Lorsqu'il remarqua que le semi le suivait, Meriadec ne fit rien, penchant sa tête sur le mur, il fit frotter sa corne gauche sur ce dernier, des étincelles se produisirent, et à un possible étonnement de Miguel, ce ne fut pas la corne qui fut ronger, mais le mur qui avait maintenant une longue raie en creux sur 3 mètres de longueur, Le cerf balança sa tête doucement, comme un amusement. Au bout d'une minute, il stoppa nette, S'arrêta et regarda d'un grand oeuil malicieux de cerf Miguel toujours dans son dos comme pour le prévenir, il retourna sa tête très rapidement et partit dans un galop très rapide par petit bond comme le fond les cerf, la lumière que produisait la torche se reflétait sur le pelage blanc du Lëanoz, il voulait avancer vite, ne pas perdre de temps, pour ne pas perdre la tête, étant claustrophobe. Mais cela il ne le montrait pas, son remède contre la claustrophobie, c'était de faire mine de rien, mais s'il réstait trop longtemps enfermé, il risquait l'évanouissement, mais il y avait pire, Peut être que les dons de métamorphose était aussi entravé dans cette endroit, et Clun ne connaissait pas la relativité entre son âge et son corps, mais il y avait des risque pour qu'il soit un vieillard peinant aux moindre geste.

[S'il se passe quelque chose, ce ne serait pas mal de le faire intervenir, ça fait pas mal de temps qu'on marche là. ]

[no soucis c'est prévu^^ c'est aussi pour ça que je vous ai donné la possibilité de me mp au cas où vous auriez des compétences particulières dans divers domaines :p ]

Plus l'animal avançait, plus il sentait du vent sur son pelage, vent que ne tarderait pas à sentir également Miguel. Puis il y avait ce bruit sourd auparavant discret que les deux compagnons pouvaient à présent entendre. Instinctivement, le Lëanoz semblait s'en être approché. Un tap tap mécanique particulièrement régulier et déroutant. Le sol très sableux à l'origine était à présent fait de dalles, et si la grotte semblait encore relativement "sauvage", les pavés bien détachés les un des autres au sol ne trompaient pas. Les sabots de Meriadec émétaient d'ailleurs des cliquetis... creux. Il arrivèrent sur une salle plus grande, éclairée par la lumière du soleil. En effet, un trou, situé à quelques 15 mètres de haut illuminait une petite stèle, sur laquelle était marquée :

Nulle magie en ces temps reculés,
Avant même que les dieux ne s'affrontent,
Déployant ces arcanes oubliées,
Qui n'est pour les dieux qu'une abjecte honte.

Miguel pur sentir un regard posé sur lui. Était-il malveillant ou simplement curieux? Difficile, en tout cas pour le moment, rien en ces lieux ne pouvait dire si les créateurs de toute cette mascarade étaient agressifs ou simplement curieux. Autour de la stèle centrale se situaient, au 4 coins, diverses représentation des deux dieux les plus importants du bien et du mal, placés comme s'ils indiquaient les 4 points cardinaux. Dans la pièce elle même, certaines dalles semblaient ne simplement pas être au même niveau que les autres. Tandis que sur les murs étaient dessiné un dragon dragon noir de geai à la triste crinière pendant sur les côté de son cou. Il tenait dans sa main un un paquet, qu'il semblait protéger? garder?
Quoi qu'il en soit sur cette fresque, ses yeux rouges vif fixaient les visiteurs avec une visible et forte colère. L'animal bien que peint, était impressionnant.

Le Lëanoz stoppa son galop, qui, pour Miguel, semblait folie, mais c'était juste un moyen d'avancer plus rapidement pour Clun, ce dernier commença à marcher calmement dans la salle, regardant les différente statues, il commençait à voire plus de couleurs, ses yeux verdissaient, son pelage brunissait lentement, si lentement, que l'on ne le remarquait pas. Dans 4 heures, il sera capable de parler peut être... Il évitait de marcher sur les dalles plus profonde, réservant la résolution de cette énigme, ou algorithme à plus tard, il cherchait une présence, quelque chose d'anormal, il cherchait aussi d'où provenait le Tap Tap, puis, ayant une bonne avance sur le demi elfe, il s'allongea contre un mur, guettant les moindre mouvements ou choses suspectes, la fresque du dragon ne l'étonnait pas plus que ça, mais il se demanda rapidement: Ces statues de dieux dragons et cette fresque, cette grotte profonde, naturelle qui semble presque façonné par une main humaine... Serions nous en Nivery?
Il ne trouvait pas réponse, il ne voyait pas le soleil par le trou, de quelle angle que ce soit, il savait où était l'est, le sud... Mais sans le soleil, il était impossible de savoir où ils se trouvaient.

Le cerf trembla sous les mécanisme qui faisait bouger le sol, appercevant une dernière fois les statues des Dieu, il ferma bievement les yeux pour leur témoigner de son respect. Il pensa comme pour attendre:

*Pouvu qu'Elementis nous protège de la colère de sa soeur...*

Son poil brunissait encore, il était maitenant complétemant gris, et sur son cou commençait à ce déssiner le tronc d'un homme...

*Ma Métamorphose est vraiment perturbée avec tout mes sorts... Elle se fait beaucoup trop vite.*

Dans quelque minutes, il pourait parler, il atteindrait le stade stable de "centaure". Soudain un homme en capuchon apparut et reprocha à l'aura de Miguel d'être agréssive, Clun lui fit un geste de la t^te pour qu'il se calme et débande l'arc de sa haine, tout en restant vigilant. Puis il attendit que Miguel dise quelque chose à l'homme en ésperant qu'il ne fasse pas de boullette.

Soudain, Le cou du centaure s'agrandit et la tête bestial se transforma en tête plus humaine, au cheveux et à la barbe longue, le centaur sortit de son sac une chemise blanche aux rayures brunes et désordonnées et son chapeau de sorcier qu'il frotta dans une gerbe de poussières en disant:

-Il fait vraiment froid ici...

Il mit son chapeau et tandi la main vers Miguel, enfin, vers son bâton et murmura:

-Barokom

Rien ne se passa et Meriadec se repris:

-Ah, c'est vrai.

Il regarda l'homme à l'orbe et dit plus étonné que colèrique mais gardant un brin d'amertume au fond de sa voie:

-Pouvez vous nous dire, Monsieur, Que faisons nous... ? Ici? D'ailleur, Où sommes nous ici, en terres drakonniques? ET vous, vous êtes prêtre c'est ça? ET pourquoi le fluide c'est arrêté?

Il soupira et se calma, il pris sa pipe et, ne trouvant pas son briquet il dit, pipe à la bouche:

-Miguel, donnes moi mes affaires s'il te plait.

Les affaire arrivère violement dans la tête du Lëanoz qui les rattrapa dans ses bras. Il mit son épée à sa taille, dans son carquois, Son bâton dans sa main et alluma sa pipe grâce à son briquet, ne s'étonnant pas de l'attitude du jeune demi-elfe. En parlant d'elfe, il semblait bien que l'individue qui lui faisait face en était un, noir, et il semblait vieux très vieux, épuisé par la tâche qu'on lui avait donné suremement, il ne semblait pas avoire d'émotion, pareil machine éxistait donc? Clun écouta les réponses presque énigmatique du mâge, apparament pas si antipathique. Il était donc le gardien des lieu et se trouvaient en Aldarion, Le Bouquin se trouvait peut être ici, après tout, étaient-ils sûr des information du bibliothécaire? Meriadec ne savait pas même d'où elles provenaient. Il resta songeur en prenant de rapide bouffé d'herbe à pipe consummé qui ressortaient presque aussitôt. Puis vînt la question, il sortit de sa méditation presque affolé son visage et sa démarche semblait dire "Hein quoi? On me parle?", Mais aussi, il répondit:

-Oui, J'appartient au vieux peuple. Et ce que vous dîtes est vrai, je pourrais vous parler longuement de mon peuple, mais je ne pense pas que ce soit le moment, ni le lieu d'ailleurs. Mais, Le triste trésor dont vous parlez, est-ce le livre qui raconte les origines de la magie? Si oui, j'aimerais consulter Tinuwyn, bien que jeune, elle pourra m'aider dans mes choix de son savoir Divin.

Je doute que la voix de votre déesse vienne jusqu'ici, mais pourquoi pas? Après tout vous êtes libres, tant que vous ne commettez pas de sacrilège en ce lieu. Quand à cette histoire si vous en apprenez plus, je vous suggère de la conter à quiconque voudra s'aventurer ici, que nulle erreur ne soit plus jamais commise avec ce livre.

Le drow se tut, préférant ne rien ajouter, restant parfaitement statique. Il n'attendait rien de particulier, il restait simplement ici, pensif peut être? Difficile de lire sur un visage aussi impassible...

...

La porte fut difficile à ouvrir pour Miguel, des cliquetis sinistres se firent entendre d'ailleurs, avant que tout à coup, la porte à l'origine complexe à ouvrir, ne s'ouvre d'elle même cette fois. En face, une salle parfaitement noire, si noire que cela ne pouvait être que magique. La zone d'ailleurs puait la magie à plein nez, même un non adepte du domaine pouvait le sentir. Un désagréable odeur de souffre se faisait sentir, ainsi que des bruits de déplacement, comme si quelque chose de gros, très gros et possédant beaucoup de pattes se déplaçait par moment. Les artefacts de Miguel réagissaient de nouveau par contre ils le gênaient, comme s'ils étaient trop plein d'énergie. L'endroit résonnait, il y faisait très chaud, lourd même.


[désoulé pas pu venir avant :X ]

Meriadec resta pensif lui aussi, était-il dans la folie? Aurait-il oublié la sagesse au profit de la connaissance, il est vrai, oui, vrai que le Lëanoz devenait fou lorsqu'il s'agissait de la magie, il savait l'utiliser avec sagesse, et précaution, mais lorsqu'il était sujet de savoir qu'il ne possédait pas, la raison le perdait. Il réfléchit, longuement, rebrousser chemin ou bien continuer... Une chose était sur, il fallait prendre garde et bien considérer les dires du Drow. Clun savait-il les limite de sa sagesse, saurait-il utiliser le livre comme il fallait l'utiliser, ou justement peut être ne pas l'utiliser, saurait-il garder ces connaissances pour lui? Soudain, il releva la tête, il avait fléchi, et déclara:

-Je vous remercie maître elfe, vos paroles sauront surement me ralentir dans une folie peut être insensée. Mais je pense cependant pouvoir utiliser ou ne pas utiliser ce livre avec sagesse, j'ai confiance dans mes capacités. Pourriez vous m'éclairer sur le chemin à emprunter, maintenant que j'ai trouvé le mien?

Il dit cela calmement, sur de lui et d'une voix bienfaisante, sans tomber dans la niaiserie, il gardait tout de même un air grave, pas pour l'elfe, pour la situation, il n'aimait pas faire des choix, car cela voulait dire qu'il n'était pas sûr de lui. M'enfin, mieux vaux faire des choses bien, plutôt que d'emprunter un chemin faussé depuis le début.

[J'sui vraiment désolé pour les passages qui trainent en longueur, je fais vraiment comme je peux]

Je ne suis pas un guide, et je ne vous conduirais pas là où je ne veux pas aller. Si vous pensez faire le bon choix, assumez en les conséquences.

Le ton de l'elfe noir était sec. Il se tourna et passa littéralement au travers du mur, comme s'il n'avait été depuis le début qu'une ombre.

...

Alors que Miguel se créait un point de lumière, il put distinguer autour de lui un énorme corps de millipède en cercle autour de lui. Ce corps devait bien faire 2 mètre de haut, quand à sa longueur, enroulé comme il l'était il était difficile de deviner. En face de lui, un souffle chaud. Une gueule dentée surmontée par deux antennes l'observait de très près. La créature s'enflamma littéralement et poussa un étrange cri, mélange de sons de personnes joyeuses et de hurlements de douleur et de peur...

Clun resta là, puis commença à macher vers le couloir que Miguel avait empreinté, de toutes manières, il n'y avait pas d'autres sollutions.. Tout à coup un hurlement terrible, une bête formidable se tenait dans la salle et au milieu de ses anneaux tortueux, Miguel. Le Lëanoz galopa, Sa magie revenait, le fluide qui le pourcourait lui fit un bien magnifique, ses sabaux commençait à s'éffacer, une flamme commença à brûler sur le Kikoalt'ha'maärl, Soudain, le grand et vielle homme entra dans la salle, et, brandissant son bâton, il incanta très fort dans un éffort qui semblait très éprouvant:

-Tan Alfante(Feu dévorant)!

Une gerbe de flamme énorme partie du bâton et alla s'écraser dans la tête du monstre, un peu du feu magique alla toucher le mur qui produisit un bruit d'éffondrement témoignant de la puissance non pas spéctacualaire mais non négligable du sort. Meriadec se soutint sur son bâton, le Tan Alfante était son sort mineur de feu préféré, éfficace et peu coutant en matière d'énergie, il est un bon moyen de se débarrasser rapidement des embuches qui se trouvent sur sa route. Le sage se demandait si cette fois ci, il n'aurait pas du envisager un sort plus puissant...

La lumière fut, la salle s'éclaira de milles feux sous l'impulsion du poing en l'air de Miguel. Le rayo rougeoyant perçait les détails de la pièces, et difficilement dans l'ombre, se déssinait un souffle, une odeur putride, pourtant rien n'y laissait transparaître. Le Semi chercha du regard avant de distinguer, un millipède géant, l'animal s'embla prendre de la hauteur, comme pour dominé l'être qu'il avait face à lui.

Le blond mit son pied droit légèrement en avant, courba le genou gauche, et tandis le bras de sa garde elfique vers la bête, il l'a fixa d'un regard sombre, meurtrier, "Vas-y viens, viens vers moi" se mit à dicter tout bas Miguel. La bête le surprenait d'un air féroce, elle aussi semblait prête à bondir. Le semi tenta de faire fit des douleurs qui le prenaient, des blessures que lui rendaient l'amas soudain trop important de magie dans son corps. Il concentra son énergie, laissa sur sa bouche un sourire mortel, leva le bras vers la bête, puis d'un seul coup rapide l'abatit précisément.

Mais, avant même que son arme est put touché le corps de l'animal, le millipède vola à plusieurs mètres avant de partir s'écraser contre un mûr dans une houle de flammes, s'abattant tel un rouleau d'étincelles. Le semi, n'eut pas à prendre son temps pour réfléchir, dans son dos le Lëanoz devait reposer avec son air satisfait. Tournant la tête vivement, Miguel dit:

- C'était ma proie !

(hrp: désolé pnj, mais je re post maintenant,(comme ça je t'épargne aussi un tour))

Le millipède s'écrasa sur le mur et retomba lourdement contre le sol, le blond avait l'air en colère, mais le Lëanoz n'en avait que faire, de toute façon, le monstre n'était pas mort, au contraire, le feu de sa colère était attisé. Le Lëanoz avait bien lancé un sort de feu pour s'amuser avec la créature, cela faisait bien longtemps qu'il n'avait pas combattu de grands flamboyants(hrp: je parle de gros monstre de feu), un peu d'exercice ne lui ferait pas de mal, Meriadec pointa la bête du doigts et quand Miguel la regarda, le sage dit:

-Elle n'est pas morte, mais... Ce n'est pas ''ta'' proie, c'est notre adversaire... Jouons un peu, elle n'attends que ça.

Le Millipède c'était maintenant redressé et Meriadec lança:

-Dourenn Skourjezh!

Et un fouet d'eau apparut dans sa main, la bête poussa un rugissement flamboyant et le Lëanoz riposta par un coup de fouet dans la tête de la fumée se fit et le monstre fit un mouvement de retrait: Le Lëanoz l'avait avertie, contre Ar Dourenn Aotrou, le seigneur liquide, elle n'avait aucune chance.

Le Lëanoz regarda fort amuser la scène entre le millipède et le semi homme, celui ci jouait au rodéo avec l'animal qui finirait par se fatiguer, le fouet d'eau se dissipa, bientôt, Meriadec réfléchit à la manière de jouer avec la bête de flamme, lorsque la bête fut épuisé par le sport qu'elle livrait avec le blond, Clun rassembla rapidement de l'énergie dans son bras, allant dans son bâton, il émit bientôt une lumière relativement faible, témoignant de la puissance dévastatrice que le bâton et son porteur pourrait déployer s'il trouvait le moment propice. Le sage fit un mouvement du bras, et lorsque Miguel fut descendu du monstre, le millipède vola tout du long de la pièce et alla s'écraser contre le mur voisin, causant un éboulement qui l'ensevelit. La lumière se fit à partir du bâton de Meriadec, il dit:

-Mince, j'avais pas vu le mur, je crois que je l'ai tué. Bon allons y, ce jeu n'a que trop duré...

Il intensifia la lumière, on pouvait voire la salle en entière...


(Grosbillisme Intense )

[Pour le vol de la bébête au début je rappelle qu'elle est 8 fois plus grosse que vous, donc la faire voler... uhm dur dur^^" m'enfin po grave ça change rien eh,eh]

Un silence lourd s'ensuivit avant que l'embrasement de la créature ne prenne fin... temporairement. Elle s'écrasa dans la vapeur due à l'attaque de Meriadec, et à la foudre ayant réagit à la première attaque sur lui. Il était difficile de voir, comme si l'endroit lui même souffrait d'une malédiction à ce sujet. Alors que les deux aventuriers pensaient s'en être débarrassés, la créature se releva puis s'embrasa de nouveau, ne touchant plus le sol cette fois, mais se déplaçant dans les airs comme un dragon de la chine antique. Si l'attaque d'eau avait pu être un fardeau, les attaques de feu et de foudre embrasant ses chairs avaient l'effet d'un soin pour elle (créature de feu les gens :p)

De nouveau son cri se fit entendre, mélange de cris de peur, de hurlements de douleur tristement humains et de rire paradoxalement glauque ici. Elle s'envola, passant par le plafond, tête la première, faisant s'écrouler une partie de la pièce à présent plus lumineuse. Alors que la chose était temporairement partie, si les deux aventuriers avaient pu éviter la plupart des décombres (non sans mal cela dit), ils purent apercevoir que la chose gardaient à l'origine : une énième stelle, sur laquelle reposait un livre dont les pages tournaient seules jusqu'à tomber sur une page ou se trouvait une image de la créature qu'ils venaient de rencontrer. Impossible de prendre l'ouvrage, il semblait fusionné à son support. Impossible de le décrypter (oui même par toi clun^^"), la seule chose compréhensible était le terme "Elementiä".

(mais si mais si... Sauf si c'est un gros baldrog, là fallait le dire...)

Le Lëanoz faillit sourir quand la créature se ré-embrasa et s'envola, celle ci transperça le plafond et semblait s'enfuir, chose peu probable pensa Meriadec, qui finit par avouer:

"J'aurais du l'éteindre pour de bon avec un vrai sort d'eau."

Puis, il remarqua le livre, dont les pages tournaient toute seule. Il s'approcha de la stèle et vi la page qui décrivait le monstre qu'ils venaient de rencontrer. Sa concentration sur son aspect s'estompa, et une barbe grise immaculée de blanc vint à son menton, ses joues étaient usées, il devait se soutenir à son bâton, n'ayant tout de même pas de mal à marcher ou à courir. Il commença à essayer de lire, il murmurait à voix basse, tout ce bousculait dans sa tête, le livre était là, il était là, sous ses yeux et... Et... Il dit à Miguel, mais il le dit aussi pour lui:


Il n'essaya pas même de retirer l'ouvrage, s'il était là, gardé par ce monstre apparemment née d'un mélange de deux Dieux -Elementïa- , écrit dans un langage que même le plus savant des érudits n'arriverait pas à décoder, c'est qu'il n'était pas à lire. Et encore moins à chérir par un bibliothécaire fou. Il dit à l'intention de Miguel, tremblant de déception, de surprise et d'autres chose dont lui même ne connaissait pas l'origine:


Et il se détourna du livre vers une éventuelle sortie, qu'il trouva, une toute petite porte, le vieillard commença à rajeunir pour se donner ne toute petite taille, il incantat un sort pour que ses vêtement le suive, on pouvait maintenant voire un petit enfant, les cheveux châtain coupés juste avant les yeux, ces yeux qui étaient totalement noir brillant, sans iris, un pupille recouvrante tout l'oeil. Il se dirigea vers la porte et l'ouvrit. Miguel pouvait passer, avec difficulté, mais il pouvait passer.

(j'aimerais bien savoir s'il y a d'autres portes, à ce moment, j'éditerais mon post...)