Valérius d'Oakslake

PERSONNAGE:

NOM: d'Oakslake
Prénom: Valérius
Âge: 24 ans
Race: Humain
Classe(Art): Chevalier. Les chevaliers sont des guerriers vaillants spécialisés dans le port d'armure lourde et dans utilisation du bouclier combiné avec un certain nombre d'arme, majoritairement l'épée longue. Il s'agit du titre de noblesse le plus bas, mais il n'est jamais hérité contrairement aux autres rangs. Ainsi, tout chevalier à un minimum d'expérience au combat et est prompt aux actions courageuses. En tant que défenseur du peuple, ils sont plus efficaces quand ils combattent pour défendre une cause ou un innocent.
Métier: Chasseur de monstre/ménestrel
Alignement:(Lumière/Neutre/Ombre?) Lumière, mais Valérius possède un côté ténébreux
Dieu vénéré: Aucun
Description physique: Valérius D’Oakslake est un jeune homme d’origine noble, ce qui se remarque à sa posture fière et à son langage courtois. Il est de grande taille, proche du 1m90, a les épaules larges de quelqu’un entraîné au combat depuis l’adolescence et il possède une musculature bien développé mais souple. Il aime laisser ses longs cheveux blanc libre au milieu de ses omoplates et son teint est très pâle car il est albinos de naissance. Il a normalement des yeux bruns contenant tour a tour une grande tristesse et une forte détermination, sauf quand il est pris d’un accès de rage causé par la malédiction ancestrale de sa famille auquel cas ses yeux deviennent légèrement rougeâtre et emplit de haine. Il a le visage sévère d’un vétéran mais reste tout de même attirant, effet rehaussé par la longue cicatrice entourant son œil gauche reçu lors de sa première escarmouche qui lui donne un air un peu mystérieux. Il a quelques cicatrices sur les bras et le torse ainsi qu’une plus grande sur la gorge causé par une blessure presque mortel qui ajoute à son aura de danger et lui confère une voix assez rauque. Il affectionne les habits verts forêt de style assez simple mais avec une coupe de qualité qui sont utilitaires, solide et élégants. Quand il s’attend à devoir combattre au corps-à-corps, il porte la vieille armure de plaques qu’il a gardées après son service militaire et qu’il maintient en bon état. Pour compléter son portrait de fier guerrier, il porte sa masse d'arme lourde et son arc long accroché sur son dos sous son large bouclier alors qu’il tient ses deux épées courtes sur chaque côté de sa taille. Il a apprit à combattre avec une épée courte dans chaque mains lors de son adolescence grâce à son maître d’arme, l’elfe Jarith Feravain. Il a une tâche de naissance grise en forme d'épée sur son flanc droit.
Histoire personnelle: On ne peut pas vraiment comprendre l’histoire de Valérius sans parler de l’origine des D’Oakslake au premier jour de l’empire humain quand la famille était dirigé par Servius D’Oakslake, un guerrier aussi talentueux qu’il était arrogant. Cet homme avait une rivalité avec la famille D’Argonnite qui culmina quand il provoqua et tua en duel les deux fils aînés de la famille avant d’humilier publiquement le cadet âgé de quatorze ans après que celui-ci refuse le duel. La matriarche d’Argonnite, adepte secrète de l’ombre, se vengea de Servius en maudissant lui et ses descendants mâles à subir de terrible accès de rage incroyable et injustifiable. Cette malédiction persista jusqu’au jour où Marcus D’Oakslake maria Ingrid D’Argonnite, scellant la fin de l’animosité entre les deux clans de nobles. Cinquante ans plus tard, alors que le marquis Gottfried D’Oakslake veillait sur la construction d’une forteresse dont il avait créé les plans, étant architecte de formation, une vieille femme aux allures de sorcière l’approcha pour lui annoncé que son prochain fils serait marqué par la même malédiction que ses ancêtres. Il se souvint de cet avertissement quand, quelques mois plus tard, sa femme Sabine lui annonça qu’elle était enceinte et fit appel à tous les mages de l’empire afin de lever la malédiction.

Sémémmon, un mage, se présenta au marquis et prétendis connaitre un sort pour les aidé, en autant qu’il soit lancé quelques moments avant la naissance de l’enfant. Quant la sage-femme déclara que la marquise était prête à accoucher, on amena cette dernière au laboratoire temporaire que Sémémmon avait installé dans le château du marquis et il lança son sort. Tous furent surpris quand Sabine donna naissance à des jumeaux de sexe différents et que le garçon avait sur lui une tâche de naissance grise en forme d’épée, la marque de la malédiction. Les D’Oakslake élevèrent donc leur fils, Valérius, du mieux qu’ils purent en contrôlant ses accès de colère et il eut une enfance plutôt normal pour un noble, apprenant la lecture, l’écriture, l’art, le savoir-vivre, l’honneur et l’équitation. Un maitre d’arme elfe, Jarith Feravain, lui transmis son savoir de l’escrime et lors d’un bal quand Valérius avait 17 ans, Gottfried arrangea un mariage avec la fille cadette de l’empereur quand celle-ci atteindrait 16 ans. Le jeune homme aurait donc eu une vie complètement normale pour quelqu’un de son rang malgré sa malédiction si ce n’avait pas été d’une rencontre purement fortuite qui changea complètement le court de son destin.

C’était par une belle soirée de fin Awÿn alors que Valérius, maintenant âgé de 18 ans, et d’autre fils de noble festoyait dans une auberge de la ville en se racontant leurs aventures toutes plus improbable les une que les autres. Tard dans la soirée, les fêtards demandèrent au jeune D’Oakslake de leur jouer un peu de violon, ce qu’il accepta et parti donc vers sa chambre chercher son instrument. En chemin, il croisa une belle jeune femme en train de passer le balai à l’étage et dès qu’il la vit, son cœur fit un bond et il s’arrêta d’un coup sec, incapable de faire autre chose que de la contempler alors qu’elle en faisait de même. Les deux jeunes gens restèrent un moment ainsi puis Valérius reprit ses esprits et entama la discussion avec la fille. Elle était la fille du brasseur de l’auberge, se nommait Cosette et ils firent la conversation longtemps, jusqu’à ce qu’un des compagnons de table de Valérius vienne les interrompre, car les fêtards attendaient toujours leur air de violon. C’est avec regret que le noble s’exécuta et il quitta sa nouvelle amie en lui promettant de revenir lui parler le lendemain. Pendant les mois suivants, Valérius et Cosette se rencontrèrent souvent pour parler de tout et de rien, passant même parfois des heures sans rien dire à s’enlacer et se regarder l’un l’autre. Bien qu’ils tentèrent d’être discret à propos de leur amour, les rumeurs de leur relation atteignirent les oreilles de Sabine D’Oakslake qui s’offusqua des agissements de son fils et elle alla se plaindre à son mari. Le marquis Gottfried la rassura qu’il était normal pour un garçon de l’âge de Valérius d’avoir une relation avec une roturière, ce n’était que temporaire et que leur fils n’utilisait Cosette que comme passe-temps avant que la princesse impériale n’ai l’âge de se marier.

Insouciant des plans de son père, Valérius continua de fréquenter Cosette pendant deux ans jusqu’à ce qu’il, sous la bénédiction de son maître d’arme à l’âme romantique et de Bertrand le brasseur qui n’avait jamais vu sa fille aussi heureuse, demande sa bien-aimée en mariage. Elle accepta et les jeunes tourtereaux s’unirent en secret avec comme seul témoin Jarith, Bertrand, la sœur jumelle de Valérius Rébekka, les étoiles et la lune. À l’insu du petit groupe, une autre personne assista au mariage, un serviteur de marquis en charge de chaperonner discrètement le couple qui s’empressa de porter la nouvelle à son maître. Gottfried fut pris d’une colère noir, comment est-ce que son fils cadet osait-il s’unir avec une simple paysanne, même pas une bourgeoise, alors que lui, son père, le marquis D’Oakslake, Maître-épéiste des montagnes glacées et gardien des côtes occidentales(les grands nobles aiment beaucoup les titres grandiloquents) lui avait offert sur un plateau d’argent un mariage avec la famille impériale!Usant d’un peu de sa fortune, le marquis envoya l’espion en herbe engagé les pires canailles de la région afin de nettoyer cet affront à sa famille. Le serviteur trouva trois hommes à l’air rustre qui semblait convenir au besoin de D’Oakslake, il les engagea donc à enlever Cosette et la vendre comme servante dans une quelconque colonie lointaine de l’empire. Il ne se doutait pas de la véritable nature des trois vilains, d’horribles meurtriers prenant plaisir dans le crie de leurs victimes. Les criminels endurcis frappèrent alors que Cosette attendait son mari dans une petite rue peu fréquenté et ils lui firent subir d’atroce souffrance avant de l’achever en riant. Valérius arriva alors en courant, l’épée magique de l’air Luftschwert offerte par son maître à la main, car il avait entendu les cris de souffrance de sa belle. Le jeune noble fut emplit d’une colère encore plus puissante que toutes celle que la malédiction lui avait inspiré et il massacra les trois malfrats avant de s’effondrer au milieu de la mare de sang qui s’était formé en pleurant les larmes d’un homme qui s’est fait arracher sa raison de vivre.

C’est à ce moment que le serviteur pénétra dans la ruelle, prévoyant y trouver le jeune noble désemparé prêt à croire sur le champ que Cosette avait fui vers le fin fond de l’empire avec un autre homme. L’homme n’était pas stupide, il comprit immédiatement ce qui s’était réellement passé quand il contempla la scène écœurante que présentait cette ruelle, ni cruel, un remord immense d’avoir causé cette tragédie l’habita. Il aida Valérius à se relevé et à rentré discrètement au bercail où, une fois que le guerrier eu retrouvé ses esprits, il lui révéla la vérité. Pour la deuxième fois en cette noire journée, le noble perdit le contrôle de ses actes et il se lança à l’assaut de son père après avoir cassé le nez de l’espion. Il entra en trombe dans la salle à manger où ses parents, sa sœur et son grand frère Galaad de retour de la guerre mangeait en compagnie du maître d’arme Jarith. Quand Gottfried le questionna sur son apparence inappropriée au milieu du repas, le héros ne pus que vociféré « Meurtrier! Tu rejoindras tes sbires en enfer pour ton acte! » avant de sauter sur la table en descendant son épée courte dans un arc destructeur, ses yeux brillants d’un éclat carmine. Heureusement pour le marquis, Galaad et Jarith avaient de très bon reflexe, l’elfe se projeta comme un boulet de canon sur l’homme peu habitué aux exercices physiques pour le sortir de la trajectoire de la lame meurtrière alors que l’humain dégaina l’épée longue qui lui avait souvent sauvé la vie pendant la dernière campagne et para le coup de son frère. Une fois le marquis hors de porté du danger, Jarith se joignit lui aussi à la mêlée tentant de comprendre ce qui arrivait à son disciple qui criait à son frère de ne pas l’empêcher dans son acte de justice. Les deux combattants émérites réussirent à immobiliser leur adversaire au sol où, à force de cri, Valérius leur fit comprendre à peu près la raison de sa rage. Malgré le désarroi, l’horreur et la sympathie que cette révélation inspira à l’elfe et aux jeunes D’Oakslake, ils ne désiraient pas voir le jeune homme commettre un parricide et finir décapité pour haute trahison.

Tout trois tentèrent de calmer Valérius qui continuait à se débattre et à vociférer, jusqu’à ce que Rebekka lui fasse réaliser que Cosette serait ravagé de voir l’homme qu’elle aimait tant emprisonner et exécuté comme un vulgaire criminel. Le jeune maudit se calma immédiatement, se releva avec l’aide de Galaad puis fixa son père directement dans les yeux avec un regard froid et implacable et déclara « Un jour justice sera rendu, père, et vous ressentirez la terreur et la douleur que vous avez infligé à une pauvre innocente dans votre arrogante folie. Ceci, je vous le promets. » Il cracha au pied de son paternel ébranlé avant de quitter la pièce puis le palais, n’amenant avec lui que Luftschwert et Feuerklinge, l’épée magique des flammes appartenant à sa famille depuis des générations. N’ayant plus aucun goût à la vie, Valérius se dirigea vers une route traversant une forêt réputé pour abriter de dangereux brigands dans l’espoir de trouver une mort apaisante au bout de leur lame. Dans cette forêt, il vit un homme en habits de messager de l’empire se faire assaillir par un bandit d’allure dangereuse et le héros en quête de mort se porta à l’aide du messager, croyant ne pas être de taille face à un guerrier habitué à tuer. Il fut assez surpris de vaincre sans encombre le manant qui, en fait, ne savait pas se battre et comptait sur son apparence pour intimider les ennemis. Le héraut le remercia et décida de l’accompagner sur son chemin car ils semblaient se diriger dans le même sens. Tentant de faire la conversation, le fonctionnaire mentionna être recruteur pour l’armé impériale, un bon endroit pour un jeune homme au bras fort comme son silencieux sauveur qui pourrait défendre l’empire et ses citoyens contre de nombreuse menaces. Valérius y vit une belle façon de perdre la vie au service des autres et demanda donc à son compagnon de route de le conduire au camp d’entraînement le plus proche.

L’albinos passa rapidement à travers l’entraînement de base, en parti car il savait déjà manier les armes et que son statut de noble lui conférait un traitement de faveur non désiré qui fit de lui un sergent. Il utilisa son influence pour rejoindre une escouade de commando suicide, y voyant le moyen le plus rapide d’atteindre son objectif. Son escouade, les maraudeurs gris, furent envoyé avec deux régiments dans une région de l’est de l’empire où un sorcier adepte des ombres levait une armée de nalamis, d’humains mécontents du règne de l’empereur Isaac et d’autres créatures ténébreuses. Les maraudeurs gris reçurent l’ordre de brûler un camp de ravitaillement sous le couvert de la nuit, mais un garde sonna l’alerte pendant la mission et le commando suicide dût combattre l’ennemi de façon direct. Ce fut un carnage aberrant, les rebelles ayant l’avantage du nombre qui, dans les circonstances loin d’être idéales de cet affrontement, se révéla être un défaut car, dans la confusion ils s’attaquaient par erreur alors que les hommes de Ra’sibe n’avait pas à craindre les bavures de leurs alliés. Valérius se sentit habité par la rage et il se battit avec l’abandon complet de celui qui ne craint pas la mort, se jetant pratiquement sous les armes adverses. Il ne fut donc pas surprenant qu’il reçoive une blessure presque mortelle d’un coup d’épée à la gorge qui le terrassa. L’escouade massacra le camp en entier en subissant de lourde perte, mais les guérisseurs arrivèrent à temps pour sauver le jeune homme.

Pendant son coma, Valérius eut une révélation. Cosette lui apparu en rêve pour lui faire comprendre que de le voir sacrifier ainsi sa vie la peinait, lui qui pouvait tant aider les gens. À son réveil, bien qu’ignorant si l’apparition n’était qu’un rêve ou bien si sa bien aimée avait percé le voile entre la vie et la mort, le guerrier jura de ne plus jamais gaspiller sa vie ainsi et il retourna au front où il fut beaucoup plus efficace. Vers la fin de cette guerre, les maraudeurs gris rejoignirent les forces régulières pour une bataille contre le gros des forces ennemie. Ils avaient comme mission de démanteler les engins de guerre du sorcier et de tuer ce dernier et son bras droit, un monstre mi-ogre mi dragon, si ceux-ci se présentaient sur le champ de bataille. Valérius fit preuve d’un courage exemplaire, affrontant et vainquant en combat singulier l’ogre demi-dragon puis menant une troupe de soldat sans officier à l’assaut de différent endroit stratégique du terrain en ne subissant pratiquement aucune perte. Impressionné, le commandant des armées orientales le promut premier lieutenant et, avec l’aide d’une missive de l’empereur Isaac lui-même, le sacra chevalier. Il quitta les maraudeurs pour rejoindre un régiment d’infanterie intermédiaire où ses actes courageux, son attitude héroïque et ses airs de violon entrainant le rendirent très populaire auprès des hommes, ce qui expliqua sa promotion rapide quand le capitaine du régiment fut abattu d’une flèche ennemi.

La guerre pris fin peu de temps après et l’albinos décida de se retirer de l’armée, croyant pouvoir mieux aider le peuple en n’étant pas soldat. Il essaya de devenir guérisseur puis ouvrier, mais il n’avait pas le talent et le tempérament nécessaire pour ses professions. Alors qu’il errait de village en village à la recherche d’un moyen d’aider, payant les auberges avec sa musique, le vétéran tomba sur un hameau sous le joug d’un ghoma, un monstre tout en carapace, pinces et yeux. Se rappelant des histoires de son enfance où de preux chevaliers affrontaient de maléfiques dragons pour sauver princesses et villageois, Valérius, lui-même un preux chevalier, offrit ses services de tueur de monstre au chef du village. Le guerrier maudit albinos avait finalement trouvé sa vocation et par la même occasion un peu de paix intérieur.
Description mentale:Valérius est un jeune homme impulsif, préférant beaucoup l'action au discussion malgré qu'en tant qu'ancien officier, il connaisse la valeur de la stratégie. Il a un caractère assez sombre, il ne sourit qu'en de rares occasions, mais il retrouve petit à petit son optimisme et sa fougue d'antan. En parfais chevalier, l'albinos est courtois, sur de lui même et courageux en plus d'adorer venir en aide aux autre. Cependant, il est aussi colérique, même sans prendre en compte sa malédiction, et impatient sauf quand il chasse. Le traumatisme subi lors du meurtre de Cosette l'ont laissé méfiant et sa foi envers les dieux a été complètement remplacé par un mépris total envers ceux-ci et leurs religions. Il est toujours habité par un désir de vengeance envers son père, mais il réalise qu'il ne peut agir directement contre lui et se contente donc d'insulter l'honneur de Gottfried tout en offrant ses services à rabais pour toutes chasses motivés par la vengeance. Rien n'attire plus son courroux que de voir un innocent souffrir, surtout quand il s'agit d'une jeune femme issu du peuple. Il ne se sent en paix avec lui même uniquement lors d'un affrontement avec une créature maléfique, quand il joue tranquillement du violon au bord du feu ou quand il contemple les flammes d'un feu de camp à l'air libre. Il a toujours été fasciné par le feu, au point d'être pratiquement pyromane et il a un grand respect pour tout mage élémentaliste de feu
Pouvoirs et armes: (3 maximum au total, au choix, aucun pouvoir ou arme prédéfinis, faites travailler votre imagination... en évitant d'avoir des pouvoirs ou armes surpuissants.): Valérius utilise trois styles de combat différent selon la situation. Il utilise un arc long quand il ne peut ou ne devrait pas combattre au corps-à-corps, ses deux épées courtes quand la défense n'est pas un facteur et une combinaison de son bouclier et une masse de guerre lourde le reste du temps. Ses épées courtes sont magique, il s'agit de Feuerklinge, une épée de feu qui se transmet de père en fils depuis des générations dans la famille d'Oakslake, et Luftschwert, l'épée de l'air offerte par son maître à la fin de son entraînement. Feuerklinge à la capacité de s'enflammer alors que Luftschwert devient presque invisible et extrêmement coupante quand leur porteur le désir et leurs transmet un peu de sa force vitale, ce qui fatigue Valérius assez rapidement, surtout Luftschwert. Son bouclier, Aegis, est de bonne qualité et polie au point qu'il puisse pratiquement servir de miroir, ce qui est bien pratique quand viens le temps de combattre une gorgone ou pour se raser le matin.
Autres?(Animal de compagnie/petites manies par exemple): A tendance à se frotter le menton de la main droite quand il est pensif ou distrait. Il a obtenu une monture lors de son service militaire, un grand étalon noir nommé Vifnuit.

HORS-JEU
Découverte du monde par: Google
Preuve de lecture des 3 premières tablettes: [Ok par Ele]
Des améliorations à proposer? Pas pour le moment, à part peut-être changer la couleur des liens, parce que bleu sur fond bleu c'est pas toujours lisible

Ho mais voilà un chevalier, bienvenue ^^
Vu que cette classe n'existe pas encore, serait-il possible de faire une bref description de celle-ci? [préférence des armes, réaction face aux dangers ou autre Smile

]
Autrement, bon courage pour ta fiche Smile

PS: Pour les liens cela changera avec le changement de thème prévu d'ici quelques semaines^^

Chasseur de monstres? Serait-ce l'influence du nouveau monster hunter 3 qui nous parviendrait jusqu'ici? ^^

Bienvenue sur nos terres!

vu l'avatar et la description j'aurais plus pensé à The Witcher, mais bon, chasseur de monstres c'est pas du tout neuf dans la fantasy ^^

bienvenue

Merci de l'accueil! En fait, le choix de chasseur de monstre comme profession et de Geralt comme avatar est plus ou moins dû au hasard. J'ai décidé de générer l'historique de mon personnage en utilisant un aide de jeu pour jeu de rôle médiévale-fantastique et je me suis retrouvé avec un chevalier tragique balafré et ayant comme hobby de jouer du violon. Comme je ne suis pas très poète ni compositeur, je ne voulais pas jouer un barde errant, je me suis dit qu'un chevalier errant de village en village pour défendre veuve et orphelin pourrait être pas mal. Sur ce je suis parti travailler puis quand je suis revenu au bercail, l'idée avait germé en chasseur de monstre. Alors que je cherchais un avatar de guerrier balafré, je me suis rendu compte que mes choix se résumais à un samurai, un vieux guerrier, un chevalier ne montrant pas le côté gauche de son visage ou Geralt du jeu The Witcher. Comme ni le samurai ni le vieux ne convenait à l'idée que j'avais du perso, j'ai opté pour le choix présent. La profession similaire n'est qu'un bonus dans le choix.

Et c'est un bel historique en effet ^^
Bienvenue sur le forum, chevalier !
Par contre, au niveau des armes et pouvoirs, je pense que c'est un poil
trop bourrin... à voir avec les admins, mais un arc + une épée + deux
épées magiques assez bourrines + un bouclier magique qui l'est
également, ça me paraît beaucoup Razz

Parce qu'en gros, avec ses trois armes magiques, il peut tuer quasiment n'importe qui, mais en plus il ne peut pas être touché par la magie... ou alors faudrait voir à lui ajouter de sérieuses faiblesses en contrepartie.

Je suis d'accord avec Basil, faudrait revoir les pouvoirs magiques (ou les armes) à la baisse ou y rajouter quelques conditions.
Il te faut forcément des points faibles Smile

Ok pas de problème, je n'essaie pas de faire un perso invincible. Je tiens juste à préciser qu'activer les pouvoirs des épées prend de sa force vitale, ce qui fatigue un peu et comme se battre avec deux épées tout en portant une armure lourde est déjà fatiguant, c'est plus un dernier recours car Valérius ne peut pas maintenir les deux épées très longtemps et ça le laisse épuisé après. L'idée général du bouclier n'est pas qu'il annule la magie, mais que Valérius pouvait se protégé des projectiles magiques aussi bien que contre les flèches quand il se bat défensivement. Je vais enlever ce pouvoir magique, juste garder le bouclier comme étant de bonne qualité.

Pour ce qui est du fait que Valérius a trois style de combat assez différent, je crois que c'est normal pour un guerrier expérimenté d'avoir plus d'un tour dans son sac, surtout quand ce guerrier chasse le monstre. À noter que je n'ai pas dis qu'il est un maître archer rendant jaloux les meilleurs archers elfes, il est très ordinaire à ce niveau la.

Invité

Bienvenue chevalier !

Merci de l'accueil, Rôdeur!

Je pense bien avoir fini ma présentation, sauf peut-être si vous voyez des changements à effectuer si vous remarquez des trucs incohérents avec l'univers du forum. Je me demandais aussi si il y avait un bestiaire officiel des terres infinies, ça risque d'être utile pour un chasseur de monstre. Wink

Il est en construction, on a les bebetes faut juste mettre au propre.
[je regarde ta fiche et je te valide [si je peux^^] demain au pire, là les yeux fatiguent^^]

Bon et bien, je pense que tout est bon vu que tes armes magique pompe pas mal ton énergie tout cela me semble correct. Après à voir en jeu, si ça devient trop bourrin on reverra ça ok? Smile

Allez hop, bon jeu^^

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