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| Prélude à la quiétude ... [Volianã] | |
| Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: Prélude à la quiétude ... [Volianã] Sam 10 Juil - 20:49 | |
| 12 Juwÿn
Ah, les montagnes ! C’est un endroit que je connais peu, car je n’aime pas m’y aventurer. Il faut dire que ce n’est pas non plus le meilleur terrain de chasse pour quelqu’un de ma tranche : peu d’habitations, peu de gens, et donc peu de choses à dérober ! Vous vous dîtes sans doute que je passe ma vie à ravir les autres ? J’avoue que cela est ma principale occupation, mais c’est du larcin que je vis, et c’est toujours du larcin que je vivrais. Maintenant, vous voudriez peut être savoir ce qui attire une personne comme moi dans cette région ? Je vous répondrais par ceci : « le Destin ». Car, si je suis ici, c’est simplement que mon chemin et mes pas m’y ont conduit. J’ai déserté la ville, il y a quelques jours, après qu’un de mes contrats se soit passé d’une trop mauvaise façon pour que je puisse passer inaperçu aux yeux de tous, aux yeux des humains, en tout cas. L’empire des hommes est peut être trop compliqué pour moi, après tout ! Et donc, pas préjudice, je n’avais intérêt qu’à partir, et faire route là ou je pourrais sans doute me refaire une image, sans être traqué à chaque minute de ma petite vie. Revenons en donc à la montagne, et à ce chemin arpenteux qui faisait souffrir mes pieds depuis plusieurs minutes. C’était sans doute la pire route de voyage que j’eu à emprunter jusque là, mais après cette « épreuve », je savais qu’un village m’accueillerait, et sans doute une auberge chaude ou la boisson et les femmes ne manqueraient pas.
Enfin ! Je fus arrivé, après un dernier effort, aux portes du village. C’était une modeste bourgade, aux maisons simples … Un endroit qui s’assimilait parfaitement à la montagne, accueillant et chaleureux … Un endroit ou il était sans doute bon de vivre, si l’air froid de la montagne ne régnait pas en maître ! Je savais que je n’allais pas m’attarder ici, car j’avais peur de voir des avis sur ma tête arriver rapidement dans la zone, et je n’avais pas envie de finir décapité, la tête sur un pieu en démonstration au public.
« L’auberge ? » demandais-je à la première personne qui me passa devant les yeux.
« Ô, jeune homme ! Que fais un si jeune voyageur dans une ville comme celle-ci ? Êtes-vous venus ici en quête d’un travail ? Ou peut être êtes vous venus pour prier nos vénérée déesse ? Oh, mais je fais preuve d’un peu trop de curiosité … L’auberge se trouve à quelques pas d’ici, derrière ces maisons ! »
« Merci bien, brave vieillard. Vous avez parlé d’une déesse, que vous vénérez ? Quelle est donc cette déesse, si je puis faire preuve moi aussi d’un soupçon de curiosité ? »
« Ah, mon petit ! J’aurais là une longue histoire à vous raconter, si je voulais vous dire quel est cette Déesse … »
« Épargnez moi l’histoire, révélez moi juste son nom. Mon intérêt en sera comblé. »
Le vieillard souri, je m’y attendais. Il ferma les yeux, quelques secondes, puis les rouvrit, plus rapidement.
« Tu n’es pas comme les autres, tu es franc … »
Et d’un geste lent de la main, il me désigna un endroit dans les hauteurs de la ville, quelque chose ressemblant – de la distance ou je me trouvais – à un passage vers le sommet de la montagne.
« Jeune homme, passe le souterrain qui mène à l’apogée de la montagne. Il te conduira dans un des autels dédié à notre protectrice. Je sais que ton esprit est attisé par la puissance, sans que tu t’en rendes compte. Ne contraries pas les paroles d’un vieil homme comme je suis, j’ai assez de connaissance pour affirmer cela. Tu trouveras, là bas, quelque chose qui pourrait bien combler tout tes désires ! A toi de me croire, ou pas … Mais sache que, si tes rêves sont mauvais, que tu n’y trouveras que malheur et désespoir. Bonne route, puissent mes paroles t’apporter de bons conseils … »
Et sur ces derniers mots, il reprit sa marche, comme si notre rencontre n’avait été qu’un long soupir emporté par le vent … Je n’avais plus l’envie de me rendre à l’auberge, ou plutôt, j’avais envie d’aller faire ami-ami avec celle qu’ils vénéraient comme une déesse. Je n’ai jamais eu de croyance en un Dieu, je n’ai jamais cru en rien d’ailleurs. Pour moi, toutes ces divinités ne sont que de pures histoires venant de l’esprit des hommes, pour donner espoir aux autres et se faire du bénéfice derrière. Mais, dans ce cas, pourquoi avait l’intention de vérifier les paroles du vieillard ? Je ne voulais pas l’admettre, mais, tout cela me titillait. Je réunis donc le courage qu’il me restait, puis après m’être étiré, commença à gravir les marches de pierres en direction de la grotte, ou je trouverais une réponse bien assez tôt. Arrivé en haut des marches, je trouvais un long corridor orné d’or et d’argents, de symboles de rois et de dessins, un endroit magnifique, réellement digne d’un dieu. J’aurais pu y voler bon nombre de choses, mais ce sentiment qui me faisait croire que ce vieillard ne mentait pas prit le dessus, et je pris peur de toucher à ne serait qu’une seule des décorations de cet endroit. Le couloir, taillé à même la pierre, se formait ensuite sous une forme de spirale.
« Mais … Merde, pourquoi je flippe comme ca ? Ca ne me ressemble pas, je dois être victime d’une malédiction ou … De toute façon, je ne vais pas repartir d’ici les mains vides. »
Et après m’être persuadé avec difficulté, qu’il fallait saisir cette occasion, je dirigeais ma main vers une coupole en or ornée de petits bijoux, mais avant que ma main ne puisse la toucher, un piège s’activa et me trancha l’index et le majeur, ce qui me fit bondir en arrière pour me cogner contre le mur derrière moi. Ma main était en sang, mes deux doigts coupés près de l’objet de valeur, me laissant un peu sous le choc. La douleur ? Je la sentais, un peu … Oui oui, juste « un peu ». Cela n’arrivait pas à la hauteur des souffrances que j’avais déjà enduré, physique et mentale … Quand je repris mes esprits, j'arrachais un morceau de mes vêtements sales pour me faire un bandage, puis je continuais le chemin, comme si rien ne s’était passé.
Et enfin, j’arrivais au bout du périple, guidé par la lumière du soleil, si proche de moi désormais. C’était une chambre, gigantesque, ouverte sur l’extérieur et offrant une magnifique vue sur les monts environnants. Superbe, magnifique, j’étais en pleine extase, oubliant déjà que je venais de perdre au moins 70% des capacités de ma main droite. Au final, je finissais par croire que les dieux existaient, réellement. Oh oui, j’en étais même persuadé … Et cette déesse là, ce n’était pas qu’une illusion … |
| | | Volianã Déesse de la Lumière : Agilité, rapidité et honneur
Parchemin d'identité Race: Inconnu Age du personnage: Inconnu Haut-faits/Connaissances:
| Sujet: Re: Prélude à la quiétude ... [Volianã] Dim 11 Juil - 15:01 | |
| De là où je suis, dans un des balcons clés du domaine sacré. Je vois le monde d'une toute autre vision. Je me croirai presque au-dessus de tous, êtres vivants ou lois. Je suis une déesse cela devrait être normal pour quelqu'un qui brille par sa puissance et sa notoriété face aux peuples qui vous idolâtres est espères recevoir de vous les cadeaux du ciel. Je ne parle pas non seulement de la race pour qui j'offre tout mon cœur et mon esprit, les Finfrigs savent a quoi s'en tenir avec moi, je n'ai jamais eu de choses qui ressemblaient a une envie d'obtenir plus qu'on ne pourrait l'imaginer, si ils étaient les plus fervent protecteur du vent, qu'ils me respectaient et le respectaient lui je n'avais aucune raison d'en venir a faire des choses que je risquai de regretter plu-tard, Après tout suis-je vraiment faite pour accomplir la mission que je me suis affilée toute seule. Non pas que je doute de mes capacités qui raisonnable dans l'ensemble me confèrent une puissance qui envierait n'importe quel accroc de la domination. Je suis juste lasse que l'on me voit comme une simple entité qui corrige les avares et récompense les brebis. Des autels luxueux chargés d'or et de parures somptueuses, tout cette argent gaspiller qui pourraient faire le bonheur des faibles est aujourd'hui investi pour montrer aux générations futures la gloire des dieux de l'époque. Moi qui me trouve devant l'œuvre architecturale la plus aboutie avec ses banderoles en tissu d'or brodés a la main qui partent des bords lustrés des grandes fenêtre sans porte et s'affalent sur le sol marbrés, si propre qu'on verrait son propre reflet dedans. Que de luxe tapageur, le plus vile des briguant saliverait de tout son être s'il venait a rencontrer pareille ébauche de fortune qui n'a de prix, a pars la mort. Ce lieu est un attrape malin, ses pièges sur ses objets d'arts ne manquent pas de trancher deux ou trois membres au passage, les architectes eurent pensés que le seul moyen d'empêcher l'envi de voler serait de prendre au voleur quelque chose qui lui manquerait énormément, Ces méthodes barbares sont d'un manque de classe flagrant, cette baptise me dégoute, les traces de griffures sur les bords où je déposai mes pattes montraient là ma frustration. Qui n'aurait jamais voulu devenir pour un jour quelqu'un de tout a fait normal, je veux dire sans les cérémonies de commémorations, les interventions de juge près des siens qui vous appel nuit et jour pour un oui et un non, cela ne me dérange pas s'ils m'appellent mais j'aimerai bien avoir la paix pendant un moment.
Certains ne se rendent pas compte qu'il est ardu d'être une déesse, ils pensent que la vie est paisible qu'on peut avoir tout ce que l'on désire d'un claquement de doigt, qu'on est en mesure de faire celons notre bon vouloir et ne pas dépendre des grandes juridictions du monde du dessous. C'est faux!Je souffre beaucoup de cette condition j'ai même en tête de tout abandonner, peut être parce que je n'ai pas la sagesse requise pour accomplir mes devoirs. Je suis une fynfrigs faucon-panthère vêtue d'une robe de cérémonie dit il..... Il est fou de savoir qu'on peut pointer une flèche sur vous seulement en regardant votre façon de vous vêtir, encore heureux que je ne passe pas pour une saltimbanque. Mes ailes sombres sont l'unique lien d'amour qui me lie au cieux de mon seigneur l'élémentaire vent, je l'envie beaucoup. Il est libre de voyager et moi je ne suis libre que pars mes temps de solitude, même si il est toujours là pour me consoler. Il laisse ses bras invisibles tourner autour de mon corps, caresser mon plumage, il m'emplit de joie. Encore aujourd'hui et face a cette vue des montagnes sublimes qui vous fait tourner de l'œil. Je ne l'ai jamais vu aussi proche de moi depuis le jour où j'ai reçu le dons de ne faire qu'un avec lui. Je n'ai pas d'autres amours que lui, pas d'autres aventures que celle que j'entreprends depuis des années. Les nuages blancs qui gouvernent le bleuté du ciel et son soleil chaleureux, la brise d'une journée qui commence pas des quiétudes lassantes, la peur de finir en jouet dans le futur, Le fait que la beauté cache une monstruosité me irise le plumage, pire encore, j'ai un tas de remord qui bute sur mon moral infaillible, dur comme fer.
J'eus bien fait de refuser la venu des fidèles pour la fameuse prière a la mère de la vie et au père de l'espoir, n'étant pas dans mes humeurs joyeuses le trop pleins de compliments m'auraient martyrisées dès le début. C'est étrange hein ? Une belle déesse qui refuse les compliments a longueur de journée? Qui n'aime pas être gâté 24h sur 24 ? Cette raison m'a fait cogiter pendant les longs vols au fin fond de l'espace qui m'ait dédié. J'en sortie la fraiche idée de me faire passer pour une aventurière du nom de Voly (oui je sais je ne me suis pas foulé pour le nom, mais sa marche! ). Donc, un jour sur deux, je me retrouve dans la peau de mon second personnage a jouer des charmes avec qui me tombe sous les pattes, a faire des emplettes dans les villes et villages toute heureuse de découvrir un univers qui jusque là m'était interdit. Qu'es ce qui m'empêche de réitérer l'opération là maintenant ? J'ai encore des devoirs qui me clouent ici pour un bon bout de temps. Un grand finfrigs devait se hâté cette après-midi pour une audience, selon les écrits de sa lettre que j'eus reçue de la pars de mon messager griffon, des soucis de liaison entre les humains se faisaient de plus en plus ressentir « je ne m'en serai pas doutée moi même tiens ». Soit je l'envoyer valser par un coup de vent accidentel, j'étais hélas devant le poteau rose a marmonner dans mon petit coin toute seule. Obliger de répondre a son invitation futile qui croque sur mon passe-temps favori « rester sans rien faire », dommage que Erok était prit ce jour-ci, embêter cette vieille peluche de guerre m'aurait fait le plus grand bien.....
Un bruit métallique me fit frisonner de haut en bas, quelqu'un se serait-il trancher la tête dans les longs couloirs sans fin, peut être un bras qui sait? Ce n'est pas le premier qui tente de faire ami avec les objets tranchants, bandes d'idiots. Des bruits de pas ? Non a cette heure de la journée ? Qui serait assez fou pour renier un ordre que j'avais donné la veille, quel est l'imbécile qui aurait osé mettre un orteil dans l'une de mes demeures sans que je ne lui en donne l'ordre? J'enlevai mes serres du rebord en chêne lacéré de tous côtés, de petites bourrasques de vent écartèrent les grands rideaux de chaque coins de fenêtre. Mon teint c'était assombri. Très vite des filets d'air parcouraient ma ravissante silhouette me volant quelques plumes au passages qui se déposèrent avec douceur au sol. Je m'avançai lentement vers la pièce principale, une chambre de reine, en gardant mes ailes fermées sur moi tel un long manteau de chaos où seule ma tête et ma queue féline étaient décelables. Comme je l'eus pensée un homme vêtu comme un ivrogne lorgnait ce qu'il qualifierait d'incroyable avec ses yeux d'un vert attirant (vous auriez du voir son vêtement a moitié déchiré, (heureusement qu'il se rattrape avec son beau visage) . Je disais donc vêtu comme un plouc qui plus est avec une belle trainée de goute de sang qui s'écoulait de sa main estropiée « Beurk » sur la surface brillante.
Les humais ont un manque de propreté face aux dames, c'est répugnant. Il avait de beau cheveux mi-long noir qui allait parfaitement avec sa corpulence svelte, que du belle étalon (après une bonne douche ). voilà un nouveau cas de figure où le choix prend deux petites voies très très courtes. Un je lui décoche une belle rafale de vent qui l'expulsera sur le plafond du domaine, deux je force le contact orale et j'essaie de comprendre sa venue. N'étant pas comme peluche de guerre vis a vis des Humains chétifs je préfère lui soutirer des mots avec la plus grande douceur. Sans attendre je fis apparaître en claquant des doigts un petit souffle frais qui avait pour but de le réveiller un peu. Le pauvre j'y étais peut être allée un peu trop fort qu'il tenait a peine sur ses jambes (la prochaine fois je me retiendrai ) . J'arrêtai mes bêtises et lui lança un regard vide pour faire bonne figure devant l'invité de fortune. -Que viens tu donc faire dans mon antre humain? Es-tu fou ou désireux de perdre ce qu'il te reste de membres ? Regarde un peu dans quel état tu as mis ma chambre! J'espère pour toi que tu as là une très bonne raison a m'offrir avant que je ne lance la première sentence ! Venant de moi on pouvait si attendre. En tant que déesse j'avais quand même le chic de me prendre pour plus coriace que je ne le suis, j'envoyai d'emblée mes mauvaises ondes dans les parages ainsi j'étais sure d'être comprises. Même le plus sombre abrutie ferait ses affaires dans son pantalon en sentant les déferlements du vent sur sa peau moite. Ce petit boutentrain était différents, il ne broncha pas, seule sa bouche et son regards était hébétés par une vision de la splendeur de la terre « soit moi soit le temple et l'or « . Je déploya violemment mes ailes provoquant un ouragan presque! Afin qu'il admire la vrais merveille du monde et qu'il arrête de bavé.
- Sache qu'une déesse n'aime pas attendre, parle ou sinon !? |
| | | Crépuscule Dieu neutre : Arts, voyage et survie
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| Sujet: Re: Prélude à la quiétude ... [Volianã] Lun 12 Juil - 9:28 | |
| L'humain n'eut pas vraiment l'occasion de répondre, puisque d'autres voix retentirent un peu plus loin.
"Ah, tu vois, je t'avais dit qu'elle ne serait pas de bonne humeur"
"Bien sûr qu'elle l'est! Qui ne le serait pas à rester enfermé toute la journée."
Si l'Unité masquait sa nature divine pour se faire passer pour humains aux yeux des dieux eux mêmes, ces derniers commençaient à connaître l'apparence et le ton de voix de son avatar double. De même, leur simple présence avait déjoué tous les pièges, les rendant inactifs un moment.
"C'est dangereux ces trucs là, on pourrait se couper."
"Regarde, nous ne sommes pas les premiers."
Il n'étaient pas encore présents dans la pièce, mais il n'étaient guère discrets. Sans annoncer leur venue, ils étaient venus passer un petit coucou à une ancienne collègue. Mais la présence de l'humain allait rendre les choses bien plus intéressantes, bien plus drôles. Peut-être de quoi dérider la déesse, qui sait? |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Prélude à la quiétude ... [Volianã] Lun 12 Juil - 12:31 | |
| Mon arrivée dans ce lieu sembla gêner un peu cette fynfrig que les humains appelaient « Déesse ». Elle me reluqua du coin de l’œil, tantôt mon accoutrement, tantôt mon visage : l’un comme l’autre était sale et elle du donc me prendre soit pour l’évadé d’un asile, soit pour un psychopathe en recherche d’une victime … Et ma main en sang n’arrangeait pas les choses, le bandage non plus d’ailleurs … J’aurais aimé me voir, rien que quelques secondes ! Dans tout cela, seule l’expression de mon regard rattrapait un peu mon style de malade, fou, ivrogne … Bon, ne nous attardons pas sur cela, parlons plutôt de celle qui me faisait face : une fynfrig, au plumage noir, très attirante malgré le fait qu’elle soit d’une autre race que la mienne … Elle continua à me regarder, comme si les êtres humains étaient un véritable secret pour sa personne.
*Pour une ‘Déesse’, elle à l’air bien inoffensive*
J’avais peut être parlé trop vite, elle claqua des doigts et un vent frais me caressa le visage, presque aussitôt … Même si ce n’était qu’un petit souffle, je me sentis vaciller un instant (sans doute à cause du sang que j’avais perdu, aussi). Et après cela, elle commença à me poser une série de questions : qu’étais-je venu chercher ici, et étais-ce la folie qui m’avait guidé jusque là ? Je n’avais pas l’intention de répondre immédiatement, je préférais la faire patienter un moment car il fallait un temps pour me remettre de cette rencontre : on ne fait pas connaissance avec une divinité tout les jours ! Mes paupières semblaient lourdes, ma bouche était sèche, ma respiration lente –non pas parce que j’étais angoissé ou apeuré, mais parce que les montagnes, ce lieu, cette personne me donnait l’impression d’être dans un milieu totalement inconnu.
Mon sang, lui, coulait encore un peu de mes plaies récentes, j’avais réussi à laisser des traces du liquide rougeâtre sur mon chemin, pour finalement en abandonner une marre à l’endroit ou je me tenais à présent. L’idole, elle, semblait perdre patiente puisque qu’elle déplia violemment ses ailes, provoquant une mini-tempête dans ma direction. Je fis plusieurs pas en arrière, puis posais genou à terre –non pas pour m’incliner devant sa puissance, mais parce que je commençais à perdre l’équilibre. Soudain, un bruit se fit entendre, par là ou j’étais venu. Des paroles, deux personnes en conversation … Je pense que je n’avais que trop tardé ici, la déesse recevait de la visite. Quand à cette question, je n’étais pas sur, moi-même, que je voulais simplement étancher ma soif de curiosité. Comme l’avait dit le vieillard, quelque chose en moi désirait la puissance, le pouvoir … Pour faire le bien ? J’en doutais un peu, je doutais sur ma propre personnalité … Impressionnant, n’est-ce pas ?
« Escu … Excusez mon impudence, j’aurais du m’informer un peu plus avant de me … rendre ici. La raison de ma venue ? Elle m’est inconnue … Non, je dois plutôt avouer que j’avais envie de voir ce que les hommes appellent « une déesse », ce qui m’amène ici n’est donc rien d’autre que la curiosité.»
Et avant de pouvoir la laisser parler, je reprit la parole.
« Je crois que ne douterais plus jamais de l’existence des Dieux … Mais, je ne me suis que trop attardé ici. Veuillez encore m’excuser, pour cette intrusion, vous pouvez d’or et déjà oublier mon visage et mon passage ici. Adieu. »
Et l’esprit ravi de cette rencontre, je me relevais, fis dos à la belle, et commençait à partir par là ou j’étais venu. Mais alors que j’arrivais dans le couloir, une étrange personne arriva. Qui était-elle ? Je n’aurais pu le dire. |
| | | Volianã Déesse de la Lumière : Agilité, rapidité et honneur
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| Sujet: l Ven 6 Aoû - 0:25 | |
| Quel imbécile dénué d'un degré de respect pour l'être supérieure que je suis, il y avait de quoi se sentir outrer par un tel individu qui plus est un humain. Dois-je être surprise par son manque de civisme et dans ce cas faudrait-il peut être que j'en vienne a l'exécution de ma sentence qui sera plus que regrettable? Si c'est ce qu'il désire je pourrais subvenir a son besoin le plus rapidement possible, mes plumes frémirent a l'idée d'éduquer ce jeune freluquet afin de lui apprendre que poser le pied dans ma demeure sans mon approbation, tacheter le sol de son sang rougeâtre et me dévisager comme il le faisait portait atteinte a mon sang supérieur. J'ai horreur d'être prise pour la dernière des idiotes. A y réfléchir ce n'est pas vraiment une surprise c'est un humain, les humains n'ont pas la notion de politesse on dirait qu'ils font exprès de s'attirer les foudres des dieux pour après recevoir les louanges du futur comme étant ceux qui ont réussis a défier la divinité. Il ne connaissent pas le véritable pouvoir qui sommeil en nous, une seule démonstration de notre puissance suffirait a les faire disparaitre de la surface de cette terre, encore une fois je me gargarise de mon statut quoique a première vue j'essaie de me faire passer pour une humble Fynfrigs de l'ombre...Bref passons. La marre de sang prenait une tout autre dimension l'un de ses pieds s'y baignait tellement la zone couverte était importante. Hors de question qu'il meurt sous mon toit je ferais mieux d'appeler mon fidèle griffon dans ce cas, il se ferait une joie d'entamer se cadavre éveillé. Pas de gaspillage de nourriture voyons, tant de races meurt de faim de nos jours. Je restai la plus impassible, calme mais un peu sur la corde sensible. Entre sang et imbécilité, vêtement sale et regard étrange j'avais là ma dose pour la journée et misère elle commencée sur les chapeaux de roues. Je m'avançais donc électriser de lui loger toutes mes serres sur son joli visage autant faire les choses (proprement que diable). étant dans mes mauvaises humeurs une élimination pure saurait me détendre avant l'arrivée de mon hôte qui sans doute était en chemin. S'il me voyait en prise avec la race que nos ancêtre méprise tant sa première réaction en serait de loin la plus barbare que je connaisse, si on veut que les choses soient bien faites faisons les nous même...
Je passai une patte sur mon bec l'air désespéré, dire que cela risque de mal finir m'en donne la nausée. L'homme profita de mon instant de faiblesse en m'accablant des réponses a mes énigmes froides tout ce que j'en pense en écoutant son discourt c'est qu'il n'a vraiment pas de jugeote. Il débarque ici et ne sait pas pourquoi il se présente devant moi ? J'espérai de tout cœur qu'il se jouait de moi ma colère n'en sera que plus forte. J'eus imaginée que son cerveau aurait capter les ondes néfastes de mon coup de rafales magiques, je me trompai lourdement. Gloussements d'insulte lorsqu'il voulu se retirer d'un adieux, il me fit dos! J'ai du mal a y croire! Ce rustre pénètre dans un domaine sacré, souille tout ce qu'il touche, me parle en bégayent et après il me montre son dos ? Je veux bien être une sainte, il ne faut pas pousser le bouchon trop loin! Tel une furie hors de sa cage je le fis voler dans les airs comme une vulgaire feuille de papier en usant de mon dons de fusion avec l'air. Avec un doigt je m'amusai a le faire monter puis descendre. Du plafond au parquet sans lui faire percuter les surfaces ( ce n'est pas drôle sinon), je jouais en écoutant ses supplications et le doux sons des rafales qui le propulsèrent rapidement dans une direction de mon choix. Un grand sourire s'afficha quand je l'envoya valdinguer sur un le lit en soie histoire qu'il ne se brise pas malencontreusement les os. Sans attendre je le cloua au matelas grâce une compression de l'air ambiant sur son corps aplatit sur mon lit maintenant rouge en son centre. Sans bouger de ma positon a deux petits mètres, j'acquiesçai un ricanant sadique, voila un vrais dressage de mon cru, il s'en souviendra et le racontera a ses enfants si le temps lui en donne la chance et la capacité.
-Tu croyais vraiment que moi, Voliana déesse te laisserai quitter mon antre de la sorte? En pénétrant ici tu a violé une lois sacrée que plaide tu ? Répond vite ou je me ferais un plaisir de broyer ton corps d'un simple geste de ma pars!
Si les miens me voyaient ils plaideraient coupable sur le champs et sa vie en serait réduite a néant. Plus j'y réfléchis plus je me dit que je ne suis pas de ses eaux là. En mon fond je me faisait passée pour une dure a cuire sans en avoir l'étoffe, une divinité comme on le voit dans les légendes pour enfants. L'entité sublime a l'aspect qui inculque la méfiance ou l'adoration. Il était surpris mais quand j'eus déposée mes yeux dans les siens je ne ressentait pas ce petit quelque chose qui incite la peur a se montrer, ce moment d'hésitation me fit relâcher mon emprise sur lui. J'ai longtemps été vue comme une inspirante de la bonne foie, là, je gâche cette image en agissant comme cette peluche de guerre, il hait les humains et moi je défend la différences des races, mes frères et ma moitié... Ces années m'ont rendues sec vis à vis des étrangers, je devais me calmer. J'ai besoin de temps pour me rendre compte que je me voile la face en me prenant pour celle que je ne suis pas... J'avais honte de ce que j'avais fait que pour dissiper le nuage de rage je me dirigea vers le coin de lit en marchants d'un pas saccadé de méfiance, je peux bien lui donner sa chance a condition qu'il soit bref avant que quelqu'un ne le trouve ici, je ne pourrais plus rien après ça. Je change d'humeur comme de robe de cérémonie, pendant une heures je serait une peste qui joue les charmeuses, l'autre une personne silencieuse qui ne parle jamais pour finir sur la facette de la femelle la plus tendre qui soit, tous ses visages cachés m'usent a la longue. Je posa mon derrière sur le coin droit du lit a deux places, j'y déposais mes pattes, mon visage ne quittait le sol. La respiration stressante de l'humain me laissai libre court a la parole.
-Je ne sais pas qui t'a demandé de venir ici mais tu ferais mieux de me le dire et de quitter vite fait ce temple avant la venue de mon hôtes... Je..!
Une présence familière cassa net la suite de notre parlote j'avais les devants), une présence que je ne connaissais que trop bien, la seule chose que je peux dire c'est... Pourquoi maintenant? Pourquoi tout de suite? Je la ressentait se déplacer dans les couloirs, elle n'était pas seule comme dans ses habitudes. J'étais tellement occupé a martyriser l'homme que je n'avais rien vue venir, quelle idiote! plus le temps de cacher l'invité surprise, si c'est bien celui que je crois je perdrai vite le gout de la tranquillité. A voir.
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| | | Crépuscule Dieu neutre : Arts, voyage et survie
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| Sujet: Re: Prélude à la quiétude ... [Volianã] Ven 6 Aoû - 10:54 | |
| Le couple divin arriva enfin en vue de la déesse, et du spectacle qu'elle offrait. Elëan, une jeune femme visiblement de noble éducation et fort bien vêtue, était devant, tandis que son mari, Sécrus, se tenait derrière, vêtu comme un charretier et soutenu par un bâton trop grand pour lui. A la vue du sang sur le sol, la jeune femme s'exclama :
"Bonté divine, tout ce fluide. Le pauvre homme doit être à l'agonie."
Et son mari de répondre.
"Ah ça, quand on fait pas attention. mais si tu veux mon avis c'est le cadet de ses soucis."
Il indiquait de son bâton l'homme sur le lit, et la déesse. Cette fois, c'est à l'unisson qu'ils parlèrent, preuve pour la déesse de leur identité.
"Salutations, Volianã. Pourquoi ce grabuge en ce lieu d'habitude si calme. L'humain qui est ici ne semble pas avoir mérité la fureur divine, pourtant. Quel outrage a-t-il commis?" |
| | | Volianã Déesse de la Lumière : Agilité, rapidité et honneur
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| Sujet: Re: Prélude à la quiétude ... [Volianã] Ven 6 Aoû - 15:20 | |
| J'espère de tout cœur que crépuscule n'avait pas eut le temps de voir ma partie de jeux de ballon avec le pauvre humain a demi-inconscient, que penserait-il ou que penserait-elle car oui il n'était pas seul, son double avatar féminin ne le lâchait d'une semelle. Pour tout vous expliquer mon ancien collègue possède une sorte de double personnalité, sauf que comparé a ma personne il a la capacité de prendre l'apparence d'une femme a la beauté fatal, pour quel raison? Moi même je n'y comprend rien mais il le vie bien alors pas de quoi s'inquiéter. On ne sait pas lequel des deux va prendre la parole, tantôt l'un tantôt l'autre, dans une discutions vous vous retrouver a deux contre un logique non ? Il/elles sont agaçant par moment, je note les principales disputent entre crépuscule et aube sur le thème du combat contre les ombres, un sujet souvent remis en cause qui le poussa a quitter le domaine céleste. D'un coté je les comprenais tous les deux ce n'est pas toujours la joie la-bas; on s'y ennui on se tape sur les nerfs en cherchant la moindre petit étincelle qui ferait plié son interlocuteur, même les dieux se comportent comme des enfants, flemmard comme il était nous savions qu'il prendrait un choix sur son avenir parmi nous.
Je ne me suis jamais permise de le laisser plus bas que terre, son calme dans des situations précoces me rendait méfiante, je ne l'ai vu en colère que quelques fois mais quand est-il du véritable dédain qui sortirait de lui ou elle s'il venait a perdre leurs sang froid? Je ne veux même pas y penser. Crépuscule était là devant nous, près des grandes portes en train d'analyser ce qui se trouvait sous ses pieds. La première a réagir fut la femme. Son timbre de voix noble et si bien peaufiné fut emplie de surprises de voir ce machin joncher les dalles de marbres, elle s'inquiéta aussi pour le jeune homme que j'avais pousser dans ses derniers retranchement. L'humain a côté d'elle qui se trouvait être son mari répondis aussi vite. Sa phrase m'eut amusée, ici soit on fait attention ou on pose les mains au risque qu'il manque quelque chose, soit on ne rentre pas, il marquait un point. Ayant fini de parler ils m'interpelèrent en parfaite synchronisation et voila ce que je craignais j'allais devoir me justifier et j'ai horreur de me justifier de mes actes. Je suis grandes non ? Je restais assise dans mon coin sans les regarder trop absorbé par le freluquet mort ou vif. Pitié que cela n'entraine pas notre discutions inévitable dans un déluge de questions, je n'avais pas besoin de ça tout de suite.
-Salutation crépuscule, vous m'envoyez tous deux ravie de votre venue, ma surprise et grande je ne m'attendais pas a ça... Et lui ?Pénétrer comme il l'a fait dans mon entre, tenter de voler l'un de mes bien ne mérite qu'une chose n'êtes vous pas d'accord ?
J'avais dit cela en serrant les draps le plus fort possible, j'étais frustré. Mes ailes cachaient chaque cotés de mon corps ne laissant que les pattes de panthère noire visible et la tête de faucon douteux, le reste était dans l'ombre la plus totale c'était une façon de dire clairement que je me sentait mal a l'aise. |
| | | Crépuscule Dieu neutre : Arts, voyage et survie
Parchemin d'identité Race: Dieu Age du personnage: Inconnu Haut-faits/Connaissances:
| Sujet: Re: Prélude à la quiétude ... [Volianã] Lun 23 Aoû - 11:17 | |
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