Le Cerf Blanc Sage
Parchemin d'identité Race: Lëanoz* Age du personnage: ?? Haut-faits/Connaissances:
| Sujet: Entretien avec le roi [Terminé] Mer 13 Jan - 17:24 | |
| Le jour du 12 Awÿn, le charme du Lëanoz se rompu, L'équinox avait fait son pouvoir, et, Clun, cerf redevenue, sa fourrure blanche, parsemé de noir semblait neuve, comme les premiers poils d'un nouveau né.Sous la transformation, les collant, si désagréable se déchirèrent, alors que les autres habits, qui était en sa propriété, s'enlevait par magie, tous allaient dans le sac en bandoulière, toujours présent sur l'animal, il restait aussi l'écharpe pourpre, enroulé bien serré sur sa corne droite, ainsi qu'une collier de nacre qui, changeait de couleur au gré de la lumière, comme toute les pierres de nacre. Toute cet étrange fait de la nature se passât dans Ra'sibe, et dura quatre bonnes heures. Toujours en passant par l'homme cornu, par l'homme cornu à sabot, puis, les cheveux qui blanchissent, qui pousse, une deuxième pair de patte qui pousse, la fourure, blanche crénelée, puis devenir totalement cerf. Ce dernier, traversait, la rue royal, déserte, de Ra'sibe, entra dans la cour, traversa le palais de l'empereur Isaac, qui lui avait envoyé un cachet, lui demandant de venir expressément de le voir. Arrivant à la salle du trône, lieu maudit par la vielle folie de l'empereur, le charme des Lëanoz, le Pardon de la nature s'installait, sous les pattes du Lëanoz, poussait de l'herbe et des fleur sur le partère de Jade, causant le chuchot tendu de toute la cour. Celui ci, fut aussitôt tut par la lourde magie qui bouillonnait dans le cerf, il semblait illuminé dérière lui d'un flot de lumière douce. L'empereur pris la parole:
-Bienvenue, sage Lëanoz, Mais il me semble vous avoir demandé de venir EXPRESSEMENT
Disant se dernier mot, l'empereur se leva de colère, et Clun Bramât.
-Bref, repris le souverain, il me semble que vous m'êtes redevable, il me semble que, je vous est accordé le droit d'existence, à toi et ton peuple, c'est grâce à moi, moi, si vous n'êtes pas tous mort, toi et ton peuples illuminé et vieillard comme ce monde, que nous, nous les humain avons sauvé. Tu dois me rendre service, je veux que tu affaiblisse les Nalamis, Kernunos, si ce n'est pas les tuer tous pour de bon!
Le Lëanoz resta silencieux, puis, répondit d'une voix lente et retentissante de toutes part, mais sa gueule, restait immobile, seul ses yeux clignaient:
-Même si ta folie, elle, n'est pas vieille comme ce monde, elle ne s'est pas arrangée avec le temps, elle ne m'exaspère que plus roi félon.
-JE SUIS EMPEREUR!
-Ne me coupe pas! dit le cerf d'une voix profonde et forte. Moi et les Lëanoz, n'avons que faire de ta considération, si nous existons, c'est grâce à ça: Il montrait un morceau de tapis de fleurs de la tête. Jamais je ne ferait de mal gratuit aux créaturse d'Erok, car cette haine n'a aucun sens. Aussi, ne te repose pas sur tes lauriers, car si nous vivons en paix en ce court instant, c'est grâce aux elfes et aux dragons.
Le souverain rugit:
-Saisissez-le !!!
Une dizaine de gardes royales se précipitèrent sur le Lëanoz, quiclaqua son sabot par terre : un cercle d'eau jaillit, et projeta les gardes plus loin, dans un fracas d'armure.
-Quelle folie d'oser me défier quand je suis sous cette forme. Moi, qui, au moin, est souverain d'une vrai chose, moi le Gardien de toutes les eaux de ce monde . Je ne te salut pas, et plutôt en langage courant, je dirait: Va te faire foutre, car j'ai beaucoup parlé, et en temps que cerf, cela m'épuise.
Il partit, en laissant un silence de fureur dans la salle. |
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