Nom: Lemon Lewis Andersen

Prénom: James-Peter

Âge: 24 ans

Race: Nalami

Classe (art): Barde, Calligraphe

Métier: Barde

Alignement: Neutre

Dieu vénéré: Crépuscule

Description physique: James-Peter aime à allier dandysme et sobriété, son éducation accomplie avec fermeté et rectitude n’admettrait le moindre relâchement qui soit. Lorsqu’il est sous sa forme animale comme humaine, James aime à porter des vestes de soie qui , cousues généralement à la main par des ouvriers humains (si on en croit la légende nalamie extrêmement démentie par les historiens actuels) donne une grande aisance aux gestes et mouvements. Sur sa forme humaine, de longs cheveux blonds attachés dans son dos viennent reflétés avec ses mirettes bleues azure, tourbillon de pureté. Son monocle relié à son veston vient souvent trouver la place de son œil, ami dont la légèreté vient avec dévouement aider un œil qui faute d’être fatigué, réclame de se donner un certain genre. Fumeur assidu de la pipe, il ne saura s’en séparer que dans de rares occasions, cet allier a, lui, valeur de soutien élégant pour les longues réflexions de James, penseur à ses heures perdues. Bref je ne vois pas de moyen de faire meilleur jugement, vous l’aurez compris, James est un lapin…

Histoire:

Toute vie a un départ, tout moment n’est que tourbillon sans fin à la recherche d’un être lointain… la recherche de soit. Par delà les mers et les océans, cette histoire est universelle, cette histoire est la votre… sauf si vous n’êtes pas un lapin albinos, car James lui en était un.
Un lapin oui… Mais quel lapin ? Eh bien il s’agit là, de loin et irrévocablement, de toute l’agitation de l’esprit perturbé de celui qui, en apparence n’est que calme, sagesse et pureté. Oui vous l’aurez compris une fois encore, James est un lapin roux, dit « albinos » pour des familles de lapins blancs. Donc fils de lapin ivoire, ses parents furent fort étonnés de découvrir un être albinos de la couleur dite de « l’ombre » dans la religion lapine. Un lapin apprends très jeune les comptes et légendes qui forgeront plus tard son caractère... Mais remettons les choses dans leur contexte, James ne descend pas de n’importe quelle race de lapin blanc, il descend des « Pythons ». Ces derniers ont la grande particularité d’être une guilde indépendante de lapins nalamis, en effet les Pythons ont leurs propres croyances, et leurs propres activités. Ils auraient étés choisis par le dieu lapin suprême « Eïdan Slick » il y a de cela des milliers d’années, pour assurer avec force et bravoure la défense de grottes protégés contenant parmi les plus convoités des reliques nalamis.

Si un lapin vous semble ne pas être « l’homme » (si l’on peu dire ainsi) de la situation pour accomplir avec brio une telle tâche, c’est que vous n’avez rien compris à ce qu’est un vrai lapin Python. Munis dés la naissances de crocs acérés en guise de dents, ces lapins sont capables de bons immenses aussi rapides qu'un vol d‘oiseau, capables alors de sauter à la gorge d’un intrus pour le décapiter à une vitesse de 1tête/seconde. Vous l’aurez compris, ce sont des guerriers dans l’âme.

Mais c’est alors que dans cette vie heureuse, ce havre de paix faits d’os, de sang et de corps démembrés, naquit le jeune James-Peter Lemon Lewis Andersen, fils de Jacques et Mathilde du même nom. Comme la réponse sanglante à l’innocence des lapins blancs, James était roux, seules quelques traces blanches naissaient entre ses poils de la couleur du mal. Mathilde fut décapité en place publique, accusé d’avoir trompé Jacques avec un lapin du démon… Pendant ce temps là, le jeune veuf chargeait déjà ses esclaves (la hiérarchie lapine n’est pas très égalitaire) de porter James vers d’autres cieux. Tel l’enfant refusé des écrits sacrés, il fut déposé dans un panier d’osier et laissé emporté par le courant…



Ferdinand Lajachère n’était qu’un pauvre serf, paysan accablé par tonnes et tonnes de travaux, il ne savait faire autrement que de forcer sa pauvre femme à travailler sans relâche, elle qui ne pouvait avoir d’enfant, pour aider à la tâche et satisfaire les objectifs économiques, forts peux sociaux, de Lord Richard De Laguardière. En effet ce dernier se voulait à être riche, fortuné, recouvert d’or jusqu’à ne plus pouvoir que tenter une nage désespéré. Il exploitait donc ses serf, qui dans les champs qui bandaient son château, selon ses dires, « s’aimaient à pratiquer un travail manuel en famille qui leur permettait, chaque matin avec joie et bonne humeur de profiter à l’extérieur d’une nature majestueuse ». Ferdinand donc, découvrit avec grande surprise sur la rive du ruisseau prêt de son champs, un panier d’osier, à l’intérieur il y trouvât James, pauvre lapin abandonné avec comme seul identité son nom marqué sur un parchemin. Ce fut un véritable bonheur pour le paysan, qui commença à nourrir avec amour le pauvre animal.

Les années passèrent, deux ans plus exactement, et le lapin n’avait rien fait d’autre que grossir et manger, un avenir s’annonçait heureux pour Ferdinand et sa femme, mais le destin s’en voulut autrement. Lord Richard n’était point fière des rendus du paysan, il décida d’aller lui-même suivit de dix gardes pour saccager la maison du serf dans le but de le réveiller un peu dans sa production, ce qu’il fit, mais il découvrit James, et se prit dés le premier regard d’affection pour l’animal. Il l’emporta aussitôt à son château.

James-Peter grandit dans le luxe et le raffinement, il eut une éducation digne du rang de son « père adoptif » qui le nourrissait comme un fils, depuis qu’il avait découvert que l’être n’était pas un animal. Par instinct le lapin python apprit à se transformer en homme, et ce fut le début d’une longue histoire, celle d’un érudit. Passionné pour la littérature et les sciences, James ne savait quitter la bibliothèque du château, il s’y attardait des heures et des heures dans des bouquins de rhétorique qu’il s’amusait à apprendre par cœur. Puis il descendait d’un pas habitué dans la forêt qui bordait les lieux pour s’y amuser à nommer les arbres et branches. Il fut instruit avec noblesse, et on lui apprit également l’escrime, l’équitation, et bon nombres d’autres activités chic, d’ailleurs très vite il pratiqua (assez paradoxalement) la chasse. Mais James n’aimait pas la guerre, bien qu’il savourait facilement le plaisir de se battre avec une fine dague qu’il s’amusait à dissimuler contre sa ceinture au niveau de son dos, et donc caché par sa veste, il préférait à cela une bonne réflexion ou encore joué du violon comme il avait apprit à le faire depuis son plus jeune âge.

Bien assez tôt, il se passionna également pour l’art des échecs, la réflexion intense demandé, n’était pour lui que jouissance, il s’amusait alors à complexifier toute situation qui soit, pour lui trouver un ensemble de donnés lui permettant à chaque fois, s’il maniait les éléments en main avec justesse, d’en sortir gagnant. Mais tristement, la vie de château commençait, à la veille son vingt-quatrième anniversaire, à ne le laisser que lasse, chaque jour il rêvait de lointains voyages exotiques comme dans les livres d’aventures qu’il dévorait. Ce fut ainsi que James-Peter, « comme un vol de gerfaut hors du charnier natal » quitta le cocon protecteur du domicile familial, à cheval, il s’élançait vers l’inconnu, vers le danger, vers vous mes amis…

Description mentale: Pourtant encore bien jeune, James a le sentiment de connaître déjà une sorte de sagesse d’esprit. Il aime se poser sur l’herbe scintillante les doux jours où le soleil ardent taillade le sol de ses rayons, se laissant aller bien facilement à une douce réflexion, la pipe à la bouche. Il aime que tout puisse être porter, avec logique, sens et créativité, à une analyse poussée, c’est sa volonté certaine de trouver réponse à tout. C’est ainsi qu’il parcourt le monde, ne sachant que fort mal manier l’art du combat, il compte avec douceur le délaisser au loin pour celui de la pensée éternelle, la connaissance qui domine sur l’ignorance… Il lui arrive donc parfois d’être quelque peu ronchons, imbus de lui-même, et très fière de ses origines (malgré qu’il fut renié de sa race).

Pouvoirs et armes: Son seul pouvoir est l’esprit, sa seule arme est une dague fine qu’il cache sous sa veste au niveau de son dos, appuyé contre sa ceinture.

HORS JEU

Découverte du monde par: Okay j’avoues c’est peut-être surement un DC
Preuve de lecture des trois premières tablettes:[Validé par Grenaak](personne a pensé a le valider avant ?Oo)
Des améliorations à proposer: Non

Des lapins de l'ombre aux crocs acérés...
Moi qui croyait avoir tout vu o_o
Par contre, décapité en 1 seconde avec ses croc là c'est p'tre de l'exagération non? xD
Par contre heu... bien.. j'suis tellement perturbée que je vais attendre l'avis des autres xD
Sinon j'ai rien trouver qui pourrait réellement empêcher quoique ce soit

J'me permet de m’incruster et devancer James pour te dire que, le coup des 1têtes secondes, c'est juste une caractéristique des lapins de sa race xD

Mais lui n'a pas cette capacité ^^ (encore heureux !)

xD Tes lapins me font penser à un film que j'ai déjà vu!

Bienvenue sur le forum en passant.

Oui lapin blanc + python = cliquez ici xD

Merci lor, oui ele en effet, ma race a cette capacité mais considère mais perso comme une espèce d'handicapé, il est roux et donc différent des siens, de plus ayant été largué dès sa naissance il serait dure de penser qu'il ai put apprendre cette capacité ^^

XD +1 Miguel je cherchais le lien pour le rajouter XD

Disons qu'autre ref, pendant un instant en lisant ce truc j'ai eu une vieille vision de lapins à la monty python en mode piranhas... résultat un gros fou rire pour le coup x)
(d'ailleurs au passage, entendre rugir un lapin, c'est pareil c'est... space)

Ton perso... on dirait un beau mélange de monty python vs disque monde, c'est ... wah Oo

haha ouai je me suis beaucoup inspiré du disque monde aussi ^^ j'ai toujours voulu faire un perso à la Rincevent, mais comment faire un Rincevent sans en faire un ??? xD

(je n'ai lu que la huitième couleur personnellement, mais disons que ça m'a marqué x) )

XD ouais bah ça se sent la vache XD
Si ça fait un peu Tim Burton aussi dans le concept de sa famille par rapport au perso ('Kairn vient de me le souffler)
Enfin j'pensais pas le dire un jour (j'suis chiante niveaux concepts qui me branchent ^^"), mais pour le coup j'suis fan du concept xDD

Ps : un disque monde que je te conseille plus que tous les autres, si tu veux pas te lire toute la série : Mortimer

Ok merci du conseil... oui j'ai beaucoup aimé le 1er mais j'aime comme était découragé par les 40 autres qui m'attendaient x)

[wow ma fiche est bourré de faute d'orthographe c'st à se tirer dessus ^^]

Oh je l'avais jamais vu cette séquence.
Je connaissais que les chevaliers qui font Niii! XD

Oui c'est pour ça que je te parle surtout de Mortimer qui est un peu centré sur le personnage que tous les lecteurs de Terry Pratchett que je connais préfèrent ^^
Après en ayant lu un bon paquet j'aurais tendance à dire que les 8 premiers sont très bons, mais après, comme toute série, ça s'essouffle^^"
bref j'arrête là le HS XD

Encore quelques petites choses font obstacles à ma validation ?

et bien je crois qu'il n'y a rien a modifier, éventuellement mettre un avatar, et puis tu pourras harceler les admins pour te faire passer xD

Il a déjà un avatar xD
Je te valide.

Merci :p

aaah, un fidèle. j'espère que tu penses pas trop croiser ton dieu, il a tendance à... ne pas répondre XD

et, ahhh, Mortimer, le disciple de la Mort.

"Oui 'Il', car la Mort est masculin, mais nous n'allons pas encore en discuter."

ça te donne un ordre d'idée de pourquoi je préfère ce bouquin à tous les autres.

Pire encore.... je joue au disquemonde O_o

J'ai déjà fait un moine de l'Histoire, qui voyage dans le temps parce que l'Histoire lui demande de régler des trucs (oui, le second degré n'existe pas dans le disquemonde).

maintenant je fais un voleur qu'a tellement envie de ne pas être vu qu'il devient invisible.... j'aiiiime ^^

ceci explique cela, Crépuscule a une petite tendance disquemondienne

Rebienvenue en retard, Mig', bienvenue chez les nalamis, tu as incarne là une... terrifiante créature