Raendaär Sølan Illusionniste
Parchemin d'identité Race: Lëanoz* Age du personnage: 490 Haut-faits/Connaissances:
| Sujet: re-présentation Dim 23 Oct - 17:04 | |
| PERSONNAGE:
- NOM: Raendaär
- Prénom:Sølan
- Âge: 490
- Race: Lëanoz: Faucon / originaire de Nord-Ouest (la vie et les arts)
- Classe(Art): Illusionniste et invocateur. Il utilise l'alchimie (voir métier) pour invoquer des monstres.
- Métier: Érudit, les dieux attendent ma mort pour enfin se délecter de mon savoir. La magie n'est pas qu'un futile instrument de combat, elle est une science profonde qui dépasse totalement ceux qui s'y aventurent. Je cherche la sagesse, je cherche la connaissance du visible comme de l'invisible, un Érudit est à la fois un Alchimiste, un artificier, un chercheur et un philosophe. Les érudits vivent avec peu, vendent leurs créations, leurs potions et leurs élixirs.
- Alignement: (Lumière/Neutre/Ombre?) Neutre-Lumière
- Dieu vénéré: Les Dieux sont fourbes, certains le montrent, d'autres le cachent mais tous nous voient comme un alchimiste voit ses créations. Croire en eux ne fait que leur donner l'impression de plus de pouvoir.
- Description physique:(Pas de "voir avatar" SVP/3lignes recommandées)
Il a quatre principales apparences:
- Un enfant de 13 ans, les yeux brillants aux reflets divers, cheveux châtains mal coiffés et coupés de façon hâtive. La peau claire, environ 1m50, un peu plus. Assez mince.
- Un jeune adulte de 22 ans, comme les autres "stades" il a des yeux avec des reflets marrons, verts. Ses cheveux sont châtains et qui lui tombent presque aux épaules. Il a une petite barbe sur le bout du menton.
- Un adulte de 30 à 40 ans, c'est sa forme la plus fréquente. Cheveux courts, chatains et bien coiffés, une fine barbe, les traits du visages durs et froids. Il est assez grand, moyennement musclé mais à l'apparence solide et ferme.
- De 50 ans à 70 ans: Cheveux plus ou moins blancs (en fonction de l'age), visage bien taillé, un peu moins musclé, toujours aussi solide, bien droit.
Raendaär est toujours très bien habillé avec des vêtements de bonne qualité. Il a souvent un bâton solide qu'il taille avec un couteau.
- Histoire personnelle:(8lignes recommandées)
-Mon fils... Je suis désolé... L'enfant cria, le flash lumineux fit disparaître toute image de sa vue. L'épaisse lumière blanche s'infiltra dans son esprit, son cri se perdit dans un brouillard sonore, plus rien, le blanc s'assombrit jusqu'à devenir un vide noir. Il avait 13 ans lorsqu'il perdit la mémoire.
Ra'Sibe -Académie de magie Il faisait nuit, une chouette hululait au loin, l'Erudit nommé Adaön Raendaär avait 50ans lorsqu'il sortit par la grande porte de l'académie, s'appuyant sur son bâton d'olivier tortueux, il baissa les yeux, un enfant de 13 ans dormait adossé au mur de pierre. L'érudit s'accroupit, posa sa main sur son épaule et tenta de le réveiller. L'enfant était désespérément inanimé, un vent glacial se mit à souffler, la chouette qui hululait venait de plonger en piqué vers un mulot, le tuant sur le coup et l'emmenant dans les airs. C'était un signe, les prédateurs rôdaient. L'érudit prit l'enfant et rentra dans l'académie. Après l'avoir réveillé à l'aide d'une potion assez simple, il lui demanda qui il était, ce qui s'était passé, mais il l'enfant semblait avoir perdu tout souvenir sur son identité, sa vie.
Après maints efforts, maintes recherches et maintes tentatives, l'érudit conclut que l'enfant avait été victime d'un sortilège irréparable. L'érudit décida alors de prendre en charge l'enfant qu'il nomma Sølan, il lui enseigna les sciences principales des érudits, essentiellement l'alchimie et la philosophie, mêlant savoir et sagesse. En parallèle, il lui enseignait les bases de la magie. À 14ans, ses talents magiques se précisèrent et il se concentra sur les illusions et les invocations.
À l'age de 18 ans, il était devenu un des meilleurs apprentis de son age. Mais il était loin du niveau d'Adaön. Un jour, tandis qu'il cherchait son tuteur, il pénétra dans son bureau qui, à ce moment, était désert. Il jeta un coup d'oeil aux travaux de son maître alchimiste et tomba sur un livre fermé, sur la couverture était écrit "Enseignement supérieur et pensées approfondies". Il l'ouvrit et lut une page au hasard:
- Spoiler:
Par Hermès Trismégiste. Voici ce qu'est la table d'Emeraude dont le symbole est Qui en alchimie s'écrit: ºŦăβulă Æmŗălđ
Il est vrai, sans mensonge, certain et très véritable : Ce qui est en bas est comme ce qui est en haut et ce qui est en haut est comme ce qui est en bas; par ces choses se font les miracles d'une seule chose. Et comme toutes les choses sont et proviennent d'UN, par la méditation d'UN, ainsi toutes les choses sont nées de cette chose unique par adaptation.
Le Soleil en est le père, la Lune la mère. Le vent l'a porté dans son ventre. La terre est sa nourrice et son réceptacle. Le Père de tout, le Thélème du monde universel est ici. Sa force ou puissance reste entière si elle est convertie en terre. Tu sépareras la terre du feu, le subtil de l'épais, doucement, avec grande industrie. Il monte de la terre et descend du ciel et reçoit la force des choses supérieures et des choses inférieures. Tu auras par ce moyen la gloire du monde et toute l'obscurité s'emparera de toi.
C'est la force, forte de toute force, car elle vaincra toute chose subtile et pénètrera toute chose solide. Ainsi, le monde a été créé. De cela sortiront d'admirables adaptations, desquelles le moyen est ici donné. C'est pourquoi j'ai été appelé Hermès Trismégiste, ayant les trois parties de la philosophie universelle. Ce que j'ai dit de l'Oeuvre Solaire est complet.
L'oeuvre de Trismégiste démontre que tout est écrit sur la table d’Émeraude. En une phrase, la table d'émeraude prouve tout ce qui est, tout ce qui existe est écrit dans cette phrase. Si un érudit comprend les tables d'émeraudes, c'est qu'il a atteint le centre du monde, qu'il en a vu tous les mécanisme.
La table d’émeraude est le but des alchimistes, c'est leur horizon, insaisissable mais si attirant. Personne ne sait combien d'alchimistes sont parvenus à atteindre cette table à la prose infinie, si un jour un alchimiste découvre le grande secret et comprend cette phrase, il ne le dira à personne, il lui est absolument impossible de dévoiler quoi-que ce soit au sujet des tables d'émeraude.
Il tourna encore plusieurs pages, feuilletant le vieil ouvrage. En lisant divers paragraphes, il comprit que c'était sa vocation. L'alchimie, les symboles, le mélange de magie et de science. 20 ans plus tard, Raendaär était devenu un érudit de seconde classe, à 38 ans. Il n'était plus un apprenti mais un érudit cherchant à devenir maître. Aidé par Adaön qui avait maintenant 75 ans, il était devenu un bon illusionniste, suffisamment pour en arrêter les études et pour se concentrer sur la philosophie, l'alchimie et ses invocations. 8 ans plus tard, il était devenu excellent dans le domaine des invocations et acheva ses études d'invocateur. Son maître était fier de lui mais vieillissait, mais il semblait résister à l'age, comme s'il tentait d'arriver au bout de son histoire. Et la vie semblait vouloir lui accorder ce privilège. C'est treize ans plus tard que Raendaär devint un maître érudit.
Il faisait nuit, Raendaär avait 59 ans, Adaön en avait 96, cela faisait exactement 46 ans qu'ils se connaissaient. Le maître était étendu sur le lit, faible, les yeux plissés.
-Sølan Raendaär... Tu es maintenant un maître... J'ai fini la noble tâche qui m'a été confiée. J'ai promis au grand tout que le jour où j'aurais fini ma vie, le jour où mon savoir ne sera plus jamais perdu, j'aurai la sagesse d'arrêter le voyage, de laisser mon successeur vivre sans moi. Je suis prêt à tenir ma promesse, je ne serais plus Adaön, je deviendrai ce qui est écrit pour moi. Je rejoindrai le Grand Oeuvre. J'atteindrai le stade de la perfection alchimique. Mais pour atteindre ce stade, je dois boire le poison des sages, le Đēřŋēġ Ægŗơmðŋ.
Le vieil érudit lui tendit un vieux parchemin, dessus, une suite de 3 symboles étaient mis en valeur: Ωφ♋. Les études de Raendaär lui permettaient de comprendre ces symboles, le premier étant "Omega" la dernière lettre de l'alphabet alchimique signifiait "la fin" ou "le dernier", le deuxième était le symbole de la mort, de l'ange noir, de la faucheuse. Le dernier se nommait "l'âme de l'alchimiste", il signifiait la sagesse, le savoir. Ces trois symboles représentaient ce poison nommé "Dernier Aigremoine" qui permettait une mort semblable à un sommeil, ce poison guidait les âmes vers leur destination finale, la plus grande capacité de cet elixir mortel est qu'il protège l'âme après la mort, promettant une après vie digne aux sages et aux érudits. Rare, très délicat à préparer, ce poison est peu connu.
-Tu trouveras tous les ingrédients dans ma réserve...
Sølan prépara l'elixir avec grand soin, si une seule étape était manquée, le poison amenait à une mort de déchu, le genre de mort que les nécromanciens prennent plaisir à exploiter. Il fallut deux mois de préparation, Adaön faiblissait de jour en jour, il souffrait terriblement mais ne risquait pas de mourir, l'ange de la mort l'avait laissé en vie lorsque son heure était venu à condition qu'il se charge lui même de quitter le monde lorsqu'il le faudra. Or, il ne faut pas mentir à l'ange noir. Le jour où l'elixir fût prêt, Sølan s'assit sur le lit de son tuteur, la coupole de verre finement ouvragé entre les mains. Elle était remplie d'un liquide couleur or, mêlé d'un long filament liquide noir qui refusait de se mêler au reste de l'elixir comme s'il contenait deux éléments radicalement opposés. Une lame coulait sur la joue de Sølan.
-Attends mon fils... Je ne dois pas mourir ici !
Ils partirent, sortirent de la ville en carriole tirée par des chevaux. Allant vers l'endroit indiqué par Adaön. Arrivant 1 an plus tard au sommet d'une grande colline, au bord des grandes chaînes de montagnes des dragons, à la limite de la forêt. Ils descendirent tant bien que mal, Adaön s'allongea dans l'herbe. Sølan se mit à genoux à ses côtés, penché au dessus de lui. Le visage de son maître s'illumina d'un sourire, il semblait regarder au loin. Sølan se retourna pour essayer de voir ce qui faisait sourire le vieil érudit mais le soleil l'éblouissait.
-Mon fils, je dois le boire...
Sølan sortit la fiole de son sac et dévissa le petit bouchon d'argent. Il approcha la fiole des lèvres d'Adaön, un goutte glissa, atterrit sur la langue de l'ancien.
-Adieu maître... Merci...
Une deuxième goutte tomba, suivie de près par une troisième et une quatrième. Adaön avait fermé les yeux. Sølan glissa sur le côté, resta là plusieurs heures, les yeux clos. Lorsqu'il les rouvrit, son maître n'était plus là. Il se sentait jeune, incontrôlable, il regarda ses mains, plus aucune ride même pas une seule discrète, il semblait avoir 20 ans, il tâta son visage, cheveux mi-longs, peau jeune et musclée. La réponse lui vint comme un murmure "Tu es un lëanoz". C'était une race légendaire, rares étaient ceux qui y croyaient. Cette nouvelle ne sembla pas lui inspirer d'emotion. Sølan se releva lorsqu'une lueur attira son attention, au loin, en contrebas, une créature l'observait. Sølan, dont la colère envers le monde était insoutenable car refoulée jusque là, s’écria, imaginant que ses propos resteraient incompris:
-Hey ! Qu'est-ce que tu regardes toi là bas espèce de sale bête insignifiante !
Un vent glacial se leva, la créature était maintenant à quelques mètres. C'était une femelle sphinx, un corps de lionne, elle avait un visage de femme, et deux grandes ailes sur le dos, il devait mesurer près de 2 mètres. Le visage dur de la bête sembla remuer légèrement.
-Θβīīŧ Đĭę
C'était la langue alchimique. Cela signifiait "mort à ce jour", exprimé avec une syntaxe, une prononciation et un naturel exceptionnel. Sølan fut empli d'un profond respect. Il voulut s'excuser mais aucun son ne parvint à sortir de sa bouche.
-Tu m'as l'air bien jeune et insignifiant humain ! Tu es misérable et ridicule, prétentieux comme les autres, aussi bête qu'eux. Les humains comme toi sont incapables d’émettre des pensées plus développées que celles d'un embryon. Comment oses tu m'adresser la parole ainsi !
Cette fois la sphinx s'était exprimé en langue normale, mais il avait un léger accent étrange. La créature fit un mouvement rapide donnant un grand coup de patte dans la joue de Raendaär qui gémit. Un deuxième coup arriva de l'autre côté, le blessant à l'épaule. Un dernier vint arracher une partie de sa veste qui se déchira mêlée au sang.
-Vous m'entendez encore, donc je ne suis pas mort. Quand enfin je me tais, j'attends qu'on me rappelle. Si tu te trompes je t'achève, si tu trouves je t'en pose un autre qui te permettra de fuir.
C'était une énigme, rien de moins surprenant venant d'une sphinx en colère. Raendaär se força à réflechir malgré la douleur lancinante. "Vous m'entendez encore donc je ne suis pas mort", un discours, le chant ? "Quand enfin je me tais, j'attends qu'on me rappelle". Les nombreuses années de philosophie, méditation et d’énigmes auprès de son maître remontèrent à la surface et, après quelques secondes, Raendaär répondit:
-ł'ĒҜhœ; Cela signifiait "L'Echo". La sphinx parut surprise.
-Tu n'es pas ce dont tu as l'air. Comment se fait il que tu parles la langue alchimique ? Vivant sans souffle, Froid comme la mort, Jamais assoiffé, toujours buvant, En cotte de mailles, jamais cliquetant. Si tu trouves, je te guéris, si tu te trompes, je m'en vais et te laisse seul.
Sølan réfléchit, longuement. La rencontre avec la sphinx avait évacué toute sa colère et à présent il se rendait réellement compte qu'il était un lëanoz.
-La réponse est: ºĿ Πỡşşǖŋ.
Ce qui signifiait "Le poisson". La sphinx inclina la tête sur le côté, elle avait un grand sourire. Raendaär se concentra et, sans difficulté, il parvint à reprendre son age normal c'est à dire 60ans, il annonça:
-Je parle la langue alchimique en effet, je suis un érudit, à présent maître mais auparavant élève du défunt Adaön.; Il respirait difficilement, le sang coulait. -Successeur d'Adaön ? Vous êtes l'héritier de son savoir ?;La sphinx sembla regretter profondément ses actes elle s'inclina.; Adaön était grand et sage, c'était le seul humain ayant une sagesse égale à celle des sphinx. Jamais je n'aurai dû vous attaquer ! Je vous demande pardon ! J'ai une dette envers vous et envers mon vieil ami.
La sphinx ferma les yeux, Raendaär sentit ses blessures se réparer étonnamment bien. En effet, c'était une des capacités des sphinx, ils pouvaient guerir les blessures qu'ils infligeaient. Sølan n'avait plus mal.
-Vous êtes excusée, si mon maître avait confiance en vous, alors j'ai moi aussi confiance. Comment avez vous connu Adaön ? -C'était il y a longtemps, il avait 30 ans, j'étais dans les montagnes, là bas, au loin; il désigna le mont dyff d'un mouvement de tête; je me suis malencontreusement retrouvée près d'un nid de dragon et la femelle à mal réagi. elle m'a attaquée, je suis une sphinx, je ne fais pas le poids face à un dragon, je ne pouvais pas fuir et même en me métamorphosant, elle aurait pu utiliser son souffle. Adaön avait entrepris le voyage jusqu'au sommet de ces montagnes et est passé près de moi et la dragonne. Il m'est tout de suite venu en aide en invoquant ses créatures. Ses invocations avaient fait diversion et on avait pu fuir. Il m'avait expliqué qu'il était fasciné par les sphinx, que nous étions les idoles des érudits. Nous avons passé 3 ans ensembles mais un jour, il a été arrêté par les humains pour des raisons qui me sont inconnues. J'ai longtemps attendu mais je ne l'ai plus jamais revu, je ne sais pas quand il a été libéré.
Ils continuèrent à discuter ainsi, faisant oublier la tristesse et tissant des liens d'amitié entre la sphinx et le lëanoz. La sphinx utilisa le prétexte qu'il avait une dette envers lui pour accompagner Raendaär mais en réalité, ils étaient réellement devenus amis. 430 ans plus tard, la sphinx était à Raendaär ce qu'une dragonne était à son dragonnier. Tous deux vivaient du commerce de divers elixirs, potions et même poisons. Il avait aussi hérité d'une très grosse somme d'argent d'Adaön.
- Description mentale:(3lignes recommandées) Savoir, c'est la base de la civilisation, les dieux ont crée le monde mais nous avons découvert le savoir contre leur gré, pour eux nous étions comme toutes leurs autres créations jusqu'au jour où nous avons eu le savoir. Mais une fois que les civilisations sont bâties, le savoir devient moins indispensable et disparaît dans les profondeurs des peuples. Les Érudits ont compris que ce savoir doit être conservé, attisé. Nous sommes peu nombreux à connaître les secrets de l'alchimie, à maîtriser tout ce savoir ésotérique. L'alchimie c'est amener la perfection spirituelle sur le plan matériel.
Conception du monde: Dans la vie, tout est signe. L'Univers est fait en une langue que tout le monde peut entendre, mais que l'on a oubliée. Nous les érudits avons retrouvé ce Language Universel, celui que les signes du monde nous apprennent. C'est là le principe de toute chose. Ce qu'on appelle chez les érudits L'Ame du Monde, c'est ce qui à tout crée, tout compris, tout imaginé. Les dieux ne sont que des invités, des créations plus anciennes que les autres. Le Grand Oeuvre est le livre sur lequel tout est écrit, ce qui est passé, ce qui est en train de se passer et ce qui, un jour se passera, c'est l'histoire du monde, écrite d'une main unique, d'une pensée unique, elle raconte chaque chose, chaque idée du début jusqu'à la fin du monde mais le futur n'est qu'un brouillon qui est fait pour être changé.
Autres: Pour arriver jusqu’à ta légende personnelle, tu devras être attentif aux signes. Le monde à écrit le chemin que chacun d'entre nous doit suivre. C'est ce que les érudits nomment le Grand Oeuvre. C'est ce qui prouve que tout à été écrit par une seule main, le Grand Oeuvre est la force qui dirige les signes, les pensées et les rencontres. Ton passé et ton présent y sont gravés mais ton futur n'y est qu'un crayonné que l'on peut effacer, remplacer et modifier. Tu n'as qu'a lire ce qui est écrit pour ton avenir avant qu'il ne change.
Son objectif est d'en apprendre plus sur son enfance, et sur la somme d'argent que son maître lui à légué. Il apprécie les livres et connaît bien les langues.
- Pouvoirs et armes: (3 maximum au total, au choix, aucun pouvoir ou arme prédéfinis, faites travailler votre imagination... en évitant d'avoir des pouvoirs ou armes surpuissants.):
- Illusions: peut se manifester de deux façons, la première crée une illusion intégrée dans l'environnement, elle est visible par tout le monde, quasi-indétectable. La deuxième ne peut toucher que deux ou trois personnes à la fois, l’illusionniste plonge les sujets dans une sorte de rêve hyper-réaliste, les sujets ne se rendent pas compte que c'est un rêve (sauf avec des pouvoirs de psychomancie) mais sont parfaitement conscients de leurs actions, ils agissent par eux mêmes dans le rêve. Ne peut pas durer très longtemps. (les illusions ne causent pas de dommages physiques)
- Invocations
- Le Colosse:
ºĿ Cðłõşşǖš de symbole ♅♋ Le premier symbole est la force brute, la puissance physique et la solidité tandis que le deuxième symbole signifie, dans ce cas précis, harmonie et précision. Le colosse est le magistère d'opposition, c'est à dire qu'il est constitué de deux choses contraires. Dans le cas présent, c'est la force brute animée par l'harmonie. Le colosse est puissant, solide, dévastateur et résistant. Son point faible est sa lenteur, ses réflexes sont mauvais et ses déplacements sont lents, bruyants et pesants. Le colosse est animé par une magie profonde et raffinée, il existe un moyen simple de le paralyser, il faut détruire chacune des orbes qu'il a sur le corps. (aux avants bras, aux épaules, au cœur et en haut du dos) Le colosse n'est pas une brute, il est puissant mais calme et serein.
- Suthir Æbenth:
Şůŧħĩř ÆβĕŋŧħCréature des Dieux de l'ancien temps. C'est un serviteur des Dieux qui vivaient avant la nuit des temps. Aussi appelé Vengeur, ce monstre est le résultat de procédés alchimiques sombres et complexes. Capable de bouger extrêmement vite et de faire des bonds de 2 à 3 mètres en une fraction de seconde, il est capable de se multiplier jusqu’à 3 exemplaires, tous trois capables de se battre. Il possède deux épées-haches, c'est à dire des épées courtes et larges qu'il fait apparaître directement dans ses mains. Son plus gros point fort est sa capacité à atteindre un état dit "du pantacle divin". Les inscriptions sur le corps du vengeur deviennent jaunes lumineuses, ses mains disparaissent, remplacées par deux longues lames, elles aussi constituées de flammes jaunes et or. Le vengeur devient plus rapide, plus mortel, plus cruel mais cela consume l’énergie vitale de l'invocateur.
- Autres?(Animal de compagnie/petites manies par exemple): Une femelle sphinx nommé Sagitari (en langue alchimique: Şąġĭŧąrĭĭ ), pas très grande, environ deux mètres (voir description dans l'histoire perso), capable de se métamorphoser en quelques animaux, plus petits qu'elle: chien, cheval (noir), corbeau, panthère noire, et même en une femme humaine d'environ 30ans, cheveux bruns, yeux noirs.
Elle peut aussi se transformer en "matière volatile", c'est à dire en un fil de fumée bleue mêlée de noir, très dense mais plutôt fine, moins large qu'un tronc, très long. Cette "fumée" est animée, vivante (sans avoir ni corps, ni visage) et peut se déplacer dans les airs, elle correspond plus ou moins à l'idée que les hommes ont d'un esprit ou d'une âme. Elle se déplace plutôt vite, c'est son plus grand avantage car elle ne possède ni attaques, ni pouvoirs spécifiques.
Son dernier pouvoir n'est pas extraordinaire, elle peut guérir les blessures qu'elle inflige elle même si ce sont des blessures causées par des attaques physiques et non magiques.
Sagitarii, ou Sagi, porte une selle et des gros sacs sur les flancs, elle semble être équipée pour entreprendre un très long voyage mais en réalité elle porte tout le matériel d'alchimie ainsi que les composants, les potions et les livres mais les sphinx sont capables de porter un gros poids.
HORS-JEU
- Découverte du monde par: Voir 1ère présentation ^^
- Preuve de lecture des 3 premières tablettes:Histoire infinie
- Des améliorations à proposer? Nop (...enfin il y a le problème d'images mais tout le monde le sait XD)
Dernière édition par Raendaär Sølan le Sam 29 Oct - 18:42, édité 7 fois |
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