Que font tous ces gardes ici? Je me le demande... On envoi pas toute la garnison de garde en un coup, à cause des imprévu... Sauf dans un cas grave. Lorsqu'il y a un risque, on accepte la petite vermine, mais lorsque on emploie les grands moyens, c'est qu'on est décidé... Qu'on est décidé à faire fuir jusqu'au dernier, les rats des caves...

Un groupement de personne s'était attroupé devant l'auberge, sur le tableau d'affichage, le vieillard, habillé de son manteau de voyage ne pris même pas le temps de lire...

C'est donc qu'ils se sont décidés à intervenir...

Ne pas se faire remarquer, Meriadec était dans un pétrin, une purge racial? Une guerre? Encore? dans le groupe, Meriadec remarqua une tache magique, un Nalami se trouvait là, genre de rien, pensait-il qu'il resterait longtemps comme cela? Bientôt, les mages vérifieraient chacun des habitants de la grande citadelle de Ra'sibe... De plus, du sang Frynfrig coulait dans ses veines... Le Lëanoz mit son capuchon et retourna l'individu par l'épaule et, l'entraîna dans la ruelle la plus discrète et la plus proche, il lui plaqua la main sur la bouche et le cacha avec lui derrière un tonneau... Une escouade de gardes de la citadelle, accompagné d'une femme en capuchon passèrent sans prêter attention à la ruelle, quand il eurent disparut, Clun enleva sa main et mit son doigt devant sa propre bouche pour commander le silence:


Le Nalami était jeune... Savait-il se battre? Il semblait bien insoucieux... Le Lëanoz se leva et remit son capuchon qui était tombé, il dit simplement au jeune garçon "Suis-moi." et commença à se diriger vers la Médina(quartier d'habitation entre castré dans un cercle de petits commerces, dont les rues sont étroites, hautes, nombreuses et ressemble à un labyrinthe) de Ra'sibe, comptant passer par la porte de celle ci, la moins surveillé, avec de la chance, il n'y aurait pas mage.

Spoiler:

[ hrp : pas de souci, fais juste attention à ne pas aller trop vite dans tes actions ^^ ]


Basil n'avait pas eu le temps de recevoir des réponses qu'un vieillard à forte poigne le traînait au dehors, le cachant dans une ruelle et l'empêchant de parler, le temps qu'une patrouille passe. Surpris, il n'eut pas le réflexe de sortir son épée, et lorsqu'il y pensa, le vieil homme lui parla, lui conseillant de ne pas rester ici car tous les nalamis allaient être traqués...
Comment pouvait-il savoir ? Basil avait la parfaite apparence d'un humain, il prenait grand soin à cacher sa véritable nature, et n'en avait parlé à personne... Le vieillard lui commanda de le suivre, mais le jeune forgeron ne bougea pas d'un pouce. Il lui répondit, d'une voix mal assurée :

Vous devez faire erreur... Me... me confondre avec quelqu'un d'autre... Je ne suis pas... Qui êtes vous ?

Meriadec se retourna, le jeuno venait de parler géné, il réussit à sortir quelque sons:

-Vous devez faire erreur... Me... me confondre avec quelqu'un d'autre... Je ne suis pas... Qui êtes vous ?

Le magicien s'approcha, le regarda furtivement, analysant ses gestes et sa posture, puis il répondit:

"Il suffit d'un peu de magie pour deviner la race de quelqu'un, et je ne suis pas un magicien de pacotille... Suis moi."

Il re fit demi tour et commença à marcher, tout en parlant:

"Quel est ton nom?"

[J'ai pas grand chose à dire... ]

Le Lëanoz se pinça l'entre yeux, d'un air fatigué. le Nalami s'était dressé de toute sa taille, il dépassait la forme actuelle du vieillard, et, le défiant du regard, dit, déterminé:

-Je ne vais pas suivre un homme qui m'enlève au milieu d'une auberge alors que je n'ai rien demandé à personne. Je ne vous connais pas, vous ne me connaissez pas, je n'ai rien à faire avec vous.

Il était con ou bien? il tenait tant que ça à mourir ou était-il débile au point de ne pas comprendre la situation? Meriadec avait tout à coup envie de lui foutre quatre baffe et de se barrer, l'abandonnant à son sort, mais, revenant sur des idées plus "saines", il répondit:


Oui, c'était un peu foutage de gueule, mais ce blanc bec poussait le bouchon vraiment vraiment très loin. Il y a des bornes aux limites tout de même! Et pour ce qui était de sa taille, s'il voulait jouer aux coq, il allait être servi, accélérant un peu sa métamorphose, le corps de Meriadec grandit, pour dépasser, d'assez peu, celui du Nalami.

[ hrp : tu peux changer de couleur steplê ? ça pique les yeux ^^ ]


Basil observait le vieillard, et plus il le regardait, plus son visage redevenait doux, hésitant, inquiet. Il perdait peu à peu de sa résolution, d'autant plus lorsque le vieil homme parut grandir tout à coup, le dépassant de quelques centimètres. Lorsqu'il lui répondit, ce fut à voix basse, presque un murmure :

Non... Je, je me suis construit une vie ici... Je n'ai pas... pas envie de tout perdre maintenant... Vous, vous êtes le premier à... à deviner... Si je reste... dans mon travail d'humain... en tant qu'humain... y'a pas de raison...
Mais vous êtes qui à la fin ?

Le Lëaoz regarda le nalami avec un air réconfortant, un peu rassurant mais un peu colérique aussi, il ne pouvait rien faire pour le forgerons, il ne pouvait qu'espérer qu'il survivrait, mais autant le dire comme il en était, ça le faisait chier de laisser le jeune homme dans la cité alors que celle ci pourrait bien être on tombeau, il lui dit après sa dernière phrase:


Il regarda le soleil puis il entendit du bruit, des gardes interrogeaient la foule quelque peu voilement: "Le cerf blanc, avez vous vu le cerf blanc?!!" Voila que l'empereur le cherchait encore, pour lui demander d'ensorcelé tous les Nalamis ou bien pour le tuer pour de bon? Meriadec n'avait pas trop envie de savoir, il murmura "Adieu" au jeune forgeron et s'éclipsa vers la Medina...


(Post tout pourri mais je clos la présence de mon perso.)

[ hrp : pas de sushi, c'est difficile de faire autrement en même temps ^^' ]

Basil regarda le vieillard partir, se demandant ce qu'il venait de se passer. Qui était donc cet homme qui avait proposé de l'aider, allant jusqu'à vouloir l'emmener sur un autre territoire ? Il n'eut cependant pas le temps d'y réfléchir beaucoup, de peur que les gardes arrivent, il s'empressa de partir dans une autre direction.