Jack Lebowski, un bien mystérieux personnage !

PERSONNAGE:

NOM: Lebowski
Prénom: Jack
Âge: 30 ans
Race: Humain/Maarzac
Classe(Art): Invocateur/rôdeur/alchimiste
Métier: Cuisinier ou maître du monde, cela dépendra des petites annonces !
Alignement: (Lumière/Neutre/Ombre?) Ombre
Dieu vénéré: Aucun en particulier
Description physique:(Pas de "voir avatar" SVP/3lignes recommandées)

Jack est grand et semble plutôt musclé, deux choses plutôt banal, mais qui ont une réelles significations avec ces origines Maarzacs. Il porte une barbe et des cheveux châtains, et il à souvent un air ailleurs. Ces habits sont plutôt simples, une chemise blanche, un pantalon de soie marron et des bottes et une ceinture de cuir. Il a une certaine manière de se tenir un peu avachis.
Histoire personnelle:(8lignes recommandées)

Si vous voulez vraiment que je vous dises mon histoire, alors je parie que la première chose que vous allez me demander c’est mon nom, peut-être mon âge où tout un tas de conneries dans ce genre, et bien sachez que tout ces trucs merdiques à la con sur ma vie, vous n’aurez pas besoin de les connaître pour avoir une impression sur moi. Et je vous assure que si mes parents apprenaient un peu que je débite des choses sur mon enfance où sur eux, ils auraient vite fait de me faire une attaque cardiaque avec toutes les babioles qui vont avec.

Alors puisqu’il faut bien que je présente quelqu’un, autant que ce soit lui, oui lui, à prêt tout c’est bien son corps, où du moins ça l’a été. En plus je crois que vous aurez bien vite fait de vous endormir si je commençais à débité mes éventuelles péripétie, alors non, mieux vaut que vous rester bien éveillé, parce que c’est vrai que la sienne de vie, est sacrément bien construite en piqûres d’actions. Alors voyons, son enfance, son enfance, oui, eh bien je vais me plonger dans ces pensées, me substituer à lui, après tout il faut bien penser qu’il a exister un jour lui aussi !

Je suis né, enfin ce corps, Charles-Jean William Maarzac du Ruisseau, fils de Céline de Beauvoir et de Jacques Maarzac du Ruisseau, ma famille est l’une des plus puissante de mon peuple les Maarzac, ceux du Ruisseau ont été les fondateurs avec les du Feu, du Bois et du Ciel. Tout les autres Maarzac ne sont pas de familles puissantes même si ils restent comme nous à part entière. La seule différence c’est que nous nous sommes descendant des pionniers de la conquête, des conquérants de l’an zéro. Je suis donc le descendant de Louis Maarzac du Ruisseau premier Maarzôme de notre race. Soit le premier chef élu par son peuple, ce qui ne ce fait plus aujourd’hui, car maintenant les grandes familles dirigent tout. Louis Maarzac a sûrement dut s’illustrer lors d’une des toutes premières conquêtes de mon peuple appelé le temps des Ferilas. Aujourd’hui, déjà depuis plusieurs siècles nous ne sommes plus en conquête, autrefois grand empire, puis nos terres se sont réduis jusqu’à qu’il n’y est plus que notre château, sans doute l’un des plus grands édifices jamais battis, la cité du Château d ‘or. Battit entièrement dans la pierre, il fallait traversé de nombreuses crevasses pour s’y rendre, il y avait aussi une pierre magique, la pierre du vent sur laquelle les nôtres se recueillaient et donnaient des offrandes. Comme nous étions hâté, cette magie était loué comme un dieu, ainsi qu’une autre sorte de « divinité », l’âme de nos ancêtres, devant l’armure de Louis Maarzac reproduite en statue, ils s’agenouillaient pour lui demander la force d’aller au combat. Je dirais que c’est en fonction du Maarzômes qu’il y a eut que certains ont eut la chance de voir notre territoire s’agrandir.

Mais nous nous ne vivons plus ainsi depuis longtemps, nous sommes au temps des Genala, soit après le déclin de l’âge des Ravela qui a suivit les Ferilas. Nous ne vivons plus dans un château, autrefois rejetés de nos terres, nous sommes maintenant plus proches de la nature, enfin maintenant tout cela était il y a si longtemps. Nous vivions dans une clairière de la forêt de l’Ouest, nos habitations étaient des cabanes en bois que nous nous construisions nous même, elles étaient placés de manière précise autour d’un donjon qui nous servait pour nos rîtes, nos banquets, pour mettre nos trésors, nos bibliothèques et aussi pour festoyer. Nous vivions bien en paix, dans notre autosuffisance, que nous procuraient nos terres. Chaque Maarzac sait récolté et tirer le meilleur profit de ces terres, chaque famille possédant une parcelle de terrain. Car un Maarzac doit être un bon guerrier, intelligent, un bon père ou une bonne mère, un bon mari ou une bonne épouse, et un agriculteur. Bien sûr une femme peut-être aussi bien Maarzac qu’un homme, elle sera donc comme les hommes cultivé et adroite de ces armes. Mais n’est pas Maarzac qui veut, pour faire parti de notre tribu il faut être fils ou fille d’au moins un Maarzac. Évidemment, les membres de notre tribu peuvent sortir et trouver l’amour en dehors de nos terres, ce qui ce fait beaucoup, moi-même je suis issus d’une union comme celle, mais à la condition qu’il ne révélait jamais l’emplacement de nos terres à quiconque sauf à sa femme ou à son mari. Généralement c’est la personne qui vit avec le Maarzac qui s’occupe des terres et de la famille lorsque les Maarzacs partent sur le champ de défense. Car en ces temps, notre peuple avait le monopole des mers en ce qui concerne la défense des bateaux de marchandises ce qui a permis une accumulation des richesses.

Je naquis en ces temps de paix, très jeune je montrais un don prononcé pour la connaissance de la culture de notre peuple ainsi que pour le combat. J’appris donc très vite à utiliser mes pouvoirs du vent pour diriger des objets, pour les poussés, les amenés vers moi, danser avec le vent, se laisser porter par lui, certains grand maître même arrivait à voler avec lui, moi je n’arrivait q faire de grands, bon où à le condenser pour qu’il devienne tranchant. Comme il est aujourd’hui celui des Fynfrigs, le vent était l’ami des Maarzacs, leur plus grand allié. Très tôt je connus l’amour, à 15 ans j’avouais mes sentiments à la belle Justine Maarzac du feu, une guerrière hors pair, mais aussi d’une beauté saisissante. Elle était si magnifique que je me demandais si je ne rêvais pas, une magnifique femme blonde aux yeux bleus, et ces formes féminines étaient incroyablement parfaites. Nous nous mariâmes à l’âge de 18 ans et donc de 17 ans pour elle. Nous vivions notre amour au grand jour après 3 ans de discrètes romances (notre peuple n’aime pas trop l’amour avant l’âge adulte qui était pour nous de 15 ans, mais aussi avant le mariage). Nous vivions heureux, et à 23 ans nous allions enfin avoir notre premier enfant.

Un beau jour de Printalis, alors que Justine était enceinte de 2 mois, notre amour fleurissait avec les plantes dans ces journées majestueuses qui prenaient sa place au froid glacial qui avait vu passer de longues nuits d’hiver. Et sans prévenir, une missive fut envoyé à l’un de nous qui était hors du village pour acheter quelques marchandises, il ramena la lettre venant officiellement de l’empereur, elle disait clairement que nous avion un mois pour quitter nos terres et lui remettre notre fortune si nous ne voulions pas engendrer sa colère après qu’il nous aurait bien trop longtemps « accordé de vivre ». La chose était sans appelle, nous devions nous battre. Nous passâmes une semaine entière dans la salle u sénat à débattre de notre situation, il fallait nommé un nouveau Marzôme, tout le monde était d’accord là-dessus, ils en vinrent à décider que ce serait moi, non seulement en raison de ma lignée mais aussi grâce à ma force de guerrier. J’acceptais ce titre car nous avions besoin d’un chef et je savais que je pouvais être persuasif à l’orale.

Et puis, trois semaines après, nous avions une armé sous nos portes, un messager est venu nous délivrer la nouvelle, et nous lui avons dit de dire à ces maîtres que nous les exterminerions jusqu’au dernier. Nous nous rendîmes à cheval, sur les champs de bataille qui se situait sur une grande plaine en un jour brumeux. Nous n’étions que 100 Maarzacs alors que l’on raconte qu’en le temps de Louis Maarzac ils étaient un millier. L’empereur nous avait réservé une « surprise » de taille, il avait réussi à réunir environ 1000 hommes, elfes et autres espèces, tous rassemblés face à nous. En effet le maître de Ra’Sibe leur avait dit que nous étions pour l’ombre et que nous préparions un complot pour la lumière, quel comble pour un peuple hâté. Nous n’avions d’autre choix que de faire face, Justine avait insisté pour venir, mais maintenant je voulais qu’elle parte, je en voulais pas découragé mes troupes, mais nous savions que face à ceux nombre, même si chacun d’entre nous en valaient dix des leurs, nous avions peu de chances d’en sortir vivant. J’essayai donc une dernière fois de la convaincre de partir et je fis le même discours aux autres. Il n’y avait rien à faire ils avaient tous bien trop d’honneur, c’est donc à contrecœur que je lançais l’assaut. Dans l’énergie du désespoir je m’élançais au galop, devant le reste des 99 autres cavaliers Maarzacs. J’étais donc le premier à percer les lignes et faire chanter ma lame dans la brise de ce petit matin. Les bras, les jambes, et les têtes volaient par centaine, à cheval et eux à pied, nous les écrasions. Je me concentrais maintenant seul dans mon combat, gardant un œil attentif sur Justine, comme je l’avais fais pour chacune de nos virés entre Maarzacs. Avec mon bras droit je leur coupait leurs membres et avec mon gauche j‘invoquais la magie du vent pour éloigner où rapprocher les soldats. C’est sous l’impact d’une flèche dans l’épaule que je tombais ma monture, je me rendais compte alors que j’étais le dernier cavalier encore debout, tous était à pied, les chevaux s’éloignaient des champs de batailles au grand galop. Je continuais le combat au sol sans trop de peines puisque je tranchais plus facilement à l’escrime classique, chose qui était ma grande facilité. Je n’arrêtais donc pas de tuer, en un seul coup à chaque fois, j’évitais quelques attaques mais j’avançais vite.

Quand je me remis à prêter attention à Justine, je voyais qu’elle était en difficulté et en plus dans le viseur d’un de ces tireurs auxiliaires, placé au loin sur une colline. Je courais donc à toute vitesse, et dans un bon gigantesque j’arrivais juste à temps pour me prendre à sa place une flèche dans le ventre. Heureusement mon armure l’avait amorti et l’engin touchait à peine mon ventre, je sentais quand même une douleur persistante. Elle tua les êtres qui étaient autour d’elle pour me porter secours, elle me releva et m’embrassa une fois que j’étais sur pied. Puis je lui dis qu’il fallait que l’on aille tuer ces archers, qui faisaient un véritable carton depuis leurs perchoirs. Mais soudain je sombrais dans le coma sous un coup de gourdin. Je ne voyais plus que le néant. Je m’éveillais enfin après 15 minutes de comas, alors que je me levais-je vis la plaine ravagée, aucun corps n’était en vie, le sang coulait par centaines de litres, recouvrant l’herbe grise, brumeuse d’une couleur rougeâtre encore chaude. Je voyais à côté de moi un troll étendu au sol, la tête coupé, son gourdin était recouvert d’un sang, de mon sang, je saignais du crâne, mon casque était au sol, mais il y en avait un autre, celui de Justine, où pouvait-elle être ?
Je m’empressais alors vers la colline des archers; rien, il n’y en avait plus un seul, mais il y avait pire, au sol blanche comme la neige, Justine était étendu et lâchait ces derniers souffles, une lance enfoncer profondément dans son ventre. Elle m’expliqua l’amour qu’elle portait pour moi, puis alors qu’elle me donna un dernier baiser, elle mourut. Je ne bougeais pas, j’étais étendu à son chevet les larmes aux yeux, je criais de rage.
Bon je crois que l’on peut s’arrêter ici, je vous laisse imaginer dans quel désespoir à put entrer ce jeune Will, il voulut mourir, il passait son temps à écumer les bars, les yeux perdus, il ne vivait plus, il n’avait même pas la force de mourir, c’était un zombie et rien d’autre, un mort-vivant. Mais un jour il comprit enfin qu’il fallait sans sortir, à 24 ans, il laissa les Maarzacs derrière lui, et se consacra à un nouveau métier tueur, assassin, chasseur de prime. Quelle meilleur métier pour un homme perdu, que celui-ci, il pouvait y canalisé sa violence en touchant de jolie paquets d’argent. Durant cette époque il se cachait complètement le corps, se substituant ainsi à ce personnage, il portait une tunique bleu foncé de samouraï, des gants noirs sur les mains, des bottes et une ceinture en cuir, sa tête et son coup était recouverts par un haut de côte de maille et son visage par mystérieux masque blanc qui représentait un sourire. A sa ceinture, du côté droit il mettait son arc et son carquois, du côté gauche il mettait son épée. Il mettait toujours par-dessus un grand manteau noir avec une capuche sur la tête, et tenait toujours dans sa main droite une faux pour ressembler à la mort. Il se servait aussi de petits couteaux qu’il forgeait lui-même il les cachait dans ces manches et les tirait sur ces ennemis pour une plus grande rapidité.

Mais tout alla mal lorsqu’il tua un seigneur humain, il fut alors prit en chasse par des assassins payés par l’empereur, quelle importance à chaque fois qu’il en croisait un il le tuait. Et il était tellement sûr de lui qu’il ne vit pas arriver le moment où son dossier fut confier à Eordal à l’époque jeune soldat exemplaire, on lui donna 50 hommes pour pourchassé Will. Ils réussirent à le faire fuir et le retrouvèrent sur une falaise des littoraux, ils menèrent alors une fière bataille, mais furent tous tué sous la main du Maarzac, tous sauf un, Eordal, qui armé d’une arbalète envoya une flèche dans le ventre du tueur puis dans son masque chose qui le fit trébucher et tomber pour s’écraser sur les récifs, durant la bataille le tueur eut tout de même le temps d’enfoncer deux de ces couteaux dans la peau du chef de guerre qui s’en souvient encore.

Comme il n’avait pas d’identité, le tueur n’était qu’un visage, ou plutôt qu’un masque, et donc il fut facile à Will de me retrouver sur une berge, de soigner ces blessures puis de se faire oublier dans une vie normal. Pourtant l’histoire ne s’arrêtait pas là, par un bien étrange miracle le Maarzac retrouva deux de ces frères de guerres qui avaient survécus à la bataille, ensemble ils décidèrent de tuer l’empereur une bonne fois pour toute. Alors ils partirent en pleine nuit vers le château, ils firent une percé jusqu’à la chambre du roi en tuant tout les gardes qui se mettaient sur leur passage, mais ils furent vite rattrapés par le nombre et la puissance des gardes qui étaient prêt à se sacrifié pour l’empereur, Will mourut de la main du maître de Ra’Sibe qui avait saisit son épée, et ces deux confrères moururent exécutés.

Alors le Maarzac tomba dans le néant, dans un endroit sombre, entre la vie et la mort, où errent les âmes damnées. Il y passa 100 ans, ce qui correspondait en vrai à 2 ans sur nos terres, il vécu d’interminable souffrance parmi les esprits maléfiques. Il trouva une épée des plus simples, elle n’avait rien d’extravaguant mais il lui fallait une arme pour ce défendre contre les esprits il s’aperçut alors que cette arme était doté de pouvoir bien étrange, mais cette magie mystérieuse lui permit d’atteindre, la lumière et de revenir à la vie. Il ne comprit que trop tard que l’arme retenait mon âme, oui la mienne, moi qui des milliers d’années auparavant avait été encerclé par des mages qui m’avaient jetés dans cet endroit, dans cet objet je n’avais plus de corps, il m’en fallait un. Petit à petit je m’emparais du sien, il devenait fou, très possessif de l’arme, il se mettait à tuer des branches d’arbres parce qu’il s’imaginait qu’elle voulait lui volés son épée. Et une nuit de pleine lune, alors qu’il se tortillait dans d’interminables souffrances, enfin je vis la lumière, enfin je vécu. J’avais attendu bien trop de temps et enfin je reprenais ma place dans ce monde, alors que ce pauvre Will se retrouvait enfermé dans ce qui était maintenant mon esprit, je le torturait en permanence par pur plaisir, de toute manière je ne pouvais l’en enlever. Son âme se mit alors à se réduire puis à se dissoudre, j’avais totalement pris le corps. Et maintenant que je voyais de nouveau je pouvais enfin me venger de ce monde qui m’avais trompé, de ces dirigeants qui eux vous trompe tout les jours et vous ne le voyez pas, non je ne suis pas le mal, c’est un peu vous qui m’avez défini comme sa, je n’ai pas peut de vous je n’ai peur de rien, jamais…

Laissez moi me présenter, je suis un homme riche et de goût qui a volé à beaucoup d’hommes leur âme et leur foi. J’étais présent au commencement de toute chose, car après tout je suis l’autre côté de la balance sans qui le monde n’existe pas. J’étais là quand le premier dieu est apparut et qu’il se décidait à vous créer, et j’étais là quand le doute prit les autres divinités. Ravi de vous rencontrez, j’espère que vous devinez mon nom, c’est la nature de mon jeu qui vous a déconcerté. C’est moi qui ai mis en place les premières guerres, qui est fait coulé les premiers sangs parce qu’il était temps de changer, c’est moi qui vous ai fait tué, qui vous ai vu mourir, j’ai conduis les armées à la mort. Et maintenant je me délecte des guerres qui ont durés des décennies pour des dieux faux, créer de toutes pièces. Votre nature de sauvage je dirais que c’était vous et moi, je ne pas tout définir dans ce bas monde. Mon problème ne concerne pas les divinités, c’est pour sa qu’elle ne sont jamais intervenus à mon sujet, d’ailleurs ont-elle un jour vraiment existé ! En tout cas je me suis bien amusé à vous le faire croire quand je pus voir le résultat que cela apportait sur vous. Je suis toujours près de vous et vous pouvez remercier pour ces temps de paix, la guilde de sage qui m’a maudit. Chacun d’entre vous est un criminel, mais vous pouvez vous rattrapez car chaque pêcheur est un saint. Parce que je fais preuve de retenue, je vous invite à m’appeler Lucifer. Soyez polis et complaisant avec moi, sinon vous ne reverrez jamais vos âmes…
Description mentale:(3lignes recommandées)

Dans sa tête, au plus profond de lui, Jack n’est pas Jack, c’est une autre personne, non pas un psychopate mais c’est-ce à quoi on pourrait le rapporter si il avait en lui un semblant d’humanité. Mais il cache cette facette par un personnage bien sympathique, qui pratique le côté largement foutiste de la face humaine. Personne ne put voir qui il ait réellement et tout le monde ne voit que ce personnage charismatique qu’est Jack Lebowski.
Pouvoirs et armes: (3 maximum au total, au choix, aucun pouvoir ou arme prédéfinis, faites travailler votre imagination... en évitant d'avoir des pouvoirs ou armes surpuissants.):

Il possède de pouvoirs de l’ombre tel que le contrôle mental, l’invocation… Mais aussi des pouvoirs de Maarzac tel que le vent dans le but de déplacer des objets ou de pouvoir faire de grand bonds.
Autres?(Animal de compagnie/petites manies par exemple):

Aucun car on ne sympathise pas avec la nourriture !

HORS-JEU
Découverte du monde par: Clun
Preuve de lecture des 3 premières tablettes:[OK par ele]
Des améliorations à proposer? Faire la guerre maintenant qu’il y a un méchant crédible !

Plop,
Hum je lirai plus tard, je rentre du ciné ça fait mal aux yeux toute cette lecture actuellement XD
Précise tes pouvoirs du vent en attendant, c'est vague, même si tu les a un peu détaillé au début. (Car pouvoirs du vent ça sous entends, plusieurs pouvoir et donc ça dépasserait les 3 pouvoirs en tout)

Je ne sais pas cher vous mais moi sa n'affiche plus rien du tout alors que j'avais passer mon après midi avec ce truc, eux donc voilà, c'est assé embêtant (aaaaaaaa cris de rage) !!

Heu... désolé de te l'apprendre mais oui en effet ton message a disparu o_o
(ah les bugs de forumactifs <_<)

Non mais c'est pas possible j'ai aucune sauvegarde moi !!!!! pfffffffffffffffff
Argggggggggggggggghhhhhhhhhhhh
jamais fais une présentation aussi longue et complète et personne ne la lut !

Je crois que je ne vais pas reprendre ce perso avant plusieurs mois !!!

Bah prend ton temps, c'est pas ta faute de toute façon :s c'est vrai que ça avait l'air très complet Sad

Bon j'ai commencé la réécriture, un peu par jour, et sa ne me gonflera pas trop, et cette fois j'enregistre sur mon ordi, puis sur une clé usb qui sera elle même dans un coffre fort ! Smile

Bon au moins là ça sera pas perdu XD
Sinon je te conseille d'enregistrer ton travail dans le brouillon pour les prochaine fois avant d'envoyé^^

ça m'avait fait pareil avec Clun aussi... depuis... Et bin je fait rien, j'ai pas de traitement de textes sur mac! sauf un bloc note... Mais, j'aimerais qu'on m'explique comment avoir le truc qui souligne en rouge, ça m'aiderait pour les fautes de frappes!

Sa dépend de quel sorte de internet tu utilise, par exemple sa ne marche pas avec internet explorer mais sa marche avec google chrome !

Ou Firefox

je verrais comment je vais faire

Posté !

Bon, et bien finalement rien à redire XD
Si ce n'est, qu'entend tu par te laisser porter par le vent dans tes pouvoirs?

Faire des bons de plusieurs mètres en étant "porter par le vent" et comme je l'explique certains des meilleurs mages de mon peuples arrivaient à volé, mais ce n'est pas mon cas !

Invité

Bon c'est bon, je te valide et très belle présentation. J'espère que tu te plairas bien sur les terres.

Remarquons que du coup le post a encore disparu xD

Invité

Si je le remet il va encore disparaître !

Arf, tu es maudis Miguel apparemment ^^'
(re)bienvenue ! The big Lebowsky, roh, si tu as repris le concept du bonhomme du film, ça va être quelque chose ! Razz

Ouai je travaille sa, génial tu connais ce film Smile

! Tu vois j'ai même repris l'image perso ^^ !
Je pense que je vais essayer de le faire jouer en mode 'duc' pour sa version non psychopathe Smile

! Je remet mon poste pour ceux qui ne l'ont pas vus précipitez vous avant qu'il ne disparaisse...

Bienvenu à ton nouveau personnage =)
Moi je le vois le texte Ôô

Bah maintenant qu'il la remis c'est sur XD

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Jack Lebowski, un bien mystérieux personnage !

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