leur forêt, les Nalamis leur patrie et les hommes leur civilisation. Comment peut-on ne pas apprécier le bonheur d’une caresse tendre et chaleureuse ? Vous ne savez rien de l’obscurité, rien. Soyez-vous meurtrière, voleuse, jamais vous n’en serez plus que moi-même. J’ai connu, et je connais, l’obscurité physique et psychologique, chose que jamais vous ne comprendrez, même dans vos rêves les plus fous. En revenant au faite…

Sa tête se pencha légèrement sur le côté.

-Votre passé est preuve de ce que vous êtes aujourd’hui. Reflechissez, Fubuki. Vous pensez savoir tant alors que vous savez si peu… Reflechissez bien, remémorez-vous votre passé et imaginez s’il n’avait pas pu être différent. Vous saurez que je ne me trompe pas et que ma théorie est exacte. Vous êtes devenu ce que vous êtes à cause de votre passé. Si votre père n’était pas parti et était resté fidèle, car il aurait dut, si votre mère ne vous avais jamais frappé, bien que ce fut le cas… Je pense que vous ne vous êtes jamais posé la question de voir un enfant jouer avec un autre enfant et être heureux, quelle était cette sensation. Bien d’autre chose en somme, mais reflechissez…
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MessageSujet: Re: Dans le coeur de Belle-voix... [13 Autÿn, privé Fubuki]   Dans le coeur de Belle-voix... [13 Autÿn, privé Fubuki] EmptyVen 10 Sep - 13:50

-Vous êtes une imbécile heureuse qui n’a pas compris que le sens de la vie n’est pas de tuer mais de protéger. Prenez les Elfes qui gardent leur forêt, les Nalamis leur patrie et les hommes leur civilisation. Comment peut-on ne pas apprécier le bonheur d’une caresse tendre et chaleureuse ? Vous ne savez rien de l’obscurité, rien. Soyez-vous meurtrière, voleuse, jamais vous n’en serez plus que moi-même. J’ai connu, et je connais, l’obscurité physique et psychologique, chose que jamais vous ne comprendrez, même dans vos rêves les plus fous. En revenant au faite…

- Au contraire, j'ai appris que dans la vie c'est tuer ou être tué. Il n'y a pas de règles plus juste pour moi. La chaleur, les caresses. Mon coeur est aussi glacé que mon prénom, dans mon métier, il n'y a ni la place pour la compassion et encore moins pour la gentillesse.

Elle commençait à m'énerver avec ces paroles, à essayer de me faire voir le bon côté de la vie. Mais quel vie ? Qu'importe où l'on va, il n'y aura que guerre, haine, mort et sang, qu'importe notre nature, nous cherchons soit à survivre, à exterminer ou à prendre le pouvoir. Pour elle, les rivières de sang n'ont jamais amené la paix, c'est une pacifiste, enfermé dans son monde. Moi, ces rivières de sang me font plaisir à voir, la danse de la mort, je l'invoque quand je le veux et ou je le désire, bien que le vol soit ma spécialité.

- Votre passé est preuve de ce que vous êtes aujourd’hui. Reflechissez, Fubuki. Vous pensez savoir tant alors que vous savez si peu… Reflechissez bien, remémorez-vous votre passé et imaginez s’il n’avait pas pu être différent. Vous saurez que je ne me trompe pas et que ma théorie est exacte. Vous êtes devenu ce que vous êtes à cause de votre passé. Si votre père n’était pas parti et était resté fidèle, car il aurait dut, si votre mère ne vous avais jamais frappé, bien que ce fut le cas… Je pense que vous ne vous êtes jamais posé la question de voir un enfant jouer avec un autre enfant et être heureux, quelle était cette sensation. Bien d’autre chose en somme, mais reflechissez…

- Jouer avec les enfants, on me rejetait à cause de ma nature de semi, j'étais un monstre pour les autres. autrefois, j'en pleurai mais maintenant, je savoure chaque mots que l'on me dit. Monstre certes mais pas n'importe lequel, cette fois, on me craint pour une bonne raison et je compte bien continuer sur ma lancé humaine !
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MessageSujet: Re: Dans le coeur de Belle-voix... [13 Autÿn, privé Fubuki]   Dans le coeur de Belle-voix... [13 Autÿn, privé Fubuki] EmptyVen 22 Oct - 9:36

Lahira se tut. Pendant une minute qui sembla être une éternité, elle réfléchit. Alors, elle retourna sur sa chaise et commanda le plat principal en chantant cette phrase « La suite, la suite », un petit air de chanson paillarde de la région.

-C'est un petit air que j'apprécie beaucoup. Mon ancien professeur de musique me l'avait enseigné. C'était un homme qui était particulièrement bon envers moi et qui avait accepté de m'enseigner la musique. Vint le chant, plus tard, où je devins des années après ce que je me considère être encore aujourd'hui, une Cantatrice.

Elle se mit à se masser le cou et aussi tôt reprit:

-Ce fut des Nalamis qui tuèrent l'homme que j'aimai. Et pourtant, bien que ce soit des personnes de ta race qui l'est tué, je n'ai aucune rengaine à ton égard. D'ailleurs, ce ne sont que des absurdités de dire que tel race est supérieur à une autre. Chacune ont leur particularité. Les dragons sont musculeux, fort et puissant, avec une intelligence remarquable. Les hommes, ils ont la capacité d'intégration la plus rapide. Les Elfes, leurs pouvoirs sont surprenant ainsi que leur voix et les Nalamis, des êtres d'une sagesse profonde. Les semis, quand à eux, sont l'avenir de tout un monde. Je n'en doute pas un seul instant. Ce que je veux te faire comprendre, petite fleur, c'est que le monde n'est pas qu'en mal. Tu m'aurais déjà tué depuis longtemps, si tu l'aurais voulu. Maintenant, je vais te demander une petite chose....Approche toi de moi et laisse toi faire, rassure toi, je ne te ferai pas de mal.
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MessageSujet: Re: Dans le coeur de Belle-voix... [13 Autÿn, privé Fubuki]   Dans le coeur de Belle-voix... [13 Autÿn, privé Fubuki] EmptyMar 21 Déc - 14:05

-Ce fut des Nalamis qui tuèrent l'homme que j'aimai. Et pourtant, bien que ce soit des personnes de ta race qui l'est tué, je n'ai aucune rengaine à ton égard. D'ailleurs, ce ne sont que des absurdités de dire que tel race est supérieur à une autre. Chacune ont leur particularité. Les dragons sont musculeux, fort et puissant, avec une intelligence remarquable. Les hommes, ils ont la capacité d'intégration la plus rapide. Les Elfes, leurs pouvoirs sont surprenant ainsi que leur voix et les Nalamis, des êtres d'une sagesse profonde. Les semis, quand à eux, sont l'avenir de tout un monde. Je n'en doute pas un seul instant. Ce que je veux te faire comprendre, petite fleur, c'est que le monde n'est pas qu'en mal. Tu m'aurais déjà tué depuis longtemps, si tu l'aurais voulu. Maintenant, je vais te demander une petite chose....Approche toi de moi et laisse toi faire, rassure toi, je ne te ferai pas de mal.

Je l'écoutai d'une oreille attentive, les Semis l'avenir du monde, non mais qu'est-ce qui faut pas entendre, on est rejeté par les peuples auxquels on doit appartenir, moi même je suis rejeté par les humains et les Nalamis, on me uniquement pour question de travail mais c'est tout.

Bien que, elle ne me mettait pas trop en confiance, j'étais assez curieuse de ce qu'elle allait me faire, de toute manière un seul geste brusque et c'est la fin de sa vie. Je m'approchai d'elle lentement d'un pas méfiant, je regardai de travers le serveur qui ne cessait de me dévisager, il s'arrêta sur le champ.

- Bien que vas-tu faire maintenant que je suis près de toi. Mais fait attention un geste brusque de ta part et je te tue.
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Déesse de l'Ombre : Désespoir, Respect et de la Puissance


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MessageSujet: Re: Dans le coeur de Belle-voix... [13 Autÿn, privé Fubuki]   Dans le coeur de Belle-voix... [13 Autÿn, privé Fubuki] EmptyJeu 4 Aoû - 6:13

Abandonné, pour ce que j'en vois !... Donc... Je lock ! 8D
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