Corum avait eu beaucoup de misère à dormir, il entendait ce qui se passait à la taverne et cela l'agaçait. Il avait une grande journée le lendemain et ne voulait pas qu'on le dérange dans ses tentatives de sommeil...Finalement, dépourvu de bon sens...il est allé s'endormir à l'écurie.

Ce matin à l'aube il n'eût pas de difficulté à se réveiller. C'était sans doute son instict animal. Se rendant compte que le soleil avait déjà commencé à se lever, il se redressa et se dévêtit des pailles qui encombraient ses plumes.

Il avança un peu dans l'écurie et aperçut l'elfe et le semi, ce dernier qui venait d'addresser la parole à l'autre. Il les regarda encore d'un oeil fatigué. Il sursauta quand il se rendit compte que c'était l'elfe qui avait donné la mission. Habituellement ce n'était pas celui qui donnait la mission qui y participait, mais peut-être était-ce lui le participant dont il parlait. Il resta sur place en attendant qu'on le remarque, de toute façon ils allaient entamer une discussion, selon lui.

Lorsque Clun dit qu'il serat là au chant d'oiseau, il sera là à peine le premier petit poussin aura poussé le premier gémissement, il était donc là, contre sur un muret, appuyé contre le mur de l'écurie, il attendit que le frinfrigs parle pour se faire remarquer, il avait le chapeau sur la tête, qui, elle, reposait contre le mur- il était presque allongé- La pipe dans la bouche, il grogna:

-'Manque une personne.

Il n'avait pas la gueule de bois, il mangait beaucoup de champignon, surtout lorsqu'il était un cerf, ce qui minimisait jusqu'aux maximum les réactions chimiques des fermentation. Mais il amait se soleil doux, allongé d'une brise agréable.

Miguel releva la tête de manière assé brusque pour faire comprendre qu'il s'apprétait à parler, il regarda tous les aventuriers d'un air sérieux puis dit:

- Alors ne perdons pas une minute de plus, partons sur le champs...

Puisque tout le monde semblait d'accord sur le fait qu'ils partaient, Corum fût le premier à avancer d'un pas las et zen vers l'extérieur de l'écurie. Quand il se retrouva à trois mètres de l'entrée (ou la sortie, à vous de voir), il se retourna et vérifia qu'ils le suivaient. Il n'aimait pas être le leader ou prendre des décisions pour autrui. Il voulait laisser tout ça pour les autres, et garder ce qui était pour lui pour lui. En ce début de journée, son corps n'était pas tout en fonction, mais ça changerait d'ici peu.

De toute façon il ne savait pas par où il devait aller alors il serait mieux de laisser ça à ceux qui le savent. Mais Corum n'aimait pas être celui qui suit le groupe et qui est dépendant... Peut être que dans le fond, Corum n'aimait rien.

Le Lëanoz leva son chapeau, et regarda le soleil dans le ciel, il commençait à le voire différement, oui, les cerfs ne voyaient pas le monde du même angle que les humain, le ciel devint rouge-brunassé, toujours aussi agréable à regarder, sa vision commençait à s'alonger, et il était encors loin d'être un cerf, il sortit de sa poche une boule rouge assidulé, la porta à sa bouche et souffla dessus après avoire pris sa pipe de son autre main, la boule se changea en 10 pétale d'ébenne à fleurs. Clun sauta de son perchoir, quand il réatérit, il était un centaure, il dit:

-on y va.

Et il se transforma en cerf, il se mit à exercer un trot élègant, Clun avait conservé par ce sort d'artéfact une plus grande partit de sa personnalité de "bipède" que lors de ses transformations habituelles, mais on pouvait tout de même constater, oui, une part de lui avait changé sur le plan mental, oui, avec son trot, il nargait les deux chevaux! Mais il semblerait qu'il s'agisse plus d'un reflex musculaire que d'une véritable intention, Clun n'en avait grand chose à faire des chevaux...

Peut, être, les plus intéligents se souviendront avoire lut quelques choses sur les Lëanoz, que se soit dans une encyclopédie ou dans des contes d'enfants...

Lorsqu'ils sortirent de la cité, L'elfe leur demanda leurs capacités combatives, Clun parla d'une voix résonnante et profonde, sans faire de gestes de la gueule:

-Les Lëanoz, sont des êtres rares, Ils ne craignent pas la viellesse, mais nous ne sommes, à mes connaissance qu'aux nombre de 11, nous sommes gouvernés tout en étant libres par les quatres Gardiens des éléments, j'en fait partit, mais je m'éloigne, bref, de part notre viellesse, nous apprenons tous les arts, mais j'ai été éduqué très tôt à la magie, comme mes 3 camarades, et j'ai été inscrit dans un isocaèdre, je pratique donc parfaitement l'aquamancie, on m'appelle Ar Dourenn Aotrou, en Lëanoz, cela veut dire Seigneur Liquide, et l'aquamancie a été appelé Arcanne de Meriadec, en mon honeur, et chacun de mes camarades représentent un élément. Je suis donc spécialisé en magie, mais aussi en art guerrier, rodeur, invocateur et Calligraphe, ce sont mes principaux arts, mais je vous le redit, je les pratique tous à l'exeption d'un, L'art Barde, c'est si simple comme art, juste à ajouter un charme dans ses vibrations, un magicien novice pourait le faire.

Il venait de débiter ça, dans son corps de cerf, en fixant de son oeil orange le fynfrig.

Corum vit que le cerf le fixait et il voyait bien que le semi voulait que le fynfrig parle ensuite. Donc, il expliqua:

-Je suis un fynfrig-phénix musclé et mes habilités sont de cracher du feu, de transmuter mes ailes pour en faire de splaques de métal coupant, et surtout, je fais la télékinésie. Je possède une très longue lance qui me permet d,avoir une meilleure défense, mais aussi une meilleure portée d'attaque. Je sais voler mais seulement depuis quelques semaines, malgré mon arme qui me rend difficile la tâche. Néanmoins, je peux faire du sur-place pendant 5 minutes. Pour ce qui est de mes connaissances, je n'ai que la forêt d'Aldarion que je connais assez bien. Je connais l'art du voleur, mais je l'ai abandonnée. Étant ancien Nalami, je connais leurs comportements et leur mode de vie. Toutefois, je suis prisonnier par ces bracelets qui pourraient risquer de me faire disparaître à tout moment, alors, si jamais ça arrive, ne vous posez plus de questions. Je crois que c'est tout.

Il fixa maintenant le semi qui devait parler, et Corum s'intéressait à ces hommes. Ils avaient tous l'air plus spéciaux les uns des autres.

Miguel les prit tous en considération de son air penseur et de son regard neutre. Lâchant quelques bouffées de fumé de temps à autres. Il n'avait tout simplement pas envi de parler, surtout de son enfance, il pensait déjà à cette enfance qu'il avait vécu, cela ne les regardait pas, tout comme les périples qu'il avait put endurer dans sa vie. Il s'avait bien qu'il serait bien obligé de "vanter ces mérites" si il voulait continuer à installer un climat de confiance dans le groupe. Mais la journée était bonne à écouter, alors il profitait de ce moment pour ce concentrer sur ce qu'il pouvait apprendre de chacun, et il le notait bien soigneusement au fond de lui. Il cachait cette concentration par un air nonchalant voir largement foutiste.

Quand le Fynfrig eut fini il comprit que c'était à lui de parler, alors il le fit, tout simplement:

- Comme je vous l'ai dis je suis Miguel, j'ai des compétences en tant que guerrier, je suis capable de dégainer mon épée suffisamment rapidement pour sauver ma peau, je possède quelques petites magies fortes utiles. Mais mon véritable attribut c'est l'épée, il m'arrive d'en prendre une deuxième. J'ai aussi des compétences en rôdeur, chasseur, et j'ai déjà énormément voyagé. J'ai eus la chance d'accomplir déjà quelques quêtes et de m'en sortir toujours en un seul morceau, voilà, je crois que c'est tout...

Le blond ne cherchait pas à en divulguer le moins possible, mais tout simplement à ne pas se faire remarquer, il cherchait juste à dire ce qu'il fallait et cela suffisait bien.

Corum se réjouit qu'on puisse tenir compte de ses compétences. Il vit à chacune des positions son utilité, mais comprit que celle proposée par Meriadec était meilleure: il avait raison, le fynfrig, avec ses anciennes compétences de voleur, serait d'une meilleure utilité à l'arrière. Mais pourtant, il aurait été utile qu'il soit un peu plus vers l'avant puisqu'il savait voler et aurait été un bon éclaireur, mais à quoi bon être éclaireur alors que chacun du groupe connaissait une partie du territoire? Ruzankairn avait raison: il connaissait bien la forêt d'Aldarion, mais dans cette forêt, il fallait plus rester sur ses gardes que de se contenter de regarder le paysage.

-Oui, il me semble que la formation de Meriadec est meilleure. J'ai de bons réflexes défensifs et vue la portée de mon arme, il serait productif de me laisser à une extrémité. Mais bon, tout cela ce n'est que mon point de vue.

Corum s'imaginait déjà en train d'avancer en groupe et de mettre ses talents à l'oeuvre.

Ça l'énervait que le Lëanoz en sache autant. Qui était-il pour savoir ces choses-là? Cela devrait peut-être tisser des liens imaginaires entre le guerrier et lui, de sorte qu'ils soient plus proches qu'il ne le penserait, peut-être feraient-ils de bons amis, dans un avenir lointain ou rapproché...

-Oui, en effet, si je m'ennuie trop, et si le contexte le permet, je vous raconterai comment ça s'est passé...

Il se positionna de sorte à être comme la formation le proposait, c'est-à-dire entre ces trois personnes puisque Miguel et Clun se retrouveraient les deux en tête. C'était déjà écrit précédemment dans le rp, mais Corum ne voulait pas être l'entrepreneur, ou plutôt celui qui décide, etc.

[ joli résumé ^^ -> suite ici ]