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 Petite Histoire comme ça

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Le Cerf Blanc
Le Cerf Blanc

Sage


Parchemin d'identité
Race: Lëanoz*
Age du personnage: ??
Haut-faits/Connaissances:

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MessageSujet: Petite Histoire comme ça   Petite Histoire comme ça EmptyDim 29 Aoû - 15:56

Juste une histoire écrite comme ça en écoutant Renaud Garcia Fons Trio(c'est surtout la chanson La Linea del Sur, de l'album du même nom qui m'a inspiré...)

Je la publie le plus humblement qu'il soit, je ne pense pas que ce soit sa place, mais c'est la moins pire.

Gleann est un Semi ressemblant à un demi Elfe, yeux verts, cheveux longs et bruns, teint un peu foncé... Plus tard, une légère barbe lui entourant la bouche, ères de rôdeur qu'il est.

Gleann D'yve, Fils D'alet

Oh Toi, impétueux voyageur qui t’aventures sur ces terres à la recherche de quelconque quête qu’elle soit noble ou d’autre nature, écoutes mon histoire qui est à l’image des autres, l’histoire d’un homme presque comme les autres, écoutes mon histoire…

Cette histoire commence, comme tous les contes, par la fin d’un autre. Oui, toute nouvelle ère signifie la fin de la précédente, c’est ainsi le phénomène de la vie. Il était une fois, un couple, un jeune couple, ne souhaitant qu’aventure et bonheur, un couple, assez spécial, déjà, l’homme était un dragon de l’eau, et la femme était une elfe des bois. Il était aventureux, libre et naturel, elle était à l’image de son peuple, douce et respectueuse. Ils s’étaient connus dans leur jeunesse, lors de leur adolescence, lui, n’avait pas de parents, il vivait de lui-même, un peu vaurien, un peu bandit, va nu pied, mais toujours de noble cause et juste. Elle, avait grandi auprès de son peuple, dans l’extrême ouest de l’Aldarion, elle était une des descendantes de la guide des elfes. L’homme, qui s’appelait Alet, était remonté de sa terre natale jusqu’en Adlarion, et c’est là bas, qu’ils se rencontrèrent… Lors d’une festoyerie des Elfes, il y était, sans y être convié, mais l’hospitalité du peuple de la forêt faisait qu’il n’avait pas à s’en reprocher, ce fut le coup de foudre, cette nuit était la leur et il tombèrent amoureux. Deux individus de race différentes ne sont pas voués, surtout lorsqu’un est un orphelin sans honneur, et l’autre une princesse de sang pure. Ils désiraient fuir, mais Liliana voulait une vie nomade d’aventure, en ne vivant que d’amoure et d’eau fraîche, Alet, lui ne se rappelant que trop de ses mésaventures, ne voulait que se joindre à un peuple qui ne poserait pas trop de question et où ils pourraient jouir de leur amour et fonder une famille en recommençant tout, et c’était pour cela, que sans le savoir, leur amour était peine perdu, ils fuirent vers Nivery et les terres de longévité des dragons de l’eau, les abords de la rivière d’Yve, construisant une massure de torchis et de chaume, ils étaient provisoirement heureux, elle tomba enceinte, pour leur grand bonheur, son ventre loge un futur semi, qui, vivrait sans ses parents. Pourquoi ? Leurs bonheur s’éteignait alors que l’enfant était né, mais il ne seraient jamais malheureux, il feraient semblant de s’aimer comme le faisaient tous le couples mariés de leur époque. Pour l’heure il s’aimait toujours autant et ils baptisèrent leur enfant d’un nom païen, nom d’un peuple oublié et vieux comme le monde, un nom Lëanoz : Gleann, vague variation du mot Glas, couleur du naturel. Mais leur destin flancha, le malaise qu’ils éprouvaient n’était rien par rapport à ce qui allait se passer, les dragons de l’ombre, servants Ilimenta, attaquèrent les dragons de l’eau pour s’approprier la grotte d’Elementis. Ils périrent, même si leur défense inespérée se fut dans la plus grande force d’un amour qu’ils voulaient voir perdurer. Seul souvenir de leur existence, moi, Gleann retrouvant le destin de mon père avec le courage et la fougue de ma mère.

Un traumatisme ? Non, j’ai tout oublié, ou plutôt j’ai décidé de tout oublier. Je n’avais rien pas même une race. Un titre qui ne voulait rien dire pour moi, Fils d’Alet. Non, juste un nom, Gleann.

Art et Religion


Et c’est ainsi que j’appris à vivre, ou, mon art, l’art de vivre, l’art du rôdeur. Vagabondant, parfois j’allais dans les églises, admirant les grandes statues de plâtre et de marbre, aux dorures scintillantes. Elle ne voulait pas dire grand chose pour moi, juste la grandeur, la puissance et la divinité, mais bientôt j’appris ce qu’étaient les Dieux de notre Ere, je me disais que Crépuscule me ressemblait un peu et que, peut-être, me protégerait-il. Mais j’abandonnais vite cette idée en me disant que lui, n’avait sans doute jamais vénéré un dieu. Mais je décidais tout de même de lui faire confiance, car, je me méfiais des autres divinités, c’était à cause D’Ilimenta et d’Elementis que je n’était rien, Aube, Voliana, Lamesang et Erok avait l’air du même esprit de compétition que ceux là, et Tinuwyn ainsi que Kilyana ne m’inspiraient rien. Je choisis de ne pas blasphémer seulement pour le Dieu du voyage, ne savant ce qu’étaient les arts.

Ra'sibe


Je ne sus jamais comment je réussis à me rendre jusqu’à Ra’sibe, alors que je n’était qu’un gamin ux courtes jambes. En tout cas, ce fut la chose la plus idiote que je fis de ma vie, là-bas, on ne m’accordait même pas mon nom, Alors que je n’avais cessé de le répéter, non, on m’appelait « Bâtard », « Sang mêlé » ou autres ingratitudes en me jetant un quignon de pain sec qui était destiné au canards. Ces années-là me paresse lointaine. On me trouva, les soldats de l’empereur félon, les sbires D’Isaac, on leur avait dit qu’un orphelin semi rodait ans les rues de la cité. Et on m’emmena dans une cellule, une cellule sale, avec la compagnie des rat, et toujours un quignon de pain. Je ne sais combien de mois je restait dans la prison, toujours avec le quignon de pain, mais il advint de moi qu’on me fit sortir, q’un sieur allait s’occuper de moi. Je le vit Ce sieur, il avait un air sympathique, il était vieux, et ses yeux brillaient de la même malice que moi. Et je partis vers des terres à l’ouest de Sibera.

Musique et Mystère


Mon tuteur s’appelait Oan, il était un noble monsieur d’une seigneurie humaine. Un château de bois entouré par des champs où le tiers état vivait comme eux. Les villageois vouait un respect à leur seigneur et vis versa, je me demandai comment je m’étais retrouvé là… Apprenant l’Elfique, l’escrime et les mathématiques dans des tuniques elfe.. Pour seule réponse, j’avais un « n’y pense plus. Oan qui était pour moi un étranger semblait m’aimer comme un fils, il semblait comprendre mon envie de naturel et d’aventure et me laissait chasser seul après m’en avoir appris la discipline de l’arc. Tous les jours, à l’heure du coucher du soleil, j’entendais une douce mélodie sans que saches d’où elle venait, c’était une musique tantôt lente parfois rythmée. Je vagabondais le reste de la journée avec mes camarades à travers les champs et les bois… Mais la mélancolie me rattrapait toujours au moment du soir où je montais sur un toit du haut duquel j’écoutais la musique importante à mes yeux qui parvenait d’une des maisons. Personne ne confirma cet étrange fait et tous disait que je rêvait, qu’il n’y avait pas de musicien dans le village. Mais un jour, je cherchais d’où venait cette douce mélodie, je tombais sur la maison de l’homme aux pigeons. Cet homme ne sortait jamais de chez lui, mais il renvoyait les messages des gens vers d’autres village. Je décidais d’entrer chez lui discrètement. Tout était en désordre, des papiers volaient un peu partout, ainsi que des pigeons, un escalier montait haut, je l’empreintait. En haut, il y avait des centaines de perchoirs, et un grand hublot donnant sur le dehors, c’était de là qu’il envoyait ses oiseaux, et le vieil homme était là, les pigeons l’écoutaient jouer, sur un grand piano, il finit par se rendre compte de ma présence, nerveux, il ferma le piano et me regarda un poil en colère, alors je lui dit : « Apprenez moi… S’il vous plait. ». Et cette phrase sonna comme quelque chose d’indissociable de la réalité, il devait m’apprendre. Et c’est ce qu’il fit. J’appris donc la musique, le piano, la guitare, la basse, la flûte ainsi que beaucoup d’autres instruments et à me servir de ma voix. Je devenais vraiment bon. Chose qui me rapprocha étrangement de Crépuscule.

La Linea Del Sur


Depuis ma « tendre enfance » je faisait un rêve qui revenait de temps en temps, un rêve ou dans une obscurité souveraine, des dragons azures se levaient et fouettaient les airs au dessus d’une gorge avec une rivière bleutée, ils étaient les rois de se qu’ils faisaient, cette rivière lui semblait familière, comme si c’était un point de départ ou un objectif… Il avait raconté se rêve où des dragons de l’eau combattaient des dragons noirs à Oan, et l’homme semblait s’en inquiéter. Aussi parfois il me parlait de la « Linea del sur » qu’il me faudrait un jour franchir pour devenir un homme. Il commençait à me conter des histoires alors que j’allais vers mes 15 ans en âge humain car j’ai la longévité de ces reptiles, je ne savais pourquoi, tous ceux du village l’avaient… Puis un jour, une autre tragédie se produisit, Oan me commanda de partir avec un sourire presque rassurant, je m’emportai :

« Pourquoi ? Pourquoi vous me demandez de partir ? Et puis d’abord, pourquoi m’avez-vous pris sous votre aile ? Pourquoi m’avez-vous offert une vie ? Qui êtes vous à la fin ?!! »

Oui je lui criais ces mots à la face, et celui-ci parut gêné comme s’il était nu face à moi, il me dit, calmement :

« Je… Je pense qu’il faut que je te dis la vérité non ? Bien… Tout d’abord, j’aimerais que tu connaisses le nom de ta mère… Lilianna… »

Je ne me demandait pas comment cela se faisait qu’il connaisse le nom de ma mère, en fait, tout autour de moi n’était rien, et tout en même temps, je répétait Lilianna, Lilianna… Et le vieil homme continua de se dévoiler, et moi, je répétait Lilianna, Lilianna…

« En fait, je… Je suis le père d’Alet, ton père… Tu sais, il à grandi comme toi, sans parents, sa mère est morte et moi je l’ai rencontré alors que ta mère te portait déjà… »

Tout à coup, tout devint clair, je répétait Lilianna, Lilianna… Comme pour ne jamais oublier ce nom… Et en l’espace d’un instant, un grand Dragon Bleu se tenait devant moi, sur la plus haute tour des environs, et mes cheveux fouettaient le vent, les grands yeux verts du père de mon père me regardaient, et moi je répétait Lilianna, Lilianna…

« Gleann d’yve, trouves la Linea del Sur, et n’oublies pas, tu es fils de roi, pas un vaurien, tu es le petit fils illégitime de la guide des elfes, et descendant de la lignée des Dragons d’Yve. Adieu. »

Et le grand dragon sauta dans le vide, et un dragon noir l’attaqua, oui, le village était en feu… Et moi, je fuyais, et mes jeunes années me rattrapèrent, était-ce moi qui semais le malheur ainsi ? J’avais les larmes aux yeux, j’avais16 ans et je me rendais à La Linea del Sur.

Art et Religion


Aujourd’hui j’ai 26 ans en age humain, 659 en dragon, cela fait bien longtemps que j’ai franchi la Linea del sur et que j’ai trouvé les gorge de la rivière D’Yve , et que j’ai vu ces grands dragons bleu que je croyait être fantasme, j’ai beaucoup pleuré l’homme qui m’a élevé, mais à son souvenir, un joyeux en forme d’oeil vert de dragon me sert de pendentif, L’iris comme celui d’un félin brillant d’un noir profond. Tout ne fait que commencer et ces années sont maintenant laissées loin derrière moi….
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